La légèreté pour une montre aux origines aéronautiques semble être une évidence, pourtant, le titane reste assez peu présent au sein de la collection Santos de Cartier. Et, d’une manière plus générale, dans l’ensemble du catalogue de la maison de la rue de la Paix à Paris.
L’arrivée d’une Santos tout en titane mérite donc une attention particulière. Le titane est le 9ème élément chimique le plus abondant sur terre et se classe 4ème dans la liste des métaux, derrière le fer, l’aluminium et le magnésium.
Ce matériau technique confère à cette Santos une robustesse et une légèreté exceptionnelle (43% que la version en acier). Agréable à porter, anti-allergique et anti-corrosion, ce métal est très apprécié des amateurs d’horlogerie.
L’arrivée d’une Santos tout en titane mérite donc une attention particulière. Le titane est le 9ème élément chimique le plus abondant sur terre et se classe 4ème dans la liste des métaux, derrière le fer, l’aluminium et le magnésium.
Ce matériau technique confère à cette Santos une robustesse et une légèreté exceptionnelle (43% que la version en acier). Agréable à porter, anti-allergique et anti-corrosion, ce métal est très apprécié des amateurs d’horlogerie.
Pour le reste, on retrouve les caractéristiques de ce modèle Santos qui fut relancé par Cartier en 2018. Un boitier de 39.8 x 47.5 mm étanche à 100 mètres qui embarque le calibre automatique 1847 MC.
L’utilisation de composants amagnétiques en nickel phosphore pour le mécanisme d’échappement du mouvement, ainsi qu’un bouclier réalisé dans un alliage paramagnétique intégré au boîtier, permet au calibre 1847 MC de résister efficacement aux champs magnétiques puissants auxquels peut être exposée une montre dans la vie courante. Par contre, sa réserve de marche est standard avec une quarantaine d’heures annoncées.
Le cadran blanc arbore bien évidemment les grands chiffres romains, le chemin de fer et les aiguilles glaives en acier bleui. Du très « Cartier ». La date apparait quant à elle à 6h de manière classique.
Cette version est livrée avec deux bracelets qui s’interchangent grâce au système QuickSwitch (une grande tendance), brevet déposé par Cartier dont le mécanisme invisible se fond parfaitement dans l’architecture du boîtier. Situé sous le bracelet, il s’actionne d’une simple pression. Le changement de strap s’effectue en un tournemain ! Efficace.
L’arrivée de cette Santos en titane (finition matte) marque probablement un tournant pour Cartier qui pourrait désormais proposer peut-être d’autres modèles sportifs dans ce métal par ailleurs très courant dans l’industrie horlogère depuis qu’il y a 55 ans, il fut utilisé pour la première fois par la maison japonaise Citizen !
L’utilisation de composants amagnétiques en nickel phosphore pour le mécanisme d’échappement du mouvement, ainsi qu’un bouclier réalisé dans un alliage paramagnétique intégré au boîtier, permet au calibre 1847 MC de résister efficacement aux champs magnétiques puissants auxquels peut être exposée une montre dans la vie courante. Par contre, sa réserve de marche est standard avec une quarantaine d’heures annoncées.
Le cadran blanc arbore bien évidemment les grands chiffres romains, le chemin de fer et les aiguilles glaives en acier bleui. Du très « Cartier ». La date apparait quant à elle à 6h de manière classique.
Cette version est livrée avec deux bracelets qui s’interchangent grâce au système QuickSwitch (une grande tendance), brevet déposé par Cartier dont le mécanisme invisible se fond parfaitement dans l’architecture du boîtier. Situé sous le bracelet, il s’actionne d’une simple pression. Le changement de strap s’effectue en un tournemain ! Efficace.
L’arrivée de cette Santos en titane (finition matte) marque probablement un tournant pour Cartier qui pourrait désormais proposer peut-être d’autres modèles sportifs dans ce métal par ailleurs très courant dans l’industrie horlogère depuis qu’il y a 55 ans, il fut utilisé pour la première fois par la maison japonaise Citizen !