Parmigiani Fleurier et Pomellato (groupe Kering) partagent une exigence commune de bienfacture et un sens aigu du détail. Dans cet esprit, ce partenariat promet plusieurs merveilles à venir qui mettent inconditionnellement les femmes à l’honneur et leur recherche d’élégance exclusive.
Rappelons que Pomellato nait à Milan en 1967 dans un moment historique de grande effervescence. Le monde de la joaillerie, jusqu’à lors très conservateur, se focalise essentiellement sur la valeur économique des bijoux qui ne sont que des emblèmes de statut social et passent le plus clair de son temps dans un coffre-fort.
Pomellato a le courage de renverser cette approche introduit au sein de la joaillerie le concept de prêt-à-porter qui révolutionne le monde de la mode à cette même époque. Les bijoux deviennent immédiatement un accessoire aimé et séduisant, à porter tous les jours, en l’assortissant aux habits qu’il accompagne, à son humeur ou sa personnalité.
« Too sexy to be in a safe », proclame Pomellato au coeur des mentalités conservatrices, c’est-à-dire « trop beau pour être mis sous un verrou ». Le succès est foudroyant. Avec le temps, les collections Pomellato se déclinent en pleine adéquation avec les tendances et la mode en créant un patrimoine de styles dont l’allure est immédiatement reconnaissable. Pomellato est un « trend setter » qui crée des tendances – révolutionnaires à l’époque et reprises de tous aujourd’hui.
« La croissance du potentiel des femmes modifie sans le moindre doute les préférences des clients dans le secteur du luxe. Le moment ne pouvait pas être mieux choisi pour un projet de partenariat entre Parmigiani et Pomellato dans lequel les deux compagnies combinent leur savoir-faire et expertise pour la création d’une ligne de montres exclusive » remarque Andrea Morante, PDG de Pomellato.
Pour compléter le parallèle, il faut aller dans le Val-de-Travers neuchâtelois en 1996 lorsque Parmigiani Fleurier est fondée. Si le contexte, les termes et enjeux changent par rapport à ceux de Pomellato, on retrouve un courage identique à quitter les sentiers battus. Une tendance forte dans le monde horloger de pointe consiste à acheter des composants ou des mouvements finis à des entreprises tierces, puis à décorer ceux-ci, les enfermer dans des boîtiers typiques, au-dessous de cadrans aux couleurs d’une marque. Sauf quelques exceptions, l’horlogerie telle qu’elle est communément pratiquée est ainsi réduite à un travail de design et une recherche esthétique strictement. Le travail horloger à proprement parler, celui qui fait le fondement de la profession, est passé au second plan, relégué aux mains de quelques pourvoyeurs de mécanismes.
Parmigiani Fleurier choisit d’écarter cette approche et resitue le savoir-faire horloger, comme il devrait l’être, au fondement de sa marque. Elle le fait en deux temps. D’une part, elle place la connaissance horlogère au coeur de sa démarche par l’art de la restauration dans lequel elle excelle. Michel Parmigiani, fondateur, est un restaurateur de génie et sa longue expérience a permis la compréhension de siècles de savoir-faire horloger, savoir-faire qu’il cultive et met à profit sans relâche dans ses créations du présent. D’autre part, Parmigiani Fleurier a choisi la voie ardue mais nécessaire de la manufacture complète. L’une après l’autre, en moins de dix ans, grâce au soutien financier de la Fondation de Famille Sandoz, les différentes manufactures qui constituent le pôle horloger à ce jour ont été acquises ou parfois créées à partir de rien pour arriver à un centre de compétences parfaitement intégré.
C’est donc la voie difficile et exigeante de l’horlogerie authentique sans faux-semblants qu’a choisie Parmigiani Fleurier, à contre-courant de tout, et au prix d’efforts importants. La marque maîtrise désormais le processus de fabrication d’une montre dans son entier, de ses plus infimes composants jusqu’aux rouages les plus complexes ; de la conception créative d’une montre sur le papier jusqu’à l’assemblage et la décoration de son résultat porté à la vie. C’est là un point commun très significatif que Parmigiani Fleurier possède avec Pomellato, seule marque de joaillerie au monde qui possède sa propre manufacture reliée par une simple passerelle à son quartier général. Une nouvelle passerelle unique en son genre existe désormais entre Milan et les hauteurs neuchâteloises.
« Là où Parmigiani avait l’élégance masculine, Pomellato a apporté la grâce au féminin. La crédibilité d’un horloger se voit pourvue d’une touche unique de fantaisie et de glamour. L’association de Parmigiani et Pomellato ne pouvait pas être plus complémentaire » souligne de son côté Jean-Marc Jacot, PDG de Parmigiani Fleurier.
En toute logique, c’est la Tonda 1950 qui a été désignée comme premier modèle qui porte les couleurs du joaillier italien. Tout d’abord, parce que c’est le modèle iconique de Parmigiani Fleurier et représente l’essence de la marque jusque dans sa dénomination – « 1950 » étant l’année de naissance de Michel Parmigiani. Ensuite parce que cette montre extra-plate récemment lancée en version féminine sertie, possède des formes simples et un design épuré qui laisse la latitude nécessaire pour de nouvelles interprétations, en l’occurrence pour un « habillage » Pomellato.
