Dans cette nouvelle version, la Fifthy Fathoms, (la toute première montre de plongée née en 1953) tente le pari toujours délicat d’associer une pièce sportive à des complications de haute horlogerie.
Pour rappel, ce modèle fut introduit à l’origine, pour la première fois, en 2007 à l'occasion du lancement de la collection Fifty Fathoms contemporaine.
Ces deux nouvelles versions font donc la part belle au tourbillon au sein d’un cadran bleu épuré doté d'une finition soleillée. Le tourbillon, dit « volant » car exempté de pont supérieur pour entraîner sa cage, semble flotter dans une grande ouverture ronde à 12h.
Pour rappel, ce modèle fut introduit à l’origine, pour la première fois, en 2007 à l'occasion du lancement de la collection Fifty Fathoms contemporaine.
Ces deux nouvelles versions font donc la part belle au tourbillon au sein d’un cadran bleu épuré doté d'une finition soleillée. Le tourbillon, dit « volant » car exempté de pont supérieur pour entraîner sa cage, semble flotter dans une grande ouverture ronde à 12h.
La complexité technique de cette construction horlogère contraste avec le style sportif des index, des aiguilles et de la lunette. Cette dernière reste un élément clé de la montre, avec son relief cranté facilitant le maniement, son système de rotation unidirectionnelle et son insert en saphir inrayable
légèrement bombé.
D'un diamètre de 45 mm, imposant, le boîtier de cette nouvelle Fifty Fathoms est décliné en deux matériaux : le titane de grade 23 (rare en horlogerie) et l'or rouge, tous deux satinés. Le titane, un choix audacieux pour une grande complication.
Il se démarque par sa légèreté –garante d'un grand confort au porté, encore faut-il aimer cette sensation– ainsi que sa résistance, à la fois aux chocs, à la pression et à la corrosion. L'or rouge, quant à lui, offre un écrin plus conventionnel au tourbillon et s’affirme plus « lourdement » au poignet.
légèrement bombé.
D'un diamètre de 45 mm, imposant, le boîtier de cette nouvelle Fifty Fathoms est décliné en deux matériaux : le titane de grade 23 (rare en horlogerie) et l'or rouge, tous deux satinés. Le titane, un choix audacieux pour une grande complication.
Il se démarque par sa légèreté –garante d'un grand confort au porté, encore faut-il aimer cette sensation– ainsi que sa résistance, à la fois aux chocs, à la pression et à la corrosion. L'or rouge, quant à lui, offre un écrin plus conventionnel au tourbillon et s’affirme plus « lourdement » au poignet.
Étanche à 30 bar (environ 300 mètres), cette plongeuse renferme le mouvement à remontage automatique 25C visible à travers le fond saphir. Ce dernier présente des finitions telles que côtes de Genève et perlage. Sa masse oscillante en or est satinée et ajourée afin d'offrir une vue la plus ouverte possible sur le mouvement.
Le garde-temps en titane est proposé avec un bracelet en toile de voile ou NATO bleu, ainsi qu'un
bracelet en titane. La montre en or rouge est disponible avec un bracelet en toile de voile ou NATO
bleu.
Pour les deux modèles, le bracelet en toile de voile peut être associé, selon les souhaits, à une
boucle ardillon ou déployante.
Le garde-temps en titane est proposé avec un bracelet en toile de voile ou NATO bleu, ainsi qu'un
bracelet en titane. La montre en or rouge est disponible avec un bracelet en toile de voile ou NATO
bleu.
Pour les deux modèles, le bracelet en toile de voile peut être associé, selon les souhaits, à une
boucle ardillon ou déployante.