Tous les amateurs de montres qui aiment Breitling connaissent Lionel Kallmann. Probablement, le meilleur spécialiste parisien (voire français) de la célèbre marque au « b » ailé.
Depuis plus de trente ans, ce passionné, ce collectionneur, ce connaisseur est l’un des piliers de la boutique L’Etoile d’Or, située dans le 9ème arrondissement à Paris. Un point de vente bien connu des amateurs. Un détaillant horloger incontournable et atypique dans l’univers parisien.
Lionel Kallmann a donc décidé de nous parler de l’une de ses montres préférées, de l’un de ses coups de cœur du moment : la Breitling SuperOcéan Héritage. « Elle m’a séduit par sa simplicité ainsi que par sa très forte présence sur le poignet » explique M. Kallmann.
Et Lionel Kallmann de rappeler : « C’est en 1957 que Breitling part à la conquête des mers en lançant la SuperOcéan. Alors qu'il fête ses vingt-cinq ans à la tête de l'entreprise, Willy Breitling décide de s'attaquer aux océans. Pour ce faire, Breitling présente à l’époque cette SuperOcéan, une montre de plongée étanche à 200 mètres. Ce qui représente un véritable exploit technique dans ces années-là ».
Pour garantir ce haut niveau de résistance, Breitling a opté pour une construction de boîtier monocoque où le mouvement est emboîté depuis le dessus ; la montre est également dotée d'un verre blindé.
Réédition contemporaine de ce modèle historique, la SuperOcéan Héritage puise largement dans le design de ses origines. Le cadran arbore le logo des années 50 avec la signature Breitling surmontée de la lettre B en or 18 carats. Le verre de cette plongeuse est une épaisse glace saphir inrayable traitée antireflet sur les deux faces. Quant à son mouvement, il est bien évidemment certifié chronomètre (COSC) ; l’une des certifications les plus sérieuses au monde. Chez Breitling, chaque montre est testée individuellement.
« Je porte régulièrement cette SuperOcéan » souligne Lionel Kallmann. « L’étanchéité de 200 mètres assure à la montre un usage plaisant en toutes circonstances. J’aime sa ligne pure. Comme on le dit en photo : « elle prend la lumière ». Je pourrais même dire d’elle : « Elle est discrète… mais on ne voit qu'elle ! ».
Depuis plus de trente ans, ce passionné, ce collectionneur, ce connaisseur est l’un des piliers de la boutique L’Etoile d’Or, située dans le 9ème arrondissement à Paris. Un point de vente bien connu des amateurs. Un détaillant horloger incontournable et atypique dans l’univers parisien.
Lionel Kallmann a donc décidé de nous parler de l’une de ses montres préférées, de l’un de ses coups de cœur du moment : la Breitling SuperOcéan Héritage. « Elle m’a séduit par sa simplicité ainsi que par sa très forte présence sur le poignet » explique M. Kallmann.
Et Lionel Kallmann de rappeler : « C’est en 1957 que Breitling part à la conquête des mers en lançant la SuperOcéan. Alors qu'il fête ses vingt-cinq ans à la tête de l'entreprise, Willy Breitling décide de s'attaquer aux océans. Pour ce faire, Breitling présente à l’époque cette SuperOcéan, une montre de plongée étanche à 200 mètres. Ce qui représente un véritable exploit technique dans ces années-là ».
Pour garantir ce haut niveau de résistance, Breitling a opté pour une construction de boîtier monocoque où le mouvement est emboîté depuis le dessus ; la montre est également dotée d'un verre blindé.
Réédition contemporaine de ce modèle historique, la SuperOcéan Héritage puise largement dans le design de ses origines. Le cadran arbore le logo des années 50 avec la signature Breitling surmontée de la lettre B en or 18 carats. Le verre de cette plongeuse est une épaisse glace saphir inrayable traitée antireflet sur les deux faces. Quant à son mouvement, il est bien évidemment certifié chronomètre (COSC) ; l’une des certifications les plus sérieuses au monde. Chez Breitling, chaque montre est testée individuellement.
« Je porte régulièrement cette SuperOcéan » souligne Lionel Kallmann. « L’étanchéité de 200 mètres assure à la montre un usage plaisant en toutes circonstances. J’aime sa ligne pure. Comme on le dit en photo : « elle prend la lumière ». Je pourrais même dire d’elle : « Elle est discrète… mais on ne voit qu'elle ! ».
