La perfection d'aspect est l'une des premières valeurs d'un objet de luxe. A ce jour, le contrôle d'aspect s'en remet à l'oeil humain d'experts qui déterminent le beau. Ainsi, dans le monde de l'esthétique et du haut de gamme, il y a autant de définitions du beau qu'il y a de critères subjectifs, puisque chaque marque énonce des standards qui lui sont propres et qui déterminent son style.
Un arrivage est-il bon, acceptable, un satinage est-il suffisamment soutenu, les Côtes de Genève sont-elles fidèles à l'esprit de la maison dans leur réalisation ? Les réponses à cette quête d’excellence ne sont pas les mêmes pour tous. Elles sont aujourd’hui fournies par des experts dont les yeux et la concentration sont soumis à rude épreuve…
Le caractère faillible de l'oeil humain, en fonction de l'heure de la journée et des fatigues accumulées, peut provoquer une inconstance dans l'identification systématique des mini-anomalies ou une sévérité variable de la part du « visiteur », ce spécialiste en charge du contrôle de qualité.
« Notre appareil permet de mesurer si l'expert dit toujours la même chose » affirme le Professeur Jacques Jacot, tête de file du projet mené au sein du Laboratoire de Production Microtechnique (LPM) de l’EPFL. Et d'ajouter que « son dispositif se laisse programmer selon des critères qui demeurent subjectifs et personnalisables ».
Cette drôle de machine se présente sous la forme d'une petite tour, avec en haut une caméra puis toute une série de LED réglables pour l'éclairage. Bien que ne disposant pas encore d'une esthétique définitive -Asyril et Qualimatest, les deux équipementiers associés au projet devraient certainement y remédier- ce système visuel ultra perfectionné est porteur de promesses et pas uniquement pour le secteur horloger...
Un arrivage est-il bon, acceptable, un satinage est-il suffisamment soutenu, les Côtes de Genève sont-elles fidèles à l'esprit de la maison dans leur réalisation ? Les réponses à cette quête d’excellence ne sont pas les mêmes pour tous. Elles sont aujourd’hui fournies par des experts dont les yeux et la concentration sont soumis à rude épreuve…
Le caractère faillible de l'oeil humain, en fonction de l'heure de la journée et des fatigues accumulées, peut provoquer une inconstance dans l'identification systématique des mini-anomalies ou une sévérité variable de la part du « visiteur », ce spécialiste en charge du contrôle de qualité.
« Notre appareil permet de mesurer si l'expert dit toujours la même chose » affirme le Professeur Jacques Jacot, tête de file du projet mené au sein du Laboratoire de Production Microtechnique (LPM) de l’EPFL. Et d'ajouter que « son dispositif se laisse programmer selon des critères qui demeurent subjectifs et personnalisables ».
Cette drôle de machine se présente sous la forme d'une petite tour, avec en haut une caméra puis toute une série de LED réglables pour l'éclairage. Bien que ne disposant pas encore d'une esthétique définitive -Asyril et Qualimatest, les deux équipementiers associés au projet devraient certainement y remédier- ce système visuel ultra perfectionné est porteur de promesses et pas uniquement pour le secteur horloger...
