Chez JeanRichard, la Terrascope est généralement une montre d’aventurier, d’explorateur et de globe-trotter… Une fois n’est pas coutume, elle revient en cette rentrée 2014, en montre d’artiste. Elle change d’ailleurs de patronyme pour devenir Graphiscope, terme plus adapté à cette pièce imaginée et conçue par l’artiste Gully.
D’une manière générale, la Terrascope/Graphiscope, montre très masculine avec son boîtier coussin et sa grande lunette ronde, se reconnait au premier coup d’œil. Ce boitier particulièrement robuste, est étanche à 100 mètres, et abrite le mouvement JR60 à remontage automatique (42 heures de réserve de marche).
Directement inspirées du travail de Gully, ces trois montres signées et limitées à 25 exemplaires chacune, se caractérisent par leur cadran et leur bracelet éclaboussés et bombés de peinture. Un écho horloger singulier aux dripping de Sam Francis et de Jackson Pollock.
C’est dans la très chic galerie parisienne d’Opera Gallery que François-Henri Pinault, PDG du groupe Kering, Bruno Grande, DG de JeanRichard et Gilles Dyan, Président Opera Gallery Group ont convié trois cents invités pour découvrir cette collection pour le moins originale. Pendant le vernissage, les « happy few » ont également pu découvrir la toile « Philosophy of Art 2 » créée spécialement par Gully pour la marque horlogère.
« Gully, figure du street art, et ami de notre marque portait une Terrascope en travaillant sur une nouvelle toile. A la fin de la journée, la montre étant toute tâchée de peinture, c’est à cet instant qu’est née l’idée d’une collaboration entre nous » explique Bruno Grande. De son côté, Gully (dont personne ne connait le visage).
A l’occasion de cet événement, une exposition inédite baptisée « Philosophy of Art » met en scène jusqu’au 11 octobre 2014 les dernières œuvres du mystérieux graffeur français (rappelons que personne ne connait son visage).
D’une manière générale, la Terrascope/Graphiscope, montre très masculine avec son boîtier coussin et sa grande lunette ronde, se reconnait au premier coup d’œil. Ce boitier particulièrement robuste, est étanche à 100 mètres, et abrite le mouvement JR60 à remontage automatique (42 heures de réserve de marche).
Directement inspirées du travail de Gully, ces trois montres signées et limitées à 25 exemplaires chacune, se caractérisent par leur cadran et leur bracelet éclaboussés et bombés de peinture. Un écho horloger singulier aux dripping de Sam Francis et de Jackson Pollock.
C’est dans la très chic galerie parisienne d’Opera Gallery que François-Henri Pinault, PDG du groupe Kering, Bruno Grande, DG de JeanRichard et Gilles Dyan, Président Opera Gallery Group ont convié trois cents invités pour découvrir cette collection pour le moins originale. Pendant le vernissage, les « happy few » ont également pu découvrir la toile « Philosophy of Art 2 » créée spécialement par Gully pour la marque horlogère.
« Gully, figure du street art, et ami de notre marque portait une Terrascope en travaillant sur une nouvelle toile. A la fin de la journée, la montre étant toute tâchée de peinture, c’est à cet instant qu’est née l’idée d’une collaboration entre nous » explique Bruno Grande. De son côté, Gully (dont personne ne connait le visage).
A l’occasion de cet événement, une exposition inédite baptisée « Philosophy of Art » met en scène jusqu’au 11 octobre 2014 les dernières œuvres du mystérieux graffeur français (rappelons que personne ne connait son visage).
