Première concrétisation de ce renouveau, Chronométrie Ferdinand Berthoud a présenté fin 2015vun garde-temps inspiré des horloges de marine conçues par le fondateur de cette marque historique. Né en 1727 dans le Val-de-Travers (Suisse), Ferdinand Berthoud accède à la maîtrise d’horloger à Paris en 1753.
Horloger et chercheur d’exception, celui qui occupa la position d’Horloger-Mécanicien du Roi et de la Marine, laisse une œuvre d’une ampleur exceptionnelle, notamment dans le domaine des chronomètres de marine qui ont permis de calculer la longitude avec une extrême précision et ainsi contribué à la conquête des océans au 18ème siècle. C’est pour rendre hommage à ce maître horloger que K-F Scheufele a souhaité être l’artisan de la renaissance de cet illustre nom.
Cette marque ne proposera que des garde-temps d’exception dans une production confidentielle et une distribution très exclusive (par exemple, en France, F.B. ne sera vendu que chez Dubail place Vendôme). Le groupe Chopard pose ainsi un nouveau jalon dans son développement horloger et renforce encore sa présence à Fleurier, au Val-de-Travers, dans le canton de Neuchâtel (Suisse) où la société Chronométrie Ferdinand Berthoud est implantée.
Passionné de culture et d’histoire, K-F Scheufele admire les créations et le parcours exemplaires de Ferdinand Berthoud. Il a rassemblé une exceptionnelle collection de garde-temps exposés au L.U.CEUM à Fleurier. Sa fascination n’a cessé de croître en découvrant le fabuleux héritage laissé par cet artisan, qu’il s’agisse de chronomètres de marine, de montres de poche ou de régulateurs.
Horloger et chercheur d’exception, celui qui occupa la position d’Horloger-Mécanicien du Roi et de la Marine, laisse une œuvre d’une ampleur exceptionnelle, notamment dans le domaine des chronomètres de marine qui ont permis de calculer la longitude avec une extrême précision et ainsi contribué à la conquête des océans au 18ème siècle. C’est pour rendre hommage à ce maître horloger que K-F Scheufele a souhaité être l’artisan de la renaissance de cet illustre nom.
Cette marque ne proposera que des garde-temps d’exception dans une production confidentielle et une distribution très exclusive (par exemple, en France, F.B. ne sera vendu que chez Dubail place Vendôme). Le groupe Chopard pose ainsi un nouveau jalon dans son développement horloger et renforce encore sa présence à Fleurier, au Val-de-Travers, dans le canton de Neuchâtel (Suisse) où la société Chronométrie Ferdinand Berthoud est implantée.
Passionné de culture et d’histoire, K-F Scheufele admire les créations et le parcours exemplaires de Ferdinand Berthoud. Il a rassemblé une exceptionnelle collection de garde-temps exposés au L.U.CEUM à Fleurier. Sa fascination n’a cessé de croître en découvrant le fabuleux héritage laissé par cet artisan, qu’il s’agisse de chronomètres de marine, de montres de poche ou de régulateurs.
Comme le souligne avec enthousiasme Karl-Friedrich Scheufele : « sa vie et son œuvre sont absolument uniques ! Sa destinée, remarquable. Fin diplomate, il a traversé l’Histoire, des Lumières à l’Empire, en survivant à la Révolution. Reconnu et respecté pour ses créations, Ferdinand Berthoud a également été un exceptionnel théoricien de l’horlogerie et il est l’auteur de nombreux ouvrages de référence*. Mais le plus important est certainement son esprit visionnaire, puisqu’aujourd’hui encore, une grande part de ses travaux demeure d’actualité. »
Avec la création de cette nouvelle marque, le groupe Chopard pose un nouveau jalon dans le développement de son pôle horloger et renforce sa présence à Fleurier, dans le Val-de-Travers, une région du canton de Neuchâtel empreinte d’une tradition horlogère séculaire. Et ce n’est sans doute pas un hasard de l’histoire si Ferdinand Berthoud est né à cinq kilomètres de Fleurier, où sont déjà réunis Chopard Manufacture, en charge de la production des mouvements de Haute Horlogerie L.U.C, Fleurier Ebauches SA, qui assure la production des mouvements mécaniques Chopard, et le L.U.CEUM qui rassemble quelques-unes des pièces les plus admirables de l’art horloger.
