Il s’agit bel et bien d’une petite révolution dans le monde des Paneristi… En effet, la fameuse Radiomir Black Seal, qui a séduit des milliers d’amoureux de la marque florentine, s’offre cette année le calibre « maison » P.5000 et ses huit jours de réserve de marche.
Le cadran reste bien évidemment le même. La mention Black Seal gravée à 12h a été « déposée » par Officine Panerai et vient rappeler l’histoire de la marque ; Black Seal était en effet, l’un des noms qui désignaient les torpilles à course lente, moyen d’assaut sur lesquels les plongeurs de la marine militaire italienne effectuaient leurs missions sous-marines pendant la seconde guerre mondiale, équipés de montres et d’instruments Panerai.
Au-delà de cette mention, on retrouve le célèbre cadran noir de type sandwich avec chiffres, index et aiguilles en Superluminova et la petite seconde à 3h. L’inscription « 8 days » apparait à 6h. Cette Black Seal conserve son iconique boitier de forme coussin de 45 mm en acier (AISI 316L) étanche 100 mètres.
Tout comme pour les modèles Luminor, ce calibre huit jours de réserve de marche devient donc l’entrée de gamme de la marque (mais cette fois-ci dans une Radiomir). Une entrée de gamme qui abandonne le fameux calibre manuel Unitas au profit d’un mouvement « manufacture », également à remontage manuel.
Avec un diamètre de 15 ¾ lignes (35,7 mm) et une épaisseur de 4,5 mm, ce mouvement compte 21 rubis, 127 composants et son balancier oscille à une fréquence de 3 Hz, ce qui correspond à 21 600 alternances par heure. Son architecture, originale et robuste, rappelle celle des anciens mouvements dans lesquels le mécanisme était dissimulé par deux platines qui recouvraient une grande partie des engrenages et ne laissaient entrevoir que quelques détails, comme le pont du balancier et la roue intermédiaire.
Le balancier du calibre P.5000 est à inertie variable : sa fréquence d’oscillation se règle grâce aux petites vis situées sur le périmètre de la roue et le spiral est libre, c’est-à-dire, sans la raquette qui sert initialement à modifier sa longueur active. Le pont soutenant le balancier est fixé par deux vis sous lesquelles se trouvent des rondelles dentelées qui peuvent tourner dans les deux sens et servent à régler le jeu à hauteur de l’axe du balancier. « Cette solution technique permet à l’échappement de fonctionner parfaitement en cas de choc » assure la marque dans son communiqué.
La longue réserve de marche de 192 heures, correspondant à 8 jours, est obtenue en montant en série deux barillets à bride fixe. Ce double dispositif permet d’utiliser des ressorts de remontage plus longs et plus fins, au profit de la durée et de l’uniformité de la distribution de l’énergie.
Le cadran reste bien évidemment le même. La mention Black Seal gravée à 12h a été « déposée » par Officine Panerai et vient rappeler l’histoire de la marque ; Black Seal était en effet, l’un des noms qui désignaient les torpilles à course lente, moyen d’assaut sur lesquels les plongeurs de la marine militaire italienne effectuaient leurs missions sous-marines pendant la seconde guerre mondiale, équipés de montres et d’instruments Panerai.
Au-delà de cette mention, on retrouve le célèbre cadran noir de type sandwich avec chiffres, index et aiguilles en Superluminova et la petite seconde à 3h. L’inscription « 8 days » apparait à 6h. Cette Black Seal conserve son iconique boitier de forme coussin de 45 mm en acier (AISI 316L) étanche 100 mètres.
Tout comme pour les modèles Luminor, ce calibre huit jours de réserve de marche devient donc l’entrée de gamme de la marque (mais cette fois-ci dans une Radiomir). Une entrée de gamme qui abandonne le fameux calibre manuel Unitas au profit d’un mouvement « manufacture », également à remontage manuel.
Avec un diamètre de 15 ¾ lignes (35,7 mm) et une épaisseur de 4,5 mm, ce mouvement compte 21 rubis, 127 composants et son balancier oscille à une fréquence de 3 Hz, ce qui correspond à 21 600 alternances par heure. Son architecture, originale et robuste, rappelle celle des anciens mouvements dans lesquels le mécanisme était dissimulé par deux platines qui recouvraient une grande partie des engrenages et ne laissaient entrevoir que quelques détails, comme le pont du balancier et la roue intermédiaire.
Le balancier du calibre P.5000 est à inertie variable : sa fréquence d’oscillation se règle grâce aux petites vis situées sur le périmètre de la roue et le spiral est libre, c’est-à-dire, sans la raquette qui sert initialement à modifier sa longueur active. Le pont soutenant le balancier est fixé par deux vis sous lesquelles se trouvent des rondelles dentelées qui peuvent tourner dans les deux sens et servent à régler le jeu à hauteur de l’axe du balancier. « Cette solution technique permet à l’échappement de fonctionner parfaitement en cas de choc » assure la marque dans son communiqué.
La longue réserve de marche de 192 heures, correspondant à 8 jours, est obtenue en montant en série deux barillets à bride fixe. Ce double dispositif permet d’utiliser des ressorts de remontage plus longs et plus fins, au profit de la durée et de l’uniformité de la distribution de l’énergie.
