Dans les années 1960, la Navitimer de Breitling était « la » montre des pilote de ligne, un métier hautement prestigieux à cette époque où le transport aérien restait réservé à une certaine élite !
Mais le monde, notamment les Soviétiques et les Américains, a rapidement tourné son regard plus haut et plus loin que le voyage aérien : l’exploration de l’espace. Cette « nouvelle frontière » chère à J.F. Kennedy.
Parallèlement et en coulisses, une autre course spatiale se déroulait discrètement et cette fois-ci, elle opposait les horlogers rivalisant pour être le premier au poignet des astronautes.
Fort logiquement, l’expertise de Breitling en matière de montres d’aviateurs a propulsé la marque en tête de peloton.
Mais le monde, notamment les Soviétiques et les Américains, a rapidement tourné son regard plus haut et plus loin que le voyage aérien : l’exploration de l’espace. Cette « nouvelle frontière » chère à J.F. Kennedy.
Parallèlement et en coulisses, une autre course spatiale se déroulait discrètement et cette fois-ci, elle opposait les horlogers rivalisant pour être le premier au poignet des astronautes.
Fort logiquement, l’expertise de Breitling en matière de montres d’aviateurs a propulsé la marque en tête de peloton.
Le 24 mai 1962, Breitling prétend officiellement au titre de « première montre de poignet suisse dans l’espace » après que l’astronaute Scott Carpenter ait effectué trois fois le tour de la Terre avec la Navitimer Cosmonaute au poignet pendant sa mission Mercury-Atlas 7.
Il faut savoir que ce garde-temps (qui se trouve aujourd’hui dans le musée Breitling) résultait d’une demande personnelle de Scott Carpenter.
Avant sa mission, l’astronaute écrivit à Breitling pour commander une Navitimer personnalisée avec quelques modifications spécifiques : une lunette plus large pour être manipulée avec des gants, un bracelet en métal extensible pour s’adapter à la combinaison spatiale et, l’élément le plus célèbre, un cadran de 24 heures.
En orbite, où le soleil se lève et se couche toutes les 90 minutes, cet affichage sur 24 heures lui permettrait de garder les pieds sur terre.
Il faut savoir que ce garde-temps (qui se trouve aujourd’hui dans le musée Breitling) résultait d’une demande personnelle de Scott Carpenter.
Avant sa mission, l’astronaute écrivit à Breitling pour commander une Navitimer personnalisée avec quelques modifications spécifiques : une lunette plus large pour être manipulée avec des gants, un bracelet en métal extensible pour s’adapter à la combinaison spatiale et, l’élément le plus célèbre, un cadran de 24 heures.
En orbite, où le soleil se lève et se couche toutes les 90 minutes, cet affichage sur 24 heures lui permettrait de garder les pieds sur terre.
Aujourd’hui, pour le 100e anniversaire de la naissance de Scott Carpenter, la marque dévoile donc cette Navitimer Cosmonaute en or platine de 41 mm qui ne sera produite qu’à 50 exemplaires.
La nouvelle Navitimer B02 Chronograph 41 Cosmonaute Scott Carpenter Centenary célèbre les 100 ans de la naissance du défunt astronaute, le 1er mai 1925. Le cadran bleu profond évoque la couleur de la Terre vue de l’espace : vive, saturée et inoubliable, tandis que la règle à calcul d’un blanc éclatant rappelle sa couverture nuageuse tourbillonnante.
On retrouve ce même bleu sur le bracelet en cuir d’alligator assorti, fixé par une boucle déployante en or blanc. Limitée à 50 exemplaires, cette édition est l’ultime hommage à Scott Carpenter et à sa mission historique Mercury-Atlas 7.
Cette Navitimer Cosmonaute Scott Carpenter Centenary est animée par le calibre de manufacture Breitling B02, un chronographe manuel avec affichage sur 24 heures. Le mouvement certifié COSC offre une réserve de marche d’environ 70 heures et est visible à travers le fond de boîtier en saphir.
La nouvelle Navitimer B02 Chronograph 41 Cosmonaute Scott Carpenter Centenary célèbre les 100 ans de la naissance du défunt astronaute, le 1er mai 1925. Le cadran bleu profond évoque la couleur de la Terre vue de l’espace : vive, saturée et inoubliable, tandis que la règle à calcul d’un blanc éclatant rappelle sa couverture nuageuse tourbillonnante.
