C’est étonnant, la plupart des marques horlogères de luxe aiment réaliser des séries limitées. Avec parfois, il faut bien le dire, des choix quelque peu douteux quant à la thématique choisi… En revanche, aucun des grands noms suisses n’a pensé à célébrer le 50ème anniversaire de la naissance de la ville-état de Singapour. Pourtant, l’un des plus gros marchés horlogers au monde !
Rappelons que Singapour est né il y a cinquante ans. Le 9 aout 1965. Cette île-état de 700 km2 est située entre la Malaisie au nord et l’Indonésie au sud. En quelques années, après son indépendance, le pays a réussi à devenir l’un des plus prospères au monde. Notamment grâce à la politique de son premier ministre Lee Kuan Yew, décédé il y a quelques semaines.
Rappelons que Singapour est né il y a cinquante ans. Le 9 aout 1965. Cette île-état de 700 km2 est située entre la Malaisie au nord et l’Indonésie au sud. En quelques années, après son indépendance, le pays a réussi à devenir l’un des plus prospères au monde. Notamment grâce à la politique de son premier ministre Lee Kuan Yew, décédé il y a quelques semaines.
Encore aujourd’hui, l’économie va bien. Très bien même. La recherche est à la pointe. L’éducation est l’une des meilleures au monde. L’aéroport s’agrandit. Aucune insécurité de jour comme de nuit, quelque soit le quartier où vous vivez. Des espaces verts un peu partout. Bref, Singapour, parfois surnommée « la Suisse de l’Asie » est un endroit où il fait bon vivre, même si d’aucuns considèrent ce pays comme « une nation pratiquant le libéralisme économique sans le libéralisme politique ! ».
Singapour est donc une ville-état riche ; très riche. On considère que 10% de sa population est millionnaire. Ou plus. Depuis des années, les marques de luxe –notamment horlogères- sont donc omniprésentes sur Orchad roard, et maintenant dans le célèbre hôtel-casino Marina Bay Sands qui accueille un somptueux centre commercial au rez-de-chaussée.
Mais contrairement aux autres pays d’Asie, les amateurs d’horlogerie singapouriens, sont parmi les plus connaisseurs au monde. C’est d’ailleurs un paradis pour les horlogers indépendants qui trouvent dans cette ville-état des dizaines et des dizaines de clients capables de dépenser 100.000 euros sans se préoccuper de leurs fins de mois…
Singapour est donc une ville-état riche ; très riche. On considère que 10% de sa population est millionnaire. Ou plus. Depuis des années, les marques de luxe –notamment horlogères- sont donc omniprésentes sur Orchad roard, et maintenant dans le célèbre hôtel-casino Marina Bay Sands qui accueille un somptueux centre commercial au rez-de-chaussée.
Mais contrairement aux autres pays d’Asie, les amateurs d’horlogerie singapouriens, sont parmi les plus connaisseurs au monde. C’est d’ailleurs un paradis pour les horlogers indépendants qui trouvent dans cette ville-état des dizaines et des dizaines de clients capables de dépenser 100.000 euros sans se préoccuper de leurs fins de mois…
Eh bien malgré tout ça, aucune marque horlogère suisse n’a pensé à créer une série limitée pour célébrer le 50ème anniversaire de Singapour. Non, c’est un distributeur local, Big Time, qui a créé cette série limitée avec la marque japonaise d’entrée de gamme Orient (groupe Seiko).
Plus précisément, il s’agit d’un duo de montres (deux modèles Bambino) proposé dans un écrin en cuir noir. L’un des garde-temps est en acier et l’autre en PVD or rose (ER2400NW). Le boitier de 40,5 mm accueille un calibre mécanique automatique japonais trois aiguilles/date (21.600 alternances/h).
Ces deux pièces affichent un look résolument vintage, parfaitement raccord avec 1965 ! Sur les cadrans apparaissent la mention : « Singapore, 50 years of independance, Since 1965 ». Sur le fond plein, une gravure indique le numéro de la série limitée (X/500).
En quelques jours, l’ensemble de cette série limitée a été vendu ! Les Singapouriens se sont en effet rués chez leur détaillant pour s’offrir ce coffret commémoratif dont le prix, il est vrai, était plus que raisonnable puisqu’il ne dépassait pas les 500 euros. Maintenant, quelle sera la marque de luxe à éditer une série spéciale de 50 exemplaires pour célébrer ces cinquante années ?
Plus précisément, il s’agit d’un duo de montres (deux modèles Bambino) proposé dans un écrin en cuir noir. L’un des garde-temps est en acier et l’autre en PVD or rose (ER2400NW). Le boitier de 40,5 mm accueille un calibre mécanique automatique japonais trois aiguilles/date (21.600 alternances/h).
Ces deux pièces affichent un look résolument vintage, parfaitement raccord avec 1965 ! Sur les cadrans apparaissent la mention : « Singapore, 50 years of independance, Since 1965 ». Sur le fond plein, une gravure indique le numéro de la série limitée (X/500).
En quelques jours, l’ensemble de cette série limitée a été vendu ! Les Singapouriens se sont en effet rués chez leur détaillant pour s’offrir ce coffret commémoratif dont le prix, il est vrai, était plus que raisonnable puisqu’il ne dépassait pas les 500 euros. Maintenant, quelle sera la marque de luxe à éditer une série spéciale de 50 exemplaires pour célébrer ces cinquante années ?