La Maison des Arts et de la Culture Horlogère (MACH) voit le jour pour répondre à un besoin à Genève, complétant l’offre culturelle genevoise tant pour le tissu local que les visiteurs et touristes, et s’inscrivant dans la complémentarité des institutions genevoises qui soutiennent le projet.
Une initiative indépendante et à but non lucratif, qui a un double objectif : permettre au grand public -tissu local genevois, visiteurs et touristes- de comprendre ce qu’il y a derrière une montre –savoir-faire, gestes, passion, histoire et innovations, et susciter des vocations auprès des jeunes.
Pour l’occasion, François-Paul Journe, horloger français et fondateur de F.P.Journe commente : « F.P.Journe est heureux de soutenir le projet de la MACH, car Genève mérite un lieu qui valorise son patrimoine horloger tout en offrant un véritable outil pédagogique pour éveiller les vocations et faire découvrir au grand public les métiers cachés derrière chaque garde-temps et enfin l’exposition de la collection d’horlogerie de la Ville de Genève. »
De son côté, Maximilian Büsser, fondateur et patron de MB&F souligne : « la belle horlogerie, grâce autant à son passé qu’à son actualité, est un des plus grands attraits de notre ville. Les nouvelles générations ne se contentent plus de regarder des objets anciens ou de lire des textes historiques ».
Une initiative indépendante et à but non lucratif, qui a un double objectif : permettre au grand public -tissu local genevois, visiteurs et touristes- de comprendre ce qu’il y a derrière une montre –savoir-faire, gestes, passion, histoire et innovations, et susciter des vocations auprès des jeunes.
Pour l’occasion, François-Paul Journe, horloger français et fondateur de F.P.Journe commente : « F.P.Journe est heureux de soutenir le projet de la MACH, car Genève mérite un lieu qui valorise son patrimoine horloger tout en offrant un véritable outil pédagogique pour éveiller les vocations et faire découvrir au grand public les métiers cachés derrière chaque garde-temps et enfin l’exposition de la collection d’horlogerie de la Ville de Genève. »
De son côté, Maximilian Büsser, fondateur et patron de MB&F souligne : « la belle horlogerie, grâce autant à son passé qu’à son actualité, est un des plus grands attraits de notre ville. Les nouvelles générations ne se contentent plus de regarder des objets anciens ou de lire des textes historiques ».
Et de préciser : « ils ont besoin d’un lieu où se rassembler pour partager et apprendre, un lieu qui va leur raconter l’histoire et le présent de cet extraordinaire objet à travers des anecdotes, des interactions, des métiers horlogers, de l’audio-visuel. La belle horlogerie est vivante – elle se doit d’être mise en valeur dans un environnement tout aussi vivant. MB&F soutient avec enthousiasme le projet de la MACH ! »
Philippe Dufour, horloger et président de la Fondation Horopedia, déclare quant à lui : « les objectifs fixés sont ambitieux mais nécessaires tant pour ceux qui pratiquent l’art horloger, soucieux de conserver et défendre un savoir-faire séculaire, ainsi que pour le grand public qui peut comprendre au travers d’une visite la complexité derrière un objet que certains peuvent voir comme anachronique mais porteur de sens et de substance. »
Marc André Deschoux, fondateur de la MACH, complète : « l’horlogerie est une magnifique démonstration de l’ingéniosité humaine, un témoignage précieux de nos origines, un lien entre le passé et un relais vers notre futur. Tout doit être mis en œuvre pour que l’horlogerie contemporaine demeure un bien commun, apprécié du plus grand nombre pour les valeurs qu’elle incarne et la richesse de son patrimoine artisanal, emblématique de la Suisse. »
« Ainsi, la MACH est destinée à être un lieu vivant et pérenne dédié à la valorisation du patrimoine horloger, à la transmission des savoir-faire, et à la sensibilisation du grand public, qui ambitionne de faire rayonner l’art horloger sous toutes ses formes » assure le communiqué.
Le bâtiment, une ancienne banque, situé dans le Quartier des Banques de Genève, sur une surface répartie en 4 étages de 240 mètres carrés chacun ouvert au public.
