La référence 43032, ou montre-bracelet squelette à calendrier perpétuel, a été lancée en 1984. Un an auparavant, Vacheron Constantin avait développé son premier calendrier perpétuel bracelet sous la référence 43031.
La volonté d’allier grande complication et animation esthétique, telle que le squelettage, traduit un goût constant de la maison pour le « Beau ». Cette alliance de défi technique et de finition s’impose comme un vrai testament de Haute Horlogerie, au milieu d’une crise dite du “quartz”.
Le tout dans une volonté de rendre hommage à la tradition horlogère héritée des montres de poches. En effet, le retour à la montre traditionnelle doit beaucoup à l’absence d’émotions dégagée par les modèles à quartz et à leur technologie dénuée d’attrait artistique.
Cette tradition horlogère prend ici forme avec une grande complication, le calendrier perpétuel, qui nécessita des années de développement.
Réinventer la mise en valeur des complications astronomiques permet aussi de donner l’impression d’une nouvelle maîtrise du temps et de rappeler le lien inaltérable entre astronomie, science originelle de l’observation du temps, et horlogerie.
Au fil des ans, la maîtrise technique des régulateurs rotatifs s’est illustrée sous plusieurs aspects. Créée en 2005 pour les 250 ans de la maison, cette montre rend hommage à son passé et met en valeur ses capacités d’innovations techniques. Le calibre 2250 réunit à la fois un tourbillon et un calendrier perpétuel, ainsi qu’une réserve de marche de 10 jours avec ses quatre barillets : première mondiale pour une telle combinaison.
Cette pièce, baptisée Saint-Gervais en référence au quartier historique des horlogers de Genève, affiche un détail unique et nouveau : un cadran en platine, guilloché main, dont le motif est réservé pour les montres du 250ème anniversaire. Un autre détail est la première apposition du Poinçon de Genève sur le cadran, habituellement appliqué sur les ponts et platines des mouvements.
La volonté d’allier grande complication et animation esthétique, telle que le squelettage, traduit un goût constant de la maison pour le « Beau ». Cette alliance de défi technique et de finition s’impose comme un vrai testament de Haute Horlogerie, au milieu d’une crise dite du “quartz”.
Le tout dans une volonté de rendre hommage à la tradition horlogère héritée des montres de poches. En effet, le retour à la montre traditionnelle doit beaucoup à l’absence d’émotions dégagée par les modèles à quartz et à leur technologie dénuée d’attrait artistique.
Cette tradition horlogère prend ici forme avec une grande complication, le calendrier perpétuel, qui nécessita des années de développement.
Réinventer la mise en valeur des complications astronomiques permet aussi de donner l’impression d’une nouvelle maîtrise du temps et de rappeler le lien inaltérable entre astronomie, science originelle de l’observation du temps, et horlogerie.
Au fil des ans, la maîtrise technique des régulateurs rotatifs s’est illustrée sous plusieurs aspects. Créée en 2005 pour les 250 ans de la maison, cette montre rend hommage à son passé et met en valeur ses capacités d’innovations techniques. Le calibre 2250 réunit à la fois un tourbillon et un calendrier perpétuel, ainsi qu’une réserve de marche de 10 jours avec ses quatre barillets : première mondiale pour une telle combinaison.
Cette pièce, baptisée Saint-Gervais en référence au quartier historique des horlogers de Genève, affiche un détail unique et nouveau : un cadran en platine, guilloché main, dont le motif est réservé pour les montres du 250ème anniversaire. Un autre détail est la première apposition du Poinçon de Genève sur le cadran, habituellement appliqué sur les ponts et platines des mouvements.