Si Chronométrie Ferdinand Berthoud fait partie du groupe Chopard, le développement, la conception et la production des montres relèvent d’une réalisation distincte, autonome et dédiée. Pour garantir cette exclusivité et cette indépendance, des constructeurs spécifiques ont été engagés afin de développer les calibres et les habillages originaux de ces garde-temps incomparables. Autonome dans sa conception, la CFB bénéficiera toutefois de l’expertise et de l’assise du groupe.
« Nous avons réalisé une transposition de ce que pourrait concevoir Ferdinand Berthoud s’il vivait à notre époque conclut K-F Scheufele. L’interprétation contemporaine de son génie consiste à puiser l’inspiration dans les plus remarquables réalisations du maître-horloger pour en proposer une création moderne, porteuse de caractères distinctifs réinterprétés, évoquant les constructions emblématiques d’autrefois. (…) Notre objectif ne vise pas à concevoir des pièces nostalgiques commémoratives, mais à proposer des montres contemporaines qui sauront se montrer à la hauteur du grand nom qu’elles portent et de l’excellence qu’il inspire légitimement ».
Avec la création de cette nouvelle marque, le groupe Chopard pose un nouveau jalon dans le développement de son pôle horloger et renforce sa présence à Fleurier, dans le Val-de-Travers, une région du canton de Neuchâtel empreinte d’une tradition horlogère séculaire. Et ce n’est sans doute pas un hasard de l’histoire si Ferdinand Berthoud est né à cinq kilomètres de Fleurier, où sont déjà réunis Chopard Manufacture, en charge de la production des mouvements de Haute Horlogerie L.U.C, Fleurier Ebauches SA, qui assure la production des mouvements mécaniques Chopard, et le L.U.CEUM qui rassemble quelques-unes des pièces les plus admirables de l’art horloger.
Si Chronométrie Ferdinand Berthoud fait partie du groupe Chopard, le développement, la conception et la production des montres relèvent d’une réalisation distincte, autonome et dédiée. Pour garantir cette exclusivité et cette indépendance, des constructeurs spécifiques ont été engagés afin de développer les calibres et les habillages originaux de ces garde-temps incomparables. Autonome dans sa conception, la CFB bénéficiera toutefois de l’expertise et de l’assise du groupe.
« Nous avons réalisé une transposition de ce que pourrait concevoir Ferdinand Berthoud s’il vivait à notre époque conclut K-F Scheufele. L’interprétation contemporaine de son génie consiste à puiser l’inspiration dans les plus remarquables réalisations du maître-horloger pour en proposer une création moderne, porteuse de caractères distinctifs réinterprétés, évoquant les constructions emblématiques d’autrefois. (…) Notre objectif ne vise pas à concevoir des pièces nostalgiques commémoratives, mais à proposer des montres contemporaines qui sauront se montrer à la hauteur du grand nom qu’elles portent et de l’excellence qu’il inspire légitimement ».
Biographie de Ferdinand Berthoud
1727 : Ferdinand Berthoud naît le 18 mars 1727 à Plancemont sur Couvet au sein du Val-de-Travers, dans le canton de Neuchâtel en Suisse, dans une famille de notables et d’horlogers-penduliers.
1745 : Âgé de 18 ans, Ferdinand Berthoud s’installe à Paris pour se perfectionner dans la profession d’horloger-pendulier.
1753 : Par un arrêt spécial du Conseil du roi Louis XV Ferdinand Berthoud reçoit officiellement, à seulement 26 ans, le titre de Maître Horloger.
1755 : Ferdinand Berthoud rédige plusieurs articles de référence sur l’horlogerie dans « L’Encyclopédie méthodique » dirigée par Diderot (1713-1784) et d’Alembert (1717-1783).
1763 : Publication d’un traité d’horlogerie en deux volumes, « Essai sur l’horlogerie »
1764 : Ferdinand Berthoud est élu « membre associé étranger » de la Royal Society à Londres en vertu de l’importance de ses œuvres et de ses publications dans le domaine de l’horlogerie.