Il accueillera des expositions permanentes, thématiques, patrimoniales, des espaces immersifs, des ateliers vivants, un pôle pédagogique de production de contenus destinés aux écoles d’horlogerie suisses, un auditorium, un club pour collectionneurs et mécènes, ainsi qu’un espace gratuit au rez-de-chaussée (cafétéria, boutique, présentation des écoles, des formations professionnelles et institutions horlogères).
Le parcours inclura :
• Une introduction didactique aux principes mécaniques de base d’un mouvement,
• Des salles mettant en valeur les métiers horlogers et les complications,
• Une réflexion plus philosophique sur l’impact de la maîtrise du temps dans nos sociétés,
• Un récit historique de Genève et de l’horlogerie mondiale du XVe siècle à nos jours, et les défis du futur.
Six objectifs clés ont été définis :
• Mettre en lumière le patrimoine horloger dans sa globalité, avec des pièces provenant du MAH, d’autres musées, et de collections privées.
• Valoriser les métiers horlogers à travers des espaces immersifs, sonores et interactifs.
• Susciter des vocations auprès des jeunes générations.
• Renforcer l’offre culturelle genevoise pour les locaux comme pour les touristes.
• Créer un lieu vivant, ouvert 6 jours sur 7, complémentaire aux institutions existantes.
• Matérialiser physiquement la mission encyclopédique de la Fondation Horopedia (via Horopedia.org).
Philippe Dufour, horloger et président de la Fondation Horopedia, déclare quant à lui : « les objectifs fixés sont ambitieux mais nécessaires tant pour ceux qui pratiquent l’art horloger, soucieux de conserver et défendre un savoir-faire séculaire, ainsi que pour le grand public qui peut comprendre au travers d’une visite la complexité derrière un objet que certains peuvent voir comme anachronique mais porteur de sens et de substance. »
Marc André Deschoux, fondateur de la MACH, complète : « l’horlogerie est une magnifique démonstration de l’ingéniosité humaine, un témoignage précieux de nos origines, un lien entre le passé et un relais vers notre futur. Tout doit être mis en œuvre pour que l’horlogerie contemporaine demeure un bien commun, apprécié du plus grand nombre pour les valeurs qu’elle incarne et la richesse de son patrimoine artisanal, emblématique de la Suisse. »
« Ainsi, la MACH est destinée à être un lieu vivant et pérenne dédié à la valorisation du patrimoine horloger, à la transmission des savoir-faire, et à la sensibilisation du grand public, qui ambitionne de faire rayonner l’art horloger sous toutes ses formes » assure le communiqué.
Le bâtiment, une ancienne banque, situé dans le Quartier des Banques de Genève, sur une surface répartie en 4 étages de 240 mètres carrés chacun ouvert au public.
Il accueillera des expositions permanentes, thématiques, patrimoniales, des espaces immersifs, des ateliers vivants, un pôle pédagogique de production de contenus destinés aux écoles d’horlogerie suisses, un auditorium, un club pour collectionneurs et mécènes, ainsi qu’un espace gratuit au rez-de-chaussée (cafétéria, boutique, présentation des écoles, des formations professionnelles et institutions horlogères).
Le parcours inclura :
• Une introduction didactique aux principes mécaniques de base d’un mouvement,
• Des salles mettant en valeur les métiers horlogers et les complications,
• Une réflexion plus philosophique sur l’impact de la maîtrise du temps dans nos sociétés,
• Un récit historique de Genève et de l’horlogerie mondiale du XVe siècle à nos jours, et les défis du futur.
Six objectifs clés ont été définis :
• Mettre en lumière le patrimoine horloger dans sa globalité, avec des pièces provenant du MAH, d’autres musées, et de collections privées.
• Valoriser les métiers horlogers à travers des espaces immersifs, sonores et interactifs.
• Susciter des vocations auprès des jeunes générations.
• Renforcer l’offre culturelle genevoise pour les locaux comme pour les touristes.
• Créer un lieu vivant, ouvert 6 jours sur 7, complémentaire aux institutions existantes.
• Matérialiser physiquement la mission encyclopédique de la Fondation Horopedia (via Horopedia.org).