On retrouve ce même bleu sur le bracelet en cuir d’alligator assorti, fixé par une boucle déployante en or blanc. Limitée à 50 exemplaires, cette édition est l’ultime hommage à Scott Carpenter et à sa mission historique Mercury-Atlas 7.
Cette Navitimer Cosmonaute Scott Carpenter Centenary est animée par le calibre de manufacture Breitling B02, un chronographe manuel avec affichage sur 24 heures. Le mouvement certifié COSC offre une réserve de marche d’environ 70 heures et est visible à travers le fond de boîtier en saphir.
Des gravures uniques sur le pont rendent hommage à Scott Carpenter avec les inscriptions « Carpenter », le nom de sa capsule « Aurora 7 », « 3 orbits around the Earth » ainsi que le nom du premier groupe d’astronautes de la NASA « Mercury 7 ». D’autres gravures sur le fond du boîtier indiquent « First Swiss wristwatch in space », « One of 50 » et « Scott Carpenter Centenary 1925-2025 ».
À 12h, le cadran arbore le logo ailé de l’Aircraft Owners and Pilots Association (AOPA), soulignant le rôle historique de la Navitimer en tant que montre officielle du plus grand club de pilotes au monde depuis sa création en 1952.
La montre présente trois sous-cadrans pour les secondes, les minutes et les heures, ainsi qu’un discret guichet de date à 6h. Les poussoirs champignon garantissent un fonctionnement fluide, tandis que l’aiguille des secondes, de couleur rouge vif, facilite la lisibilité.
Le garde-temps est présenté dans un luxueux coffret en bois, dont l’intérieur porte la mention « First Swiss wristwatch in space. May 24th, 1962. » Il est accompagné d’une réplique du badge Mercury 7 de Scott Carpenter.
La Cosmonaute originale (en potho ci-dessus) a été endommagée lors de l’amerrissage. Après avoir atterri à 250 miles nautiques (460 km) de son point d’arrivée dans l’Atlantique, Scott Carpenter a passé trois heures dans un radeau de sauvetage à attendre les secours.
Pendant ce temps, l’eau salée a corrodé le cadran. Willy Breitling remplaça la montre et le modèle original a été conservé dans les archives de la marque, intact et invisible, jusqu’en 2022, date de sa première apparition publique à l’occasion du 60e anniversaire de la mission de Scott Carpenter.
Il a ensuite été exposé au musée éphémère Then & Now de Breitling à Zurich dans le cadre du 140e anniversaire de la marque. La corrosion du cadran lui a donné l’aspect d’une planète lointaine.
Bien qu’endommagé, ce modèle original reste un précieux témoin des débuts de l’exploration spatiale et un tournant audacieux dans l’horlogerie suisse.
À 12h, le cadran arbore le logo ailé de l’Aircraft Owners and Pilots Association (AOPA), soulignant le rôle historique de la Navitimer en tant que montre officielle du plus grand club de pilotes au monde depuis sa création en 1952.
La montre présente trois sous-cadrans pour les secondes, les minutes et les heures, ainsi qu’un discret guichet de date à 6h. Les poussoirs champignon garantissent un fonctionnement fluide, tandis que l’aiguille des secondes, de couleur rouge vif, facilite la lisibilité.
Le garde-temps est présenté dans un luxueux coffret en bois, dont l’intérieur porte la mention « First Swiss wristwatch in space. May 24th, 1962. » Il est accompagné d’une réplique du badge Mercury 7 de Scott Carpenter.
La Cosmonaute originale (en potho ci-dessus) a été endommagée lors de l’amerrissage. Après avoir atterri à 250 miles nautiques (460 km) de son point d’arrivée dans l’Atlantique, Scott Carpenter a passé trois heures dans un radeau de sauvetage à attendre les secours.
Pendant ce temps, l’eau salée a corrodé le cadran. Willy Breitling remplaça la montre et le modèle original a été conservé dans les archives de la marque, intact et invisible, jusqu’en 2022, date de sa première apparition publique à l’occasion du 60e anniversaire de la mission de Scott Carpenter.
Il a ensuite été exposé au musée éphémère Then & Now de Breitling à Zurich dans le cadre du 140e anniversaire de la marque. La corrosion du cadran lui a donné l’aspect d’une planète lointaine.
Bien qu’endommagé, ce modèle original reste un précieux témoin des débuts de l’exploration spatiale et un tournant audacieux dans l’horlogerie suisse.