Voici un très beau projet –bénévole- mais qui risque d’avoir du mal à décoller dans la mesure où personne n’en parle, pas même les premiers intéressés qui ne communiquent pratiquement pas sur le lancement de leur montre…
L’idée ? Célébrer le cinquantième anniversaire de la Société Nationale de Sauvetage en Mer (SNSM). Il s’agit de rendre hommage à ces hommes courageux qui depuis cinquante ans mettent leur vie en danger pour venir sauver la vôtre sur toutes les mers de France.
Jusqu’au 19ème siècle, le sauvetage en mer était souvent une réalité tragique, marquée par le manque de moyens techniques, humains et financiers, qui ne permettait pas la mise en place d’une organisation efficace couvrant l’ensemble du littoral français.
Il faudra attendre la deuxième partie du 19ème pour que le sauvetage en mer créé deux organisations financées -déjà à l’époque- par des donations privées : la Société Centrale de Sauvetage des Naufragés et la Société des Hospitaliers Sauveteurs Bretons. En 1967, ces deux structures fusionnent au sein de la SNSM afin d’optimiser le sauvetage sur l’ensemble du littoral français. L’association loi 1901 sera reconnue d’utilité publique dès 1970.
L’idée ? Célébrer le cinquantième anniversaire de la Société Nationale de Sauvetage en Mer (SNSM). Il s’agit de rendre hommage à ces hommes courageux qui depuis cinquante ans mettent leur vie en danger pour venir sauver la vôtre sur toutes les mers de France.
Jusqu’au 19ème siècle, le sauvetage en mer était souvent une réalité tragique, marquée par le manque de moyens techniques, humains et financiers, qui ne permettait pas la mise en place d’une organisation efficace couvrant l’ensemble du littoral français.
Il faudra attendre la deuxième partie du 19ème pour que le sauvetage en mer créé deux organisations financées -déjà à l’époque- par des donations privées : la Société Centrale de Sauvetage des Naufragés et la Société des Hospitaliers Sauveteurs Bretons. En 1967, ces deux structures fusionnent au sein de la SNSM afin d’optimiser le sauvetage sur l’ensemble du littoral français. L’association loi 1901 sera reconnue d’utilité publique dès 1970.
C’est donc pour rendre hommage à ces hommes que cette montre en souscription a été lancée. Elle s’annonce comme « l’héritière à la fois de cette tradition maritime française et de l’enseignement de l’horlogerie ».
À ce titre, sa conception fait l’objet d’une étude réalisée par les élèves du diplôme des métiers d’arts en horlogerie du Lycée Diderot de Paris, dernier cycle d'études approfondies pour des élèves déjà tous horlogers, elle-même encadrée par les enseignants et l’Atelier Parisien d'Horlogerie.
Interprétation originale d’un instrument qui fut longtemps indispensable au marin, ce montre sera éditée à 50 exemplaires. Elle embarque un boitier en bronze de 41 mm (étanche 50 mètres) avec fond en titane et verre saphir. Le cadran est en émail Grand Feu associé à des aiguilles en acier bleui, les amateurs apprécieront. Le chiffre 50 apparait en rouge à 10h pour rappeler l’anniversaire de la SNSM. A l’intérieur bat un beau mouvement mécanique automatique avec petite seconde à 6h de chez Vaucher Manufacture ; gage de qualité ! L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator brun.
Côté tarif, il faudra compter tout de même 7.200 euros -ce qui risque de dissuader la majorité des amoureux de belles mécaniques, dommage- sachant que vous pouvez réserver votre modèle avec un premier versement de 720 euros (précommande jusqu’à novembre 2017). Ce montant permet d'être inscrit sur une liste d'attente jusqu'à la sortie officielle de la montre. Bon à savoir : vous avez la possibilité de vous désengager, le versement de 720 euros sera alors intégralement remboursé.
Atelier Parisien d'Horlogerie
28, rue Bergère
75009 Paris
France
info@aph-montres.fr
À ce titre, sa conception fait l’objet d’une étude réalisée par les élèves du diplôme des métiers d’arts en horlogerie du Lycée Diderot de Paris, dernier cycle d'études approfondies pour des élèves déjà tous horlogers, elle-même encadrée par les enseignants et l’Atelier Parisien d'Horlogerie.
Interprétation originale d’un instrument qui fut longtemps indispensable au marin, ce montre sera éditée à 50 exemplaires. Elle embarque un boitier en bronze de 41 mm (étanche 50 mètres) avec fond en titane et verre saphir. Le cadran est en émail Grand Feu associé à des aiguilles en acier bleui, les amateurs apprécieront. Le chiffre 50 apparait en rouge à 10h pour rappeler l’anniversaire de la SNSM. A l’intérieur bat un beau mouvement mécanique automatique avec petite seconde à 6h de chez Vaucher Manufacture ; gage de qualité ! L’ensemble se porte sur un bracelet en alligator brun.
Côté tarif, il faudra compter tout de même 7.200 euros -ce qui risque de dissuader la majorité des amoureux de belles mécaniques, dommage- sachant que vous pouvez réserver votre modèle avec un premier versement de 720 euros (précommande jusqu’à novembre 2017). Ce montant permet d'être inscrit sur une liste d'attente jusqu'à la sortie officielle de la montre. Bon à savoir : vous avez la possibilité de vous désengager, le versement de 720 euros sera alors intégralement remboursé.
Atelier Parisien d'Horlogerie
28, rue Bergère
75009 Paris
France
info@aph-montres.fr
