Rappelons que la PADI fut créée en 1965, quelques mois après que Seiko eut lancé sa toute première montre de plongée. On le sait, cet organisme regroupant les instructeurs professionnels de plongée est une véritable institution dans le monde avec 6.300 centres de plongées référencés.
Alors que les Japonais ont signé en 2017 un partenariat avec la PADI, partenariat qui vise à promouvoir la plongée sous-marine, mais surtout, à protéger les fonds marins, voici donc deux nouvelles plongeuses réalisées avec cette organisation et qui rendent hommage au monde du silence.
Alors que les Japonais ont signé en 2017 un partenariat avec la PADI, partenariat qui vise à promouvoir la plongée sous-marine, mais surtout, à protéger les fonds marins, voici donc deux nouvelles plongeuses réalisées avec cette organisation et qui rendent hommage au monde du silence.
Chacune de ces deux créations arbore un cadran vert émeraude qui évoque -bien évidemment- le scintillement de la lumière et l’ondulation de la surface de l’eau vue depuis les profondeurs. Ce motif « capture l’émotion d’une plongée et l’amour de l’océan » précise la marque dans son communiqué.
Tout d’abord, la Seiko Prospex 1965 Heritage est inspirée de la toute première montre de plongée Seiko lancée en 1965, la 62MAS. Réinterprétée avec modernité, elle rend hommage au partenariat durable signé entre Seiko et PADI.
Tout d’abord, la Seiko Prospex 1965 Heritage est inspirée de la toute première montre de plongée Seiko lancée en 1965, la 62MAS. Réinterprétée avec modernité, elle rend hommage au partenariat durable signé entre Seiko et PADI.
Étanche jusqu’à 300 mètres, équipée du calibre 6R55 avec 72 heures de réserve de marche (très confortable au quotidien et largement week-end proof) et amagnétique, elle se distingue aussi par une nouvelle boucle déployante ajustable pour un confort optimal.
Cette montre de 40 mm en acier est accompagnée d’un bracelet tissé à partir de filets de pêche recyclés, selon la technique japonaise traditionnelle Seichu.
Cette montre de 40 mm en acier est accompagnée d’un bracelet tissé à partir de filets de pêche recyclés, selon la technique japonaise traditionnelle Seichu.
De son côté, la Prospex Samouraï conserve les lignes anguleuses et précises du boîtier d’origine (ici en 41,7 mm en acier) évoquant la rigueur des arts martiaux japonais. D’où sa dénomination ! Avec couronne et fond vissés.
Animée par le calibre 4R35 amagnétique également avec 41 heures de réserve de marche, elle offre une étanchéité jusqu’à 200 mètres (comme l’exige a minima la norme Iso).
Animée par le calibre 4R35 amagnétique également avec 41 heures de réserve de marche, elle offre une étanchéité jusqu’à 200 mètres (comme l’exige a minima la norme Iso).
Rappelons que la marque japonaise Seiko a présenté sa toute première plongeuse automatique en 1965. Il s’agissait de la MarineMaster, qui était étanche à l’époque, jusqu’à 150 mètres. Dix ans plus tard, en 1975, l’horloger nippon commercialisait la Diver, avec une boite en titane (déjà) étanche à 600 mètres. Une véritable révolution !
Depuis, Seiko n’a de cesse d’améliorer les performances de ses produits et de conquérir de nouveaux amateurs dans le monde ! Rappelons que Seiko est une véritable manufacture horlogère qui créé ses propres mouvements mécaniques, parmi les plus précis au monde.
Depuis, Seiko n’a de cesse d’améliorer les performances de ses produits et de conquérir de nouveaux amateurs dans le monde ! Rappelons que Seiko est une véritable manufacture horlogère qui créé ses propres mouvements mécaniques, parmi les plus précis au monde.