La Tonda Pomellato est exclusivement en or rose, féminin par excellence et le matériau signature du joaillier milanais, qui en redessine également les aiguilles et index. Cette nouvelle ligne se déclinera en quatre habillages de cadrans avec un sertissage précis pour accompagner chaque exécution…
Rappelons que Pomellato nait à Milan en 1967 dans un moment historique de grande effervescence. Le monde de la joaillerie, jusqu’à lors très conservateur, se focalise essentiellement sur la valeur économique des bijoux qui ne sont que des emblèmes de statut social et passent le plus clair de son temps dans un coffre-fort.
Pomellato a le courage de renverser cette approche introduit au sein de la joaillerie le concept de prêt-à-porter qui révolutionne le monde de la mode à cette même époque. Les bijoux deviennent immédiatement un accessoire aimé et séduisant, à porter tous les jours, en l’assortissant aux habits qu’il accompagne, à son humeur ou sa personnalité.
« Too sexy to be in a safe », proclame Pomellato au coeur des mentalités conservatrices, c’est-à-dire « trop beau pour être mis sous un verrou ». Le succès est foudroyant. Avec le temps, les collections Pomellato se déclinent en pleine adéquation avec les tendances et la mode en créant un patrimoine de styles dont l’allure est immédiatement reconnaissable. Pomellato est un « trend setter » qui crée des tendances – révolutionnaires à l’époque et reprises de tous aujourd’hui.
« La croissance du potentiel des femmes modifie sans le moindre doute les préférences des clients dans le secteur du luxe. Le moment ne pouvait pas être mieux choisi pour un projet de partenariat entre Parmigiani et Pomellato dans lequel les deux compagnies combinent leur savoir-faire et expertise pour la création d’une ligne de montres exclusive » remarque Andrea Morante, PDG de Pomellato.
Pour compléter le parallèle, il faut aller dans le Val-de-Travers neuchâtelois en 1996 lorsque Parmigiani Fleurier est fondée. Si le contexte, les termes et enjeux changent par rapport à ceux de Pomellato, on retrouve un courage identique à quitter les sentiers battus. Une tendance forte dans le monde horloger de pointe consiste à acheter des composants ou des mouvements finis à des entreprises tierces, puis à décorer ceux-ci, les enfermer dans des boîtiers typiques, au-dessous de cadrans aux couleurs d’une marque. Sauf quelques exceptions, l’horlogerie telle qu’elle est communément pratiquée est ainsi réduite à un travail de design et une recherche esthétique strictement. Le travail horloger à proprement parler, celui qui fait le fondement de la profession, est passé au second plan, relégué aux mains de quelques pourvoyeurs de mécanismes.
Parmigiani Fleurier choisit d’écarter cette approche et resitue le savoir-faire horloger, comme il devrait l’être, au fondement de sa marque. Elle le fait en deux temps. D’une part, elle place la connaissance horlogère au coeur de sa démarche par l’art de la restauration dans lequel elle excelle. Michel Parmigiani, fondateur, est un restaurateur de génie et sa longue expérience a permis la compréhension de siècles de savoir-faire horloger, savoir-faire qu’il cultive et met à profit sans relâche dans ses créations du présent. D’autre part, Parmigiani Fleurier a choisi la voie ardue mais nécessaire de la manufacture complète. L’une après l’autre, en moins de dix ans, grâce au soutien financier de la Fondation de Famille Sandoz, les différentes manufactures qui constituent le pôle horloger à ce jour ont été acquises ou parfois créées à partir de rien pour arriver à un centre de compétences parfaitement intégré.
C’est donc la voie difficile et exigeante de l’horlogerie authentique sans faux-semblants qu’a choisie Parmigiani Fleurier, à contre-courant de tout, et au prix d’efforts importants. La marque maîtrise désormais le processus de fabrication d’une montre dans son entier, de ses plus infimes composants jusqu’aux rouages les plus complexes ; de la conception créative d’une montre sur le papier jusqu’à l’assemblage et la décoration de son résultat porté à la vie. C’est là un point commun très significatif que Parmigiani Fleurier possède avec Pomellato, seule marque de joaillerie au monde qui possède sa propre manufacture reliée par une simple passerelle à son quartier général. Une nouvelle passerelle unique en son genre existe désormais entre Milan et les hauteurs neuchâteloises.
« Là où Parmigiani avait l’élégance masculine, Pomellato a apporté la grâce au féminin. La crédibilité d’un horloger se voit pourvue d’une touche unique de fantaisie et de glamour. L’association de Parmigiani et Pomellato ne pouvait pas être plus complémentaire » souligne de son côté Jean-Marc Jacot, PDG de Parmigiani Fleurier.
En toute logique, c’est la Tonda 1950 qui a été désignée comme premier modèle qui porte les couleurs du joaillier italien. Tout d’abord, parce que c’est le modèle iconique de Parmigiani Fleurier et représente l’essence de la marque jusque dans sa dénomination – « 1950 » étant l’année de naissance de Michel Parmigiani. Ensuite parce que cette montre extra-plate récemment lancée en version féminine sertie, possède des formes simples et un design épuré qui laisse la latitude nécessaire pour de nouvelles interprétations, en l’occurrence pour un « habillage » Pomellato.
La Tonda Pomellato est exclusivement en or rose, féminin par excellence et le matériau signature du joaillier milanais, qui en redessine également les aiguilles et index. Cette nouvelle ligne se déclinera en quatre habillages de cadrans avec un sertissage précis pour accompagner chaque exécution…
