La Tank de chez Cartier en or sur bracelet tressé en or est particulièrement belle, rare et recherchée… Surement car, dans cette configuration, elle offre un look totalement inhabituel mais qui lui va si bien. C’est la même chose pour cette Reverso toute en or rose.
La maille milanaise de cette Reverso est constituée de spires métalliques entrelacées qui composent un tricot dense et plat de petits maillons imbriqués les uns dans les autres. La fabrication d’un bracelet de ce type nécessite… 16 mètres de fil d’or rose (la longueur d’un bus) !
Après assemblage, cela forme une structure fluide appelée pezza. Pour garantir une flexibilité maximale, le processus doit se dérouler sans interruption.
La maille milanaise de cette Reverso est constituée de spires métalliques entrelacées qui composent un tricot dense et plat de petits maillons imbriqués les uns dans les autres. La fabrication d’un bracelet de ce type nécessite… 16 mètres de fil d’or rose (la longueur d’un bus) !
Après assemblage, cela forme une structure fluide appelée pezza. Pour garantir une flexibilité maximale, le processus doit se dérouler sans interruption.
Dernière étape : les maillons sont resserrés pour que l’ensemble respecte des dimensions précises puis soudés à la main sur chaque bord, un par un. Lisse, souple, dépourvu de goupilles, le bracelet affiche une durabilité exceptionnelle.
Cette technique est née au XIIIe siècle dans la ville de Milan (qui lui a donné son nom), où elle était utilisée à l’origine pour concevoir des cottes de mailles. Plus tard, les orfèvres de la Renaissance l’ont imaginée en métal précieux sur leurs créations joaillières.
Restée inconnue en dehors de l’Italie pendant plusieurs siècles, ce n’est que dans les années 1920 que des bijoutiers allemands s’en emparent, remportant un succès mondial. Comme toutes les tendances, sa popularité faiblit avec le temps…
Cette technique est née au XIIIe siècle dans la ville de Milan (qui lui a donné son nom), où elle était utilisée à l’origine pour concevoir des cottes de mailles. Plus tard, les orfèvres de la Renaissance l’ont imaginée en métal précieux sur leurs créations joaillières.
Restée inconnue en dehors de l’Italie pendant plusieurs siècles, ce n’est que dans les années 1920 que des bijoutiers allemands s’en emparent, remportant un succès mondial. Comme toutes les tendances, sa popularité faiblit avec le temps…
Jusqu’aux années 1970, où la maille milanaise redevient à la mode, cette fois-ci en horlogerie. Aujourd’hui, elle connaît un nouveau regain d’intérêt grâce à son style polymorphe, tantôt sportif, tantôt élégant.
Sur cette Reverso, le bracelet en maille ajoute une touche de chic qui s’accorde à la perfection avec l’esthétique épurée du cadran signature de la ligne Tribute et à la palette or rose de la montre. Sa finesse complète les lignes sobres de la boîte, d’une épaisseur de 7,56 mm.
Son système de fixation au niveau des cornes a été légèrement revu de manière à ce qu’il semble entièrement intégré.
Sur cette Reverso, le bracelet en maille ajoute une touche de chic qui s’accorde à la perfection avec l’esthétique épurée du cadran signature de la ligne Tribute et à la palette or rose de la montre. Sa finesse complète les lignes sobres de la boîte, d’une épaisseur de 7,56 mm.
Son système de fixation au niveau des cornes a été légèrement revu de manière à ce qu’il semble entièrement intégré.
Par ailleurs, la texture finement grainée du cadran, fruit de plusieurs opérations d’estampage, contraste avec la brillance miroitante du reste de la pièce.
En effet, outre la boîte, les maillons ainsi que la boucle intégrée en or rose du bracelet sont polis, renforçant ainsi l’impression d’harmonie.
Lorsque la boîte (45,6 x 27,4 mm, étanche à 30 mètres) pivote et laisse apparaître son fond en métal, qu’il soit laissé vierge ou personnalisé avec un motif gravé ou laqué, la montre prend toute sa dimension joaillière.
En effet, outre la boîte, les maillons ainsi que la boucle intégrée en or rose du bracelet sont polis, renforçant ainsi l’impression d’harmonie.
Lorsque la boîte (45,6 x 27,4 mm, étanche à 30 mètres) pivote et laisse apparaître son fond en métal, qu’il soit laissé vierge ou personnalisé avec un motif gravé ou laqué, la montre prend toute sa dimension joaillière.
Confortable, le bracelet s’ajuste grâce à son fermoir coulissant, donc pas besoin de « couper » le bracelet pour sa mise à taille (l’un des points faibles des bracelets en en or en maille d’une manière générale).
Sur le cadran, les heures sont marquées par des index appliqués plutôt que par des chiffres. Leur forme allongée et leur profil facetté ajoutent du relief et rappellent la silhouette des aiguilles Dauphine. Le compteur circulaire de la petite seconde, situé à 6h, apporte un contraste bienvenu avec la géométrie rectiligne du cadran et de la boîte.
La Reverso Tribute Monoface Small Seconds (référence Q713216J) est animée par le calibre mécanique à remontage manuel 822, doté d’une réserve de marche standard de 42 heures. Ce mouvement, dont la forme épouse les lignes rectangulaires de la montre, a été entièrement conçu, produit et assemblé par la manufacture.
Sur le cadran, les heures sont marquées par des index appliqués plutôt que par des chiffres. Leur forme allongée et leur profil facetté ajoutent du relief et rappellent la silhouette des aiguilles Dauphine. Le compteur circulaire de la petite seconde, situé à 6h, apporte un contraste bienvenu avec la géométrie rectiligne du cadran et de la boîte.
La Reverso Tribute Monoface Small Seconds (référence Q713216J) est animée par le calibre mécanique à remontage manuel 822, doté d’une réserve de marche standard de 42 heures. Ce mouvement, dont la forme épouse les lignes rectangulaires de la montre, a été entièrement conçu, produit et assemblé par la manufacture.