Avant de présenter ces trois nouveautés féminines de Richard Mille, rappelons que la marque fut l’une des premières au monde à proposer des garde-temps dotés de boitiers tout en saphir.
On se souvient, en 2012, de la référence RM 056 Felipe Massa Saphir, un tourbillon chronographe à rattrapante dans un boitier saphir. A l’époque, seuls Richard Mille et Hublot étaient capables de telles avancées technologiques.
Et encore aujourd’hui, peu de marques proposent des boitiers en saphir au sein de leur catalogue (Bell & Ross, Girard-Perregaux, Artya et quelques autres).
On se souvient, en 2012, de la référence RM 056 Felipe Massa Saphir, un tourbillon chronographe à rattrapante dans un boitier saphir. A l’époque, seuls Richard Mille et Hublot étaient capables de telles avancées technologiques.
Et encore aujourd’hui, peu de marques proposent des boitiers en saphir au sein de leur catalogue (Bell & Ross, Girard-Perregaux, Artya et quelques autres).
Ces trois déclinaisons s’inspirent de l’univers aquatique, où chaque référence, à travers sa tonalité évoque un paysage ou une atmosphère spécifique.
« La vision d’un mariage de deux univers, aquatique et art gothique, a pleinement guidé le développement du mouvement et de l’habillage » souligne la marque dans son communiqué.
De fait, cette RM 75-01 entièrement squelettée, est pensée comme une sculpture aérienne où chaque composant brille par sa précision et sa finition, mettant en exergue son tourbillon et barillet, tous deux volants !
« La vision d’un mariage de deux univers, aquatique et art gothique, a pleinement guidé le développement du mouvement et de l’habillage » souligne la marque dans son communiqué.
De fait, cette RM 75-01 entièrement squelettée, est pensée comme une sculpture aérienne où chaque composant brille par sa précision et sa finition, mettant en exergue son tourbillon et barillet, tous deux volants !
Avec son volume audacieux, le rehaut évoque un dôme architectural. Inspirée des voûtes d’ogives emblématiques de l'art gothique, cette pièce « monumentale » en or rouge microbillé et satiné repose sur des piliers en titane poli et satiné.
On remarque des touches de Superluminova qui illuminent les piliers du boîtier dans la pénombre tout en complétant le saisissant jeu de contrastes entre pleins et vides.
Côté calibre, la platine en titane, véritable dentelle de métal, soutient fermement les rouages à profil de développante ainsi que le tourbillon et le barillet.
Coiffés de cabochons en or, clin d’œil aux premières montres tourbillon de la marque, ces éléments « volants » accentuent le squelettage du mouvement tout en garantissant une résistance à toute épreuve malgré l’absence délibérée de ponts supérieurs.
On remarque des touches de Superluminova qui illuminent les piliers du boîtier dans la pénombre tout en complétant le saisissant jeu de contrastes entre pleins et vides.
Côté calibre, la platine en titane, véritable dentelle de métal, soutient fermement les rouages à profil de développante ainsi que le tourbillon et le barillet.
Coiffés de cabochons en or, clin d’œil aux premières montres tourbillon de la marque, ces éléments « volants » accentuent le squelettage du mouvement tout en garantissant une résistance à toute épreuve malgré l’absence délibérée de ponts supérieurs.
Les ponts révèlent un travail de précision jouant des volumes et des perspectives dont l’effet est accentué par la transparence du saphir et les finitions microbillées et satinées, soigneusement ajustées.
Pour contraster avec les roues rhodiées, le traitement PVD gris et or 5N de la platine en titane apporte à l’ensemble mécanique sa touche chaleureuse.
L’usinage du saphir représente un véritable exploit technique. Sa dureté extrême, 9 sur l’échelle de Mohs, soit 2 000 Vickers immédiatement derrière celle du diamant, le rend très résistant aux rayures mais impose des tolérances de l’ordre du micron pour un ajustage parfait de chaque élément.
Pour contraster avec les roues rhodiées, le traitement PVD gris et or 5N de la platine en titane apporte à l’ensemble mécanique sa touche chaleureuse.
L’usinage du saphir représente un véritable exploit technique. Sa dureté extrême, 9 sur l’échelle de Mohs, soit 2 000 Vickers immédiatement derrière celle du diamant, le rend très résistant aux rayures mais impose des tolérances de l’ordre du micron pour un ajustage parfait de chaque élément.
Travailler un bloc de plusieurs dizaines de kilos pour en extraire un boîtier tripartite nécessite plus de 1 000 heures, dont 40 jours de meulage en continu.
La création de saphir coloré par l’incorporation d’oxydes métalliques dans la structure cristalline a constitué une deuxième étape pour la marque.
Ce processus est encore plus complexe et délicat que le saphir transparent, exigeant un contrôle extrêmement précis de la température et de la vitesse de croissance.
La moindre variation peut entraîner une répartition inégale de la couleur ou la formation de bulles. Reproduire exactement une même couleur entre différents blocs reste un défi.
La création de saphir coloré par l’incorporation d’oxydes métalliques dans la structure cristalline a constitué une deuxième étape pour la marque.
Ce processus est encore plus complexe et délicat que le saphir transparent, exigeant un contrôle extrêmement précis de la température et de la vitesse de croissance.
La moindre variation peut entraîner une répartition inégale de la couleur ou la formation de bulles. Reproduire exactement une même couleur entre différents blocs reste un défi.