Depuis les années 70, en gros, depuis la Royal Oak, la Laureato et la Nautilus, les montres sport-chics n’ont jamais cessé de fasciner les amateurs de belles mécaniques. Il en existe de nos jours, dans toutes les gammes de prix et pour tous les goûts.
Toutes ont un point commun : un bracelet intégré en métal qui les différencie de tous les autres modèles, souvent un calibre mécanique (mais il existe des versions quartz) et souvent une étanchéité minimum de 50 mètres.
Cette nouvelle Louis Erard reprend bien évidemment tous ces fondamentaux. Manuel Emch, le patron de la marque, étant un grand connaisseur de l’horlogerie, il ne pouvait pas se tromper.
Toutes ont un point commun : un bracelet intégré en métal qui les différencie de tous les autres modèles, souvent un calibre mécanique (mais il existe des versions quartz) et souvent une étanchéité minimum de 50 mètres.
Cette nouvelle Louis Erard reprend bien évidemment tous ces fondamentaux. Manuel Emch, le patron de la marque, étant un grand connaisseur de l’horlogerie, il ne pouvait pas se tromper.
Autre point important à souligner : il ne s’agit pas d’une montre en édition limitée mais d’une référence qui entre en catalogue !
« Nous avions dit que nous allions passer à la vitesse supérieure. C’est chose faite ! » explique le communiqué de LE. Et de préciser : « cinq ans après le lancement de notre nouvelle stratégie, voici la première montre Louis Erard avec bracelet intégré. Son nom : 2340, comme le code postal de notre maison au Noirmont ».
« Il était temps de créer une montre avec un bracelet intégré pensé pour ne faire qu’un avec notre nouveau boîtier. Deux ans de développement pour atteindre le bon équilibre : une architecture dégressive, combinant deux matériaux, titane et acier, et deux finitions, brossé et poli » explique Manuel Emch.
« Nous avions dit que nous allions passer à la vitesse supérieure. C’est chose faite ! » explique le communiqué de LE. Et de préciser : « cinq ans après le lancement de notre nouvelle stratégie, voici la première montre Louis Erard avec bracelet intégré. Son nom : 2340, comme le code postal de notre maison au Noirmont ».
« Il était temps de créer une montre avec un bracelet intégré pensé pour ne faire qu’un avec notre nouveau boîtier. Deux ans de développement pour atteindre le bon équilibre : une architecture dégressive, combinant deux matériaux, titane et acier, et deux finitions, brossé et poli » explique Manuel Emch.
Et d’ajouter : « les flancs du bracelet sont satinés et biseautés polis une fois le bracelet assemblé, une opération délicate qui ne laisse pas de place à l’imprécision. Rien n’est simple dans cette pièce et pourtant tout est fluide. Chaque élément est ajusté à la perfection. On atteint un niveau de finition digne de la haute horlogerie, sans le prix qui va avec ».
Plus concrètement, cette montre se présente dans un boitier de 40 mm (ou 41,5 mm de corne à corne) qui est étanche à 50 mètres. Sa carrure en titane assure légèreté et confort, tandis que les cornes intégrées, la lunette, le fond et la couronne sont en acier et définissent la structure -tout en se prêtant parfaitement au polissage.
Sur les flancs, on remarque la présence de quatre godrons qui signent la singularité de la pièce de leur relief. Une signature esthétique alliée à un rôle technique, puisque les godrons permettent de fixer le bracelet à la boîte de manière invisible.
Plus concrètement, cette montre se présente dans un boitier de 40 mm (ou 41,5 mm de corne à corne) qui est étanche à 50 mètres. Sa carrure en titane assure légèreté et confort, tandis que les cornes intégrées, la lunette, le fond et la couronne sont en acier et définissent la structure -tout en se prêtant parfaitement au polissage.
Sur les flancs, on remarque la présence de quatre godrons qui signent la singularité de la pièce de leur relief. Une signature esthétique alliée à un rôle technique, puisque les godrons permettent de fixer le bracelet à la boîte de manière invisible.
Le bracelet justement : il compte 92 composants, dont 46 maillons et intermaillons, 2 embouts, 32 goupilles et 12 vis. Les maillons extérieurs sont en titane brossé, tandis que les maillons centraux en acier poli jouent le contraste.
Pour assurer la fluidité du bracelet, chaque maillon est biseauté de manière dégressive également, une opération très délicate qui est réalisée manuellement une fois le bracelet assemblé.
La boucle déployante papillon, maintenue par une lame ressort, assure un ajustement parfait tout en étant invisible au porté. Entièrement intégré au boîtier, le bracelet crée une continuité visuelle fluide, dans l’esprit des icônes du design (les amateurs comprendront de qui il s’agit…).
Pour assurer la fluidité du bracelet, chaque maillon est biseauté de manière dégressive également, une opération très délicate qui est réalisée manuellement une fois le bracelet assemblé.
La boucle déployante papillon, maintenue par une lame ressort, assure un ajustement parfait tout en étant invisible au porté. Entièrement intégré au boîtier, le bracelet crée une continuité visuelle fluide, dans l’esprit des icônes du design (les amateurs comprendront de qui il s’agit…).
Trois cadrans (heureusement sans date) sont disponibles pour cette nouvelle création : le vert menthe (le plus original) affiche une base frappée oblong.
Le motif composé de formes ovales répétées rappelle les contours stylistiques des pilules, un clin d’œil à la couleur de la montre et à son logo capsule à 6 heures.
Les versions bleu acier et bleu profond présentent quant à eux, un frappé ligné. Le motif linéaire régulier fait écho aux lignes du bracelet intégré. Et tous ces cadrans se distinguent par leurs index rehaussés comme flottants sur le cadran.
Le motif composé de formes ovales répétées rappelle les contours stylistiques des pilules, un clin d’œil à la couleur de la montre et à son logo capsule à 6 heures.
Les versions bleu acier et bleu profond présentent quant à eux, un frappé ligné. Le motif linéaire régulier fait écho aux lignes du bracelet intégré. Et tous ces cadrans se distinguent par leurs index rehaussés comme flottants sur le cadran.
Quant aux aiguilles bâtons et les index, ils sont anglés diamantés et satinés sur le dessus. Sur le pourtour, un chemin de fer satiné affiche (en toute discrétion) les lettres du nom Louis Erard.
La 2340 est animée par le calibre Sellita SW300-1, un mouvement suisse 4Hz et 25 rubis choisi pour sa finesse de 3,6 mm d’épaisseur.
Sa réserve de marche, légèrement supérieure à la moyenne est d’environ 56 heures. On remarque une masse oscillante décorée sur mesure et laquée noire, signée Louis Erard.
Cette 2340 marque incontestablement une étape dans le développement de la marque !
La 2340 est animée par le calibre Sellita SW300-1, un mouvement suisse 4Hz et 25 rubis choisi pour sa finesse de 3,6 mm d’épaisseur.
Sa réserve de marche, légèrement supérieure à la moyenne est d’environ 56 heures. On remarque une masse oscillante décorée sur mesure et laquée noire, signée Louis Erard.
Cette 2340 marque incontestablement une étape dans le développement de la marque !