Intéressante nouveauté chez Le Forban en cette fin d’année 2025. Une nouveauté baptisée la « Marseillaise » que les visiteurs de We Love Watches ont pu découvrir « en vrai » lors de la dernière édition qui s’est tenue début octobre.
Après avoir navigué depuis 2019 sur les côtes de l’Atlantique, cette année, Le Forban Sécurité Mer met le cap au sud. Une première puisqu’après la Malouine, la Brestoise ou encore la Rochelaise, c’est la Marseillaise qui est à l’honneur.
Une plongeuse qui rend hommage au fameux boitier Monnin (que l’on retrouvait chez Heuer ou Zodiac et plus récemment sur les plongeuses Jacques Bianchi ou un modèle en édition limitée vendu par Frojo sous son nom et baptisée la Phocéenne).
Après avoir navigué depuis 2019 sur les côtes de l’Atlantique, cette année, Le Forban Sécurité Mer met le cap au sud. Une première puisqu’après la Malouine, la Brestoise ou encore la Rochelaise, c’est la Marseillaise qui est à l’honneur.
Une plongeuse qui rend hommage au fameux boitier Monnin (que l’on retrouvait chez Heuer ou Zodiac et plus récemment sur les plongeuses Jacques Bianchi ou un modèle en édition limitée vendu par Frojo sous son nom et baptisée la Phocéenne).
Ces boîtiers sont typiques des montres de plongée des années 1960-70 : de grandes dimensions pour l’époque, une lunette tournante, des finitions robustes et un design fort et identifiable par les connaisseurs.
Avec une épaisseur réduite de 13 mm à moins de 12 mm, un diamètre ramené de 42 mm à 40,8 mm et une longueur de cornes à cornes de 46 mm, cette Marseillaise de 2025 se veut plus élégante et plus facile à porter que les modèles vintage, tout en conservant son identité.
Une véritable plongeuse (étanche à 250 mètres vs 200 m pour les autres modèles de la marque) certes, mais plus polyvalente au quotidien.
Avec une épaisseur réduite de 13 mm à moins de 12 mm, un diamètre ramené de 42 mm à 40,8 mm et une longueur de cornes à cornes de 46 mm, cette Marseillaise de 2025 se veut plus élégante et plus facile à porter que les modèles vintage, tout en conservant son identité.
Une véritable plongeuse (étanche à 250 mètres vs 200 m pour les autres modèles de la marque) certes, mais plus polyvalente au quotidien.
Elle reprend tous les codes traditionnels de ce type de garde-temps : lunette de plongée unidirectionnelle 120 clics avec bague en aluminium, cadran « diver » ultra-lisible, aiguilles « flèches » et trotteuse Lollipop.
Rappelons qu’en plus d’indiquer les secondes, la trotteuse fait également office d’indicateur de marche pour une plongeuse.
Côté moteur, cette montre embarque un mouvement suisse Sellita SW 200-1 reconnu pour sa fiabilité.
Rappelons qu’en plus d’indiquer les secondes, la trotteuse fait également office d’indicateur de marche pour une plongeuse.
Côté moteur, cette montre embarque un mouvement suisse Sellita SW 200-1 reconnu pour sa fiabilité.
Avec 26 rubis, il bat à 28 800 A / h et offre une réserve de marche standard de 38 heures. Un peu juste de nos jours, mais la montre coute mille euros…
Autre à souligner sur cette nouveauté : pour la Marseillaise, le légendaire bracelet militaire « Bund » (issu de l’univers de l’aviation et des pilotes) a été revisité en caoutchouc FKM pour devenir un véritable bracelet de plongeuse.
Devenu depuis un accessoire de mode, il n’avait jamais été développé (à notre connaissance) en caoutchouc pour une utilisation sous-marine. Naturellement, cette plongeuse peut aussi se porter de manière plus traditionnelle en retirant le pad central.
Autre à souligner sur cette nouveauté : pour la Marseillaise, le légendaire bracelet militaire « Bund » (issu de l’univers de l’aviation et des pilotes) a été revisité en caoutchouc FKM pour devenir un véritable bracelet de plongeuse.
Devenu depuis un accessoire de mode, il n’avait jamais été développé (à notre connaissance) en caoutchouc pour une utilisation sous-marine. Naturellement, cette plongeuse peut aussi se porter de manière plus traditionnelle en retirant le pad central.