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Lange : ode au bleu


Lange ne surfe pas sur les modes puisque c’est « anti-luxe ». En revanche, lorsqu’une couleur de cadran s’impose depuis quelques années déjà comme un nouveau « classique », la plus prestigieuse des maisons saxonnes suit le mouvement. Dans cet esprit, la manufacture de Glashütte vient de dévoiler quatre modèles arborant de splendides cadrans bleus.



Lange : ode au bleu
Certes, le cadran ne fait pas la montre mais toute de même ! C’est lui qu’on voit en premier dès qu’on bouge le poignet pour regarder l’heure. C’est aussi lui qui fera que l’on se lasse –ou pas- de son garde-temps. On comprend dès lors, l’importance d’avoir un beau « visage » pour sa montre…
 
Pas de souci chez Lange. On ne risque pas de se lasser des nouveaux cadrans bleus ! En effet, la manufacture saxonne vient de dévoiler dans son catalogue, quatre de ses modèles iconiques (deux à remontage manuel et deux automatiques) qui désormais seront disponibles avec de somptueux cadrans bleus : la Lange 1, la Lange 1 Daymatic, la Saxonia et la Saxonia Automatique.
 
Rappelons que depuis cinq ou six ans, le bleu s’est imposé dans l’univers de l’horlogerie haut de gamme ; « blue is new black ». Ce que d’aucuns prenaient pour un effet de mode est tout simplement devenu une véritable tendance de fond qui s’est installée durablement sur le marché horloger. Désormais, pas une marque qui n’a pas dans son catalogue un ou plusieurs modèles arborant cette couleur de cadran. 

Lange : ode au bleu
Chez Lange, ces derniers sont en argent massif galvanisé bleu nuit ; de toute beauté. Ils sont associés à des boitiers en or gris qui rendent ces montres totalement modernes et classiques à la fois. Les aiguilles et appliques polies en or rhodié soulignent le contraste de la composition, tandis que les bracelets cousus main en alligator bleu foncé et les boucles à ardillon en or gris massif parachèvent le tout.
 
Le bleu a toujours inspiré les artistes mais également intéressé les scientifiques. Ainsi, le génie Léonard de Vinci a décrit la couleur du ciel et de l’immensité comme un « mélange à la croisée de la lumière et des ténèbres ». L’outremer naturel, obtenu à partir de lapis-lazuli, était autrefois tellement rare et précieux qu’Albrecht Dürer l’assimilait à de l’or.
 
C’est seulement au début du XVIIIe siècle que l’on parvint à synthétiser ce pigment, qui n’existe plus sous cette forme dans la nature. La découverte du bleu de Prusse a déclenché quant à lui, une véritable révolution artistique sans laquelle ni les Trente-six vues du mont Fuji d’Hokusai, ni la période bleue de Picasso, ni la Nuit étoilée de Van Gogh n’existeraient !
 

Montres-de-luxe.com | Publié le 25 Octobre 2017 | Lu 2242 fois