Voici un salon qui porte bien son nom : We Love Watches qui en est à sa 3ème édition et qui continue de faire se déplacer les foules. Pourquoi ? Car il propose un ensemble de marques horlogères ultra-cohérent et, pour la plupart d’un excellent rapport qualité-prix.
Des garde-temps que les visiteurs-amateurs (certains viennent exprès des quatre coins de la France) peuvent toucher, peuvent essayer et découvrir sans chichi, ni formalisme dans une ambiance très bon enfant. En toute simplicité.
Bref, un salon différent à taille humaine (loin des standards des luxueux salons helvétiques) avec des montres « achetables » par le consommateur sans avoir pour autant à casser son PEL.
D’ailleurs, les marques (suisses, françaises, japonaises ou chinoise) ne s’y trompent pas et reviennent désormais d’années en années même s’il n’y a pas de vente sur place.
Pour cette 3ème édition, les collectionneurs ont pu découvrir les modèles de la marque nippone Kuoe (que l’on voit rarement en vrai) mais aussi ceux d’Atelier Wen avec notamment une exceptionnelle (et le terme n’est pas galvaudée) montre entièrement en tantale qui sortira dans les semaines à venir. Une prouesse technologique incroyable qui devrait marquer cette année 2025.
Parmi les autres faits marquants, la toute nouvelle Citizen Zenshin en titane disponible en quatre versions de cadrans à moins de 500 euros. Une petite merveille de la marque japonaise qui célèbre cette année, le 55ème anniversaire de sa première montre en titane.
Dans les couloirs également, la toute nouvelle Marseillaise de Le Forban, le chrono meca-quartz Picobello de chez MATWatches, les très réussies Millesime de chez Raymond Weil, les plongeuses vintage de chez Eska ou les modèles de chez Venezianico encore trop méconnus…
Sans compter les nouveautés d’Akrone, d’Herbelin, de Lip présent avec son calibre « maison », la nouvelle BeauBleu Figura et son boitier de forme, les Charlie Paris et ses montres GRX inspirés de l’univers urbain freestyle…
Et la maison suisse Claude Meylan spécialisée dans les calibres squelettées qui était là pour la première fois !
De son côté, MeisterSinger présentait en exclusivité une montre hommage à Napoléon Bonaparte quand Maurice Lacroix revenait avec une montre déjà présente sur le marché depuis quelques années mais totalement incroyable présentant son Aikon Mercury.
La Mercury ressemble à une montre normale, avec des heures et des minutes centrales et une petite seconde à six heures. Cependant, à la moindre inclinaison, les aiguilles des heures et des minutes tournent librement, abandonnant leurs fonctions chronométriques. Puis, tenez votre montre à la verticale et les aiguilles retombent pour donner l'heure exacte. Magique.
Au final, une très belle 3ème édition qui a su, une fois encore, faire venir les collectionneurs et amateurs qui ont pu échanger en toute décontraction avec les marques et leurs responsables tout en découvrant les nouveautés de l’année et les grands classiques de ces maisons qui avaient répondu présent.
On attend avec impatience les dates de la 4ème édition.
Jean-Philippe Tarot
Des garde-temps que les visiteurs-amateurs (certains viennent exprès des quatre coins de la France) peuvent toucher, peuvent essayer et découvrir sans chichi, ni formalisme dans une ambiance très bon enfant. En toute simplicité.
Bref, un salon différent à taille humaine (loin des standards des luxueux salons helvétiques) avec des montres « achetables » par le consommateur sans avoir pour autant à casser son PEL.
D’ailleurs, les marques (suisses, françaises, japonaises ou chinoise) ne s’y trompent pas et reviennent désormais d’années en années même s’il n’y a pas de vente sur place.
Pour cette 3ème édition, les collectionneurs ont pu découvrir les modèles de la marque nippone Kuoe (que l’on voit rarement en vrai) mais aussi ceux d’Atelier Wen avec notamment une exceptionnelle (et le terme n’est pas galvaudée) montre entièrement en tantale qui sortira dans les semaines à venir. Une prouesse technologique incroyable qui devrait marquer cette année 2025.
Parmi les autres faits marquants, la toute nouvelle Citizen Zenshin en titane disponible en quatre versions de cadrans à moins de 500 euros. Une petite merveille de la marque japonaise qui célèbre cette année, le 55ème anniversaire de sa première montre en titane.
Dans les couloirs également, la toute nouvelle Marseillaise de Le Forban, le chrono meca-quartz Picobello de chez MATWatches, les très réussies Millesime de chez Raymond Weil, les plongeuses vintage de chez Eska ou les modèles de chez Venezianico encore trop méconnus…
Sans compter les nouveautés d’Akrone, d’Herbelin, de Lip présent avec son calibre « maison », la nouvelle BeauBleu Figura et son boitier de forme, les Charlie Paris et ses montres GRX inspirés de l’univers urbain freestyle…
Et la maison suisse Claude Meylan spécialisée dans les calibres squelettées qui était là pour la première fois !
De son côté, MeisterSinger présentait en exclusivité une montre hommage à Napoléon Bonaparte quand Maurice Lacroix revenait avec une montre déjà présente sur le marché depuis quelques années mais totalement incroyable présentant son Aikon Mercury.
La Mercury ressemble à une montre normale, avec des heures et des minutes centrales et une petite seconde à six heures. Cependant, à la moindre inclinaison, les aiguilles des heures et des minutes tournent librement, abandonnant leurs fonctions chronométriques. Puis, tenez votre montre à la verticale et les aiguilles retombent pour donner l'heure exacte. Magique.
Au final, une très belle 3ème édition qui a su, une fois encore, faire venir les collectionneurs et amateurs qui ont pu échanger en toute décontraction avec les marques et leurs responsables tout en découvrant les nouveautés de l’année et les grands classiques de ces maisons qui avaient répondu présent.
On attend avec impatience les dates de la 4ème édition.
Jean-Philippe Tarot