Audemars Piguet a choisi de parler aux femmes autrement. Il n’est plus question de leur présenter une figure dans laquelle se reconnaître ou de leur proposer un modèle auquel ressembler à tout prix.
Ce sont les créations de montres et de joaillerie qui ont la vedette.
La Manufacture du Brassus prend également le contre-pied de la communication horlogère qui a pour habitude de s’adresser aux hommes et aux femmes de façon différente. L’unité du discours prime désormais.
Ainsi, dans la continuité de la campagne masculine lancée en 2003, les nouveaux visuels dames magnifient le produit en créant la surprise et en attisant la curiosité.
Qu’est-ce qu’un piment vient faire aux côtés d’un chronographe en or rose serti et caoutchouc ?
Celle qui apprécie l’insolite saura y voir une combinaison des plus audacieuses. L’accroche « Beauté sulfureuse » lui rappellera son pouvoir de séduction, « celui dont les femmes usent et abusent depuis toujours » souligne la marque... Et la fera sourire.
Les poupées russes expriment le « féminin pluriel », le mythe universel de la femme aux mille facettes, mais avec douceur et au second degré.
Le trait d’humour est encore au rendez-vous avec les carrés de chocolat et la notion de gourmandise : après tout, comment ne pas avoir l’eau à la bouche devant un garde-temps Audemars Piguet ?
Enfin, avec la plante carnivore, beauté, tentation et danger semblent irrémédiablement liés –à moins qu’il ne s’agisse au fond que d’apprécier les belles choses…
Cette campagne se conçoit en effet comme un dialogue complice avec les clientes de la marque, femmes de goût, connaisseuses averties, exigeantes et distinguées. Ce dialogue a été mis en images par l’agence Publicis EtNous qui est à l’origine de la campagne masculine et qui travaille en étroite collaboration avec Audemars Piguet depuis 2003.
Ce sont les créations de montres et de joaillerie qui ont la vedette.
La Manufacture du Brassus prend également le contre-pied de la communication horlogère qui a pour habitude de s’adresser aux hommes et aux femmes de façon différente. L’unité du discours prime désormais.
Ainsi, dans la continuité de la campagne masculine lancée en 2003, les nouveaux visuels dames magnifient le produit en créant la surprise et en attisant la curiosité.
Qu’est-ce qu’un piment vient faire aux côtés d’un chronographe en or rose serti et caoutchouc ?
Celle qui apprécie l’insolite saura y voir une combinaison des plus audacieuses. L’accroche « Beauté sulfureuse » lui rappellera son pouvoir de séduction, « celui dont les femmes usent et abusent depuis toujours » souligne la marque... Et la fera sourire.
Les poupées russes expriment le « féminin pluriel », le mythe universel de la femme aux mille facettes, mais avec douceur et au second degré.
Le trait d’humour est encore au rendez-vous avec les carrés de chocolat et la notion de gourmandise : après tout, comment ne pas avoir l’eau à la bouche devant un garde-temps Audemars Piguet ?
Enfin, avec la plante carnivore, beauté, tentation et danger semblent irrémédiablement liés –à moins qu’il ne s’agisse au fond que d’apprécier les belles choses…
Cette campagne se conçoit en effet comme un dialogue complice avec les clientes de la marque, femmes de goût, connaisseuses averties, exigeantes et distinguées. Ce dialogue a été mis en images par l’agence Publicis EtNous qui est à l’origine de la campagne masculine et qui travaille en étroite collaboration avec Audemars Piguet depuis 2003.