L’ingénieur suisse Martin Klocke, bouddhiste (cela a son importance pour comprendre cette montre) et grand amateur de montres Enicar et notamment de sa fameuse plongeuse Sherpa Ultradive des années 60, a décidé de relancer ce modèle sous le nom de marque Sherpa.
La marque Sherpa relance donc ce modèle en version en acier ou acier DLC noir de 40 mm, étanche à 200 mètres avec différentes possibilités de cadrans au choix.
Résultat : deux plongeuses de style compressor (avec double couronne et réhaut interne bidirectionnel réglable par la couronne à 2h) qui reprennent peu ou prou le design du modèle Sherpa Ultradive d’Enicar, un grand classique vintage des montres de plongée !
La marque Sherpa relance donc ce modèle en version en acier ou acier DLC noir de 40 mm, étanche à 200 mètres avec différentes possibilités de cadrans au choix.
Résultat : deux plongeuses de style compressor (avec double couronne et réhaut interne bidirectionnel réglable par la couronne à 2h) qui reprennent peu ou prou le design du modèle Sherpa Ultradive d’Enicar, un grand classique vintage des montres de plongée !
Même la construction unique du fond du boîtier compressor à baïonnette, initialement nommée EPSA-STOP et les couronnes compressor Monoflex sont présentes dans cette Ultradive « pour vous offrir l'expérience authentique complète de la « Compressor Dive Watch » » de l’époque assure la marque sur son site Internet.
Dans la pratique, cette plongeuse devient plus résistantes à l'eau au fur et à mesure que vous descendez dans les profondeurs et que la pression de l'eau se renforce car les boîtiers et les joints sont comprimés (d'où le nom de compressor !).
Et la marque de préciser encore que sur « le plan technique, ces montres surpassent leurs prédécesseurs en termes de précision, d'étanchéité et de durabilité ».
Dans la pratique, cette plongeuse devient plus résistantes à l'eau au fur et à mesure que vous descendez dans les profondeurs et que la pression de l'eau se renforce car les boîtiers et les joints sont comprimés (d'où le nom de compressor !).
Et la marque de préciser encore que sur « le plan technique, ces montres surpassent leurs prédécesseurs en termes de précision, d'étanchéité et de durabilité ».
Le mouvement mécanique MM01 qui se trouve dans ces plongeuses, n'est pas un mouvement automatique ordinaire. « C'est un Mantramatic ! » souligne la marque.
« Nous avons gravé au laser au microscope un mantra bouddhiste tibétain traditionnel Om Mani Peme Hung, qui est très couramment utilisé. Il est présent sur deux des roues du mouvement (en utilisant une police tibétaine créée sur mesure).
« Suivant la tradition bouddhiste himalayenne utilisée dans les moulins à prières, les roues du mouvement tournent constamment, envoyant des vibrations d'amour, de sagesse et de compassion de votre poignet directement dans le monde – 30 millions de fois par an » poursuit la marque sur son site Internet.
« Nous avons gravé au laser au microscope un mantra bouddhiste tibétain traditionnel Om Mani Peme Hung, qui est très couramment utilisé. Il est présent sur deux des roues du mouvement (en utilisant une police tibétaine créée sur mesure).
« Suivant la tradition bouddhiste himalayenne utilisée dans les moulins à prières, les roues du mouvement tournent constamment, envoyant des vibrations d'amour, de sagesse et de compassion de votre poignet directement dans le monde – 30 millions de fois par an » poursuit la marque sur son site Internet.
En réalité, il s’agit d’un calibre trois aiguilles et date sur base Sellita SW200-1 d’une réserve de marche standard de 38h.
L’ensemble se porte logiquement sur un bracelet en caoutchouc de type Tropic ou sur un bracelet en acier avec extension pour la plongée.
Pour la petite histoire, cette montre fut portée à l’écran par Alain Delon dans le film de Robert Enrico, Les Aventuriers, en 1966 !
L’ensemble se porte logiquement sur un bracelet en caoutchouc de type Tropic ou sur un bracelet en acier avec extension pour la plongée.
Pour la petite histoire, cette montre fut portée à l’écran par Alain Delon dans le film de Robert Enrico, Les Aventuriers, en 1966 !