Un rêve passe… On se frotte les yeux et pourtant, non, ils sont bien là ! On nous l’avait bien dit, mais on n’osait y croire ! Dans une brise soutenue, les plus beaux voiliers du monde cinglent vers le large ! Moustache d’écume sous l’étrave, voiles bordées à plat, ces géants d’un âge d’or de la navigation de plaisance semblent jaillir d’un tableau de Marin Marie. On n’a jamais rien inventé de plus beau pour naviguer !
Ces extraordinaires voiliers ont en commun d’avoir été conçus et réalisés par quelques-uns des meilleurs chantiers navals de la planète qui ont trouvé là, des champs d’expérimentation extraordinaires que seules autorisaient les sommes folles investies par des propriétaires fous de beauté navale et immensément riches ! Leur élégance, ils la doivent autant à la précision des charpentiers de marine, à la minutie dignes des meilleurs horlogers pour les gréer et les accastiller qu’à la science développée pour imaginer ces immenses machines à vent.
Jugez plutôt : « Mariette » conçu il y a maintenant 98 ans par Nathanael Herreshoff, le sorcier de Bristol (Rhode Island), peut-être le plus grand de tous les architectes navals, auteur de quelques-uns des bateaux les plus mythiques de la planète dont le fameux Reliance, un géant de 43 m portant plus de 1.500 m2 de voilure… Il faut dire que ce bel animal avait été conçu pour la Coupe de l’America et que sa barre avait été confiée à l’immense Charlie Barr !
Le voilà qui s’avance, sublime, taillant l’écume en pièce avec, à ses côtés « Altaïr », autre cathédrale de voile dessinée et construite par William Fife, l’auteur de Yum, plus connu en France sous le nom de Pen Duick, le premier voilier d’Eric Tabarly… Mythique, on vous dit ! Avec une coque frôlant les 40 m de long et capable de supporter au portant pas loin de 650 m2 de voilure !
A leur côté, légèrement décalé sous le vent, voici Xarifa, extraordinaire goélette à trois mâts, de 50 m de long (!), construite en Angleterre en 1927 pour Franklin Morse Singer, fils du fondateur de la fameuse marque de machines à coudre. En tout, ce ne sont pas moins de 70 voiliers de 7 à 85 mètres qui se sont affrontées lors de régates sans merci dans les eaux étincelantes de la mer de Ligurie pour offrir un des plus beaux spectacles maritimes imaginables.
Ces extraordinaires voiliers ont en commun d’avoir été conçus et réalisés par quelques-uns des meilleurs chantiers navals de la planète qui ont trouvé là, des champs d’expérimentation extraordinaires que seules autorisaient les sommes folles investies par des propriétaires fous de beauté navale et immensément riches ! Leur élégance, ils la doivent autant à la précision des charpentiers de marine, à la minutie dignes des meilleurs horlogers pour les gréer et les accastiller qu’à la science développée pour imaginer ces immenses machines à vent.
Jugez plutôt : « Mariette » conçu il y a maintenant 98 ans par Nathanael Herreshoff, le sorcier de Bristol (Rhode Island), peut-être le plus grand de tous les architectes navals, auteur de quelques-uns des bateaux les plus mythiques de la planète dont le fameux Reliance, un géant de 43 m portant plus de 1.500 m2 de voilure… Il faut dire que ce bel animal avait été conçu pour la Coupe de l’America et que sa barre avait été confiée à l’immense Charlie Barr !
Le voilà qui s’avance, sublime, taillant l’écume en pièce avec, à ses côtés « Altaïr », autre cathédrale de voile dessinée et construite par William Fife, l’auteur de Yum, plus connu en France sous le nom de Pen Duick, le premier voilier d’Eric Tabarly… Mythique, on vous dit ! Avec une coque frôlant les 40 m de long et capable de supporter au portant pas loin de 650 m2 de voilure !
A leur côté, légèrement décalé sous le vent, voici Xarifa, extraordinaire goélette à trois mâts, de 50 m de long (!), construite en Angleterre en 1927 pour Franklin Morse Singer, fils du fondateur de la fameuse marque de machines à coudre. En tout, ce ne sont pas moins de 70 voiliers de 7 à 85 mètres qui se sont affrontées lors de régates sans merci dans les eaux étincelantes de la mer de Ligurie pour offrir un des plus beaux spectacles maritimes imaginables.
Officine Panerai était bien sûr présente avec son ketch bermudien Eilean (1936). La Maison florentine spécialisée en haute horlogerie sportive confirme ainsi son statut de leader mondial dans l'organisation d'événements liés à la culture de la voile classique avec, en 2014, pas moins de onze rendez-vous dans les mers les plus belles du monde et les plus chargées d'histoire. Entre Panerai et la voile d’époque, c'est un lien qui s'exprime aussi par la création de la Luminor 1950 Regatta 3 Days Chrono Flyback Titanio, le chronographe imaginé par la marque pour calculer -avec simplicité-, les temps qui précèdent le signal de départ d'une régate.
Cette manifestation, organisée par l'Assonautica Provinciale di Imperia avec le soutien technique du Yacht Club Sanremo et le parrainage du CIM (Comitato Internazionale del Mediterraneo), représente le plus important rassemblement de ce type en Italie. La sixième et dernière étape du Circuit méditerranéen du Panerai Classic Yachts Challenge se déroulera en France du 23 au 27 septembre avec les Régates Royales de Cannes, où seront remis les prestigieux trophées de la saison 2014.
Cette manifestation, organisée par l'Assonautica Provinciale di Imperia avec le soutien technique du Yacht Club Sanremo et le parrainage du CIM (Comitato Internazionale del Mediterraneo), représente le plus important rassemblement de ce type en Italie. La sixième et dernière étape du Circuit méditerranéen du Panerai Classic Yachts Challenge se déroulera en France du 23 au 27 septembre avec les Régates Royales de Cannes, où seront remis les prestigieux trophées de la saison 2014.
Par Jean-Charles Durand
