On aime ou on n’aime pas la Kalpagraphe, mais elle ne laisse personne indifférent. Lancée par Parmigiani Fleurier en 2001, cette montre a été commercialisée en de nombreux modèles, mais cette version est probablement l’une des plus sportives.
En effet, à l’occasion du dernier SIHH, PF a dévoilé une Kalpagraphe dotée d’un boitier en titane mat avec chronographe automatique et chronomètre. Attention, il s’agit d’un imposant garde-temps qui ne convient pas aux poignets les plus fins.
Pour les autres, précisons qu’il s’agit d’un chronographe intégré –par opposition à modulaire– soit une complication que peu de manufactures dans le monde maitrisent à l’échelle industrielle. Il s’agit du mouvement PF362 introduit l’année dernière.
En effet, à l’occasion du dernier SIHH, PF a dévoilé une Kalpagraphe dotée d’un boitier en titane mat avec chronographe automatique et chronomètre. Attention, il s’agit d’un imposant garde-temps qui ne convient pas aux poignets les plus fins.
Pour les autres, précisons qu’il s’agit d’un chronographe intégré –par opposition à modulaire– soit une complication que peu de manufactures dans le monde maitrisent à l’échelle industrielle. Il s’agit du mouvement PF362 introduit l’année dernière.
Ce calibre est un chronographe à remontage automatique certifié COSC, offrant les fonctions heures, minutes, petite seconde, chronographe et date, pour une autonomie très confortable de 65h. Intégralement conçu et manufacturé en interne, au terme de six ans de développement, il est rythmé à 36’000 alternances/heure (5 Hz), pour une précision affichée au dixième de seconde, est doté d’une roue à colonnes et d’un embrayage vertical.
« Par ailleurs, son balancier à inertie variable est maintenu par un pont lui assurant robustesse et stabilité en cas de chocs » assure la marque dans son communiqué. Le calibre est visible à travers le fond saphir du boitier tonneau de 48.2 x 40.4 mm poli main et étanche à 30 mètres. A noter ses finitions très horlogères et sa masse oscillante en or 22 ct au décor guilloché « grain d’orge ».
« Par ailleurs, son balancier à inertie variable est maintenu par un pont lui assurant robustesse et stabilité en cas de chocs » assure la marque dans son communiqué. Le calibre est visible à travers le fond saphir du boitier tonneau de 48.2 x 40.4 mm poli main et étanche à 30 mètres. A noter ses finitions très horlogères et sa masse oscillante en or 22 ct au décor guilloché « grain d’orge ».
La finition du boîtier est micro-billée, une technique qui consiste à pulvériser de minuscules billes en verre contre la matière afin de matifier la surface. Le cadran de couleur slate et noire est découpé au laser et minutieusement ajouré avec un motif évoquant une calandre de voiture qui laisse entrevoir le mouvement de forme tonneau en contre-bas.
L’affichage se complète de deux compteurs azurés, une date semi-instantanée à guichet et une petite seconde sectorielle à aiguille. Les aiguilles delta luminescentes sont associées à des compteurs décentrés et à un quantième arrondi ouvert sur trois chiffres (de type trainant). Touche finale, un bracelet caoutchouc, pour coller à la modernité de la pièce, avec une boucle déployante en titane.
L’affichage se complète de deux compteurs azurés, une date semi-instantanée à guichet et une petite seconde sectorielle à aiguille. Les aiguilles delta luminescentes sont associées à des compteurs décentrés et à un quantième arrondi ouvert sur trois chiffres (de type trainant). Touche finale, un bracelet caoutchouc, pour coller à la modernité de la pièce, avec une boucle déployante en titane.
