C’est donc la deuxième collaboration entre André Saraiva et Parmigiani Fleurier qui avaient déjà travaillé ensemble en 2013 sur un modèle Pantographe. Cette année, l’artiste graphique a customisé les cadrans de l’iconique modèle Tonda 1950. Résultat ? Une série ultra-limitée de onze montres uniques qui ne seront commercialisées que chez Colette à Paris. A noter que tous les bracelets ont été réalisés par l’Atelier du Bracelet Parisien(ABP).
Ces onze garde-temps (boitiers or blancs) se déclinent en variations de trois cadrans imaginés par André Saraiva. « Paris », « New-York » et « Love » (la plus sympa à porter) sont de fait calligraphiés avec la typographie singulière de l’artiste, évoquant l’art graffiti et représentés avec les contrastes de couleur qui lui sont chers. Pas forcément facile à porter mais bon…
Si le design est discutable, la réalisation des cadrans est en revanche exceptionnelle, comme toujours chez PF. Ils possèdent un fond laqué noir, blanc ou bleu sur lequel vient s’ajouter par décalque, la calligraphie parmi les trois thèmes de base. Onze modèles uniques sont ainsi obtenus en faisant varier la couleur et l’agencement des éléments sur le cadran ainsi que la couleur du fond laqué.
Ces onze garde-temps (boitiers or blancs) se déclinent en variations de trois cadrans imaginés par André Saraiva. « Paris », « New-York » et « Love » (la plus sympa à porter) sont de fait calligraphiés avec la typographie singulière de l’artiste, évoquant l’art graffiti et représentés avec les contrastes de couleur qui lui sont chers. Pas forcément facile à porter mais bon…
Si le design est discutable, la réalisation des cadrans est en revanche exceptionnelle, comme toujours chez PF. Ils possèdent un fond laqué noir, blanc ou bleu sur lequel vient s’ajouter par décalque, la calligraphie parmi les trois thèmes de base. Onze modèles uniques sont ainsi obtenus en faisant varier la couleur et l’agencement des éléments sur le cadran ainsi que la couleur du fond laqué.
On retrouve par ailleurs tout ce qui fait le succès de la Tonda 1950… Le profil élancé et fin avec ses deux cornes emblématiques ; la couronne taillée et ronde ; les aiguilles en forme de delta. Côté « cœur », cette montre embarque un calibre « maison » automatique extra-plat d’un diamètre de 30 mm (13 ¼ lignes) et d’une épaisseur de 2,6 mm. D’une autonomie de 42 heures, le mouvement possède un micro-rotor excentré en platine 950.
Côté décoration, ce calibre possède les plus belles finitions de haute horlogerie habituelles chez Parmigiani Fleurier. La platine en Maillechort est sablée, perlée puis rhodiée. Les ponts sont sablés, étirés, ou décorés Côte de Genève puis anglés main et, enfin, rhodiés. A noter aussi la finition esthétique de chaque roue, anglée, moulurée, cerclée sur les deux faces puis dorée avant taillage. Le mouvement et l’habillage complet de la Tonda 1950 sont entièrement réalisés à l’interne, jusqu’aux index du cadran.
Côté décoration, ce calibre possède les plus belles finitions de haute horlogerie habituelles chez Parmigiani Fleurier. La platine en Maillechort est sablée, perlée puis rhodiée. Les ponts sont sablés, étirés, ou décorés Côte de Genève puis anglés main et, enfin, rhodiés. A noter aussi la finition esthétique de chaque roue, anglée, moulurée, cerclée sur les deux faces puis dorée avant taillage. Le mouvement et l’habillage complet de la Tonda 1950 sont entièrement réalisés à l’interne, jusqu’aux index du cadran.
A noter que cette série limitée est habillé de bracelets uniques réalisés par l’Atelier du Bracelet Parisien (ABP). Un travail somptueux qui se marie à merveille avec ces cadrans hauts en couleurs ! Par exemple ce bracelet en galuchat poncé rouge associé au seul boîtier serti des onze modèles dont la texture laquée renvoie la lumière et décuple l’effet étincelant du diamant. Ou encore ce bracelet en boa dont les écailles font naître des reflets noirs et bleu-nuit –les nuances exactes du fond de cadran et de sa calligraphie.
Un jeu des matières et des peaux qui se retrouve également dans l’appairage du bracelet avec sa doublure. Par exemple ce bracelet en queue de castor dont la doublure est réalisée en patte d’autruche –des peaux exotiques et infiniment raffinées. Les surpiqûres latérales prennent aussi leur part au jeu de couleurs avec des teintes sélectionnées dans une logique tantôt de mariage, tantôt de contraste. Citons enfin la signature ABP qui consiste en 4 piqûres de couleur au plus près des cornes du boîtier qui ajoutent cette touche de fait-sur-mesure très sophistiquée. Bref, du grand art !
André Saraiva dit Monsieur A n’en est pas à sa première collaboration avec Parmigiani Fleurier ou avec Colette. Il a fait ses débuts dans le monde du graffiti. Parisien de cœur mais foncièrement cosmopolite, l’artiste travaille désormais avec de multiples marques en apportant sa touche fraiche et colorée au design de leurs produits.
Un jeu des matières et des peaux qui se retrouve également dans l’appairage du bracelet avec sa doublure. Par exemple ce bracelet en queue de castor dont la doublure est réalisée en patte d’autruche –des peaux exotiques et infiniment raffinées. Les surpiqûres latérales prennent aussi leur part au jeu de couleurs avec des teintes sélectionnées dans une logique tantôt de mariage, tantôt de contraste. Citons enfin la signature ABP qui consiste en 4 piqûres de couleur au plus près des cornes du boîtier qui ajoutent cette touche de fait-sur-mesure très sophistiquée. Bref, du grand art !
André Saraiva dit Monsieur A n’en est pas à sa première collaboration avec Parmigiani Fleurier ou avec Colette. Il a fait ses débuts dans le monde du graffiti. Parisien de cœur mais foncièrement cosmopolite, l’artiste travaille désormais avec de multiples marques en apportant sa touche fraiche et colorée au design de leurs produits.