1768 : Les horloges marines N°6 et N°8 sont éprouvées avec succès en mer à bord de la corvette « L’Isis » lors d’un voyage aller-retour de Rochefort à Saint Domingue durant 18 mois. L’horloge marine N°8 permit de déterminer sur une carte la position réelle du bateau et de calculer, grâce aux observations astronomiques, la longitude à un demi-degré près.
1770 : Suite au succès des essais en mer des horloges marines n°6 et n°8, Ferdinand Berthoud obtient le brevet d’Horloger Mécanicien du Roi et de la Marine et une commande royale de vingt horloges marines à l’usage de l’amirauté française pour les nombreuses campagnes de cartographie et de relevés hydrographiques qui auront lieu dans la fin du XVIIIème siècle.
1802 : Ferdinand Berthoud publie l’un de ses plus importants ouvrages : « Histoire de la mesure du temps par les horloges », dans lequel il démontre son savoir exceptionnel dans l’art de la mécanique horlogère.
1804 : Le 17 juillet, Ferdinand Berthoud reçoit de Napoléon 1er le titre de Chevalier de la Légion d’honneur
1807 : Ferdinand Berthoud publie son dernier ouvrage, intitulé « Supplément au traité des montres à longitudes […] »
Le 20 juin 1807, Ferdinand Berthoud décède à l’âge de 80 ans à Groslay (France)
Ses neveux Pierre-Louis Berthoud (1754-1813) et Charles-Auguste Berthoud (1798-1876) poursuivront l’œuvre de leur oncle avec succès et connaîtront une grande renommée dans l’art de la chronométrie.
1745 : Âgé de 18 ans, Ferdinand Berthoud s’installe à Paris pour se perfectionner dans la profession d’horloger-pendulier.
1753 : Par un arrêt spécial du Conseil du roi Louis XV Ferdinand Berthoud reçoit officiellement, à seulement 26 ans, le titre de Maître Horloger.
1755 : Ferdinand Berthoud rédige plusieurs articles de référence sur l’horlogerie dans « L’Encyclopédie méthodique » dirigée par Diderot (1713-1784) et d’Alembert (1717-1783).
1763 : Publication d’un traité d’horlogerie en deux volumes, « Essai sur l’horlogerie »
1764 : Ferdinand Berthoud est élu « membre associé étranger » de la Royal Society à Londres en vertu de l’importance de ses œuvres et de ses publications dans le domaine de l’horlogerie.
1768 : Les horloges marines N°6 et N°8 sont éprouvées avec succès en mer à bord de la corvette « L’Isis » lors d’un voyage aller-retour de Rochefort à Saint Domingue durant 18 mois. L’horloge marine N°8 permit de déterminer sur une carte la position réelle du bateau et de calculer, grâce aux observations astronomiques, la longitude à un demi-degré près.
1770 : Suite au succès des essais en mer des horloges marines n°6 et n°8, Ferdinand Berthoud obtient le brevet d’Horloger Mécanicien du Roi et de la Marine et une commande royale de vingt horloges marines à l’usage de l’amirauté française pour les nombreuses campagnes de cartographie et de relevés hydrographiques qui auront lieu dans la fin du XVIIIème siècle.
1802 : Ferdinand Berthoud publie l’un de ses plus importants ouvrages : « Histoire de la mesure du temps par les horloges », dans lequel il démontre son savoir exceptionnel dans l’art de la mécanique horlogère.
1804 : Le 17 juillet, Ferdinand Berthoud reçoit de Napoléon 1er le titre de Chevalier de la Légion d’honneur
1807 : Ferdinand Berthoud publie son dernier ouvrage, intitulé « Supplément au traité des montres à longitudes […] »
Le 20 juin 1807, Ferdinand Berthoud décède à l’âge de 80 ans à Groslay (France)
Ses neveux Pierre-Louis Berthoud (1754-1813) et Charles-Auguste Berthoud (1798-1876) poursuivront l’œuvre de leur oncle avec succès et connaîtront une grande renommée dans l’art de la chronométrie.