L'année 2016 a été synonyme d'acquisitions en quantité et en qualité pour le MIH. De fait, ses collections se sont accrues d'une soixantaine de pièces dans différents domaines, avec un accent particulier mis sur des montres de poche et des montres-bracelets comportant des innovations techniques, du début du 18ème siècle à nos jours.
Deux pièces particulières permettent de mesurer l'ampleur de l'évolution de l'horlogerie dans la région neuchâteloise : une montre oignon signée Sibelin datée de 1700 environ, ce qui en fait l'une des plus anciennes montres neuchâteloises jamais répertoriées, et la première smartwatch à faire son entrée dans la collection du MIH : la TAG Heuer connected.
Entre ces deux jalons, le public trouvera quantité de montres techniquement remarquables :
- une montre de poche signée Ferdinand Berthoud, dotée d'une aiguille de secondes (1780),
- une série de montres-bracelets électroniques,
- des montres-bracelets extraplates à quartz,
- des montres-bracelets contemporaines à complications.
Parmi les pièces décoratives, signalons l'entrée dans la collection d'une majestueuse pendule française en corne de vache du milieu du 18ème siècle dans un état remarquable de conservation. Finalement, dans le registre des instruments non mécaniques, le public découvrira un rare nocturlabe, permettant la mesure du temps grâce au positionnement des étoiles dans le ciel.
L'exposition « Nouvelles acquisitions » sera visible jusqu'à fin février 2018 pour rendre hommage aux nombreux donateurs.
Deux pièces particulières permettent de mesurer l'ampleur de l'évolution de l'horlogerie dans la région neuchâteloise : une montre oignon signée Sibelin datée de 1700 environ, ce qui en fait l'une des plus anciennes montres neuchâteloises jamais répertoriées, et la première smartwatch à faire son entrée dans la collection du MIH : la TAG Heuer connected.
Entre ces deux jalons, le public trouvera quantité de montres techniquement remarquables :
- une montre de poche signée Ferdinand Berthoud, dotée d'une aiguille de secondes (1780),
- une série de montres-bracelets électroniques,
- des montres-bracelets extraplates à quartz,
- des montres-bracelets contemporaines à complications.
Parmi les pièces décoratives, signalons l'entrée dans la collection d'une majestueuse pendule française en corne de vache du milieu du 18ème siècle dans un état remarquable de conservation. Finalement, dans le registre des instruments non mécaniques, le public découvrira un rare nocturlabe, permettant la mesure du temps grâce au positionnement des étoiles dans le ciel.
L'exposition « Nouvelles acquisitions » sera visible jusqu'à fin février 2018 pour rendre hommage aux nombreux donateurs.
