Destiné aux personnalités qui ont su dompter voire anticiper le temps afin de l’adapter à leur vie, la C1 Pure incarne avec précision le 21ème siècle. En écho à cette énergie : la silhouette de la montre et sa performance. Une silhouette contemporaine, unisexe, qui, comme ces femmes et ces hommes passionnés, crée la tendance au lieu de la suivre. Symboles de cette indépendance et de cet éclectisme, les dimensions audacieuses du garde-temps, qui ancrent la nouvelle C1 dans le siècle.
Certifié chronomètre par le COSC, ce Chronographe C1 impose en effet ses exigences techniques et esthétiques dans un boîtier de 44 mm de diamètre et 16.7 mm d’épaisseur. Malgré ces mensurations, la montre apprivoise les poignets les plus fins grâce à son système d’attaches sans cornes, unique, qui lui assure un tombé exceptionnel et un parfait ajustement. Loin des stéréotypes habituels, sa robe blanche lui confère mordant et énergie, accentuant une construction originale à plus d’un égard. Les diamants qui habillent lunette et carrure ajoutent leur éclat à l’eurythmie graphique de l’ensemble.
Étanche à 20 ATM, la boîte d’acier est sanglée d’un anneau de protection en métal gainé de caoutchouc blanc, posé sur la carrure. Fixé latéralement par des vis autobloquantes, il est muni de huit segments qui enjambent la lunette et, telle une citadelle, protègent la glace saphir haute de 3.3 mm. La couronne en acier, composite et caoutchouc comporte quant à elle sept éléments qui, enchâssés les uns aux autres, sont un gage supplémentaire de résistance.
La structure du cadran, à l’aspect de fibre de verre, met en scène le temps avec raffinement. Sa construction en strates, qui joue avec la lumière et les reliefs, en accentue la perspective et la lisibilité, soulignant le moindre élément de mesure du temps.
Les aiguilles des heures et minutes, luminescentes, confrontent leurs lignes tendues et nerveuses. Partiellement et asymétriquement évidées, elles exercent un important rapport de force sur la tige centrale, exigeant dès lors une conception complexe et sophistiquée. Autre exercice de style et d’élaboration ardue : l’indication de la petite seconde à 9 heures, qui s’effectue par un disque en constante rotation. En vis-à-vis à 3 heures, la date apparaît graduellement dans un guichet en semi transparence. Les compteurs 30 minutes et 12 heures s’affichent à 12 et 6 heures. Enfin, la trotteuse centrale s’offre le luxe et l’impertinence de la couleur bleu Concord, également adoptée par les pointes du disque de petite seconde.
Visible par le fond transparent de la boîte, le mouvement à remontage automatique oscille à 28'800 Alternance/Heure et comporte 25 rubis. Il dispose en outre d’une réserve de marche de 48 heures. Rhodié et estampillé du logo C1, le rotor s’enrichit d’un décor en Côtes de Genève, dans la grande tradition de l’horlogerie suisse. Le garde-temps est assorti d’un bracelet de caoutchouc vulcarboné blanc à l’aspect mat velouté, avec double boucle déployante.
Certifié chronomètre par le COSC, ce Chronographe C1 impose en effet ses exigences techniques et esthétiques dans un boîtier de 44 mm de diamètre et 16.7 mm d’épaisseur. Malgré ces mensurations, la montre apprivoise les poignets les plus fins grâce à son système d’attaches sans cornes, unique, qui lui assure un tombé exceptionnel et un parfait ajustement. Loin des stéréotypes habituels, sa robe blanche lui confère mordant et énergie, accentuant une construction originale à plus d’un égard. Les diamants qui habillent lunette et carrure ajoutent leur éclat à l’eurythmie graphique de l’ensemble.
Étanche à 20 ATM, la boîte d’acier est sanglée d’un anneau de protection en métal gainé de caoutchouc blanc, posé sur la carrure. Fixé latéralement par des vis autobloquantes, il est muni de huit segments qui enjambent la lunette et, telle une citadelle, protègent la glace saphir haute de 3.3 mm. La couronne en acier, composite et caoutchouc comporte quant à elle sept éléments qui, enchâssés les uns aux autres, sont un gage supplémentaire de résistance.
La structure du cadran, à l’aspect de fibre de verre, met en scène le temps avec raffinement. Sa construction en strates, qui joue avec la lumière et les reliefs, en accentue la perspective et la lisibilité, soulignant le moindre élément de mesure du temps.
Les aiguilles des heures et minutes, luminescentes, confrontent leurs lignes tendues et nerveuses. Partiellement et asymétriquement évidées, elles exercent un important rapport de force sur la tige centrale, exigeant dès lors une conception complexe et sophistiquée. Autre exercice de style et d’élaboration ardue : l’indication de la petite seconde à 9 heures, qui s’effectue par un disque en constante rotation. En vis-à-vis à 3 heures, la date apparaît graduellement dans un guichet en semi transparence. Les compteurs 30 minutes et 12 heures s’affichent à 12 et 6 heures. Enfin, la trotteuse centrale s’offre le luxe et l’impertinence de la couleur bleu Concord, également adoptée par les pointes du disque de petite seconde.
Visible par le fond transparent de la boîte, le mouvement à remontage automatique oscille à 28'800 Alternance/Heure et comporte 25 rubis. Il dispose en outre d’une réserve de marche de 48 heures. Rhodié et estampillé du logo C1, le rotor s’enrichit d’un décor en Côtes de Genève, dans la grande tradition de l’horlogerie suisse. Le garde-temps est assorti d’un bracelet de caoutchouc vulcarboné blanc à l’aspect mat velouté, avec double boucle déployante.
