« Nous sommes très satisfaits des résultats de la vente ; ils prouvent que les collectionneurs sont prêts à payer de très bons prix pour des montres qui ne sont jamais encore apparues en vente » a souligné Julien Schaerer, commissaire priseur pour Antiquorum USA.
Cette dernière vente de l’année, selon Antiquorum, a enregistré un nombre record d’enchérisseurs en ligne -441– qui ont rivalisé avec les enchérisseurs au téléphone et les enchères écrites, pour les 402 lots de la vente.
Encore une fois, le lot (402) phare de cette vente (en photo ci-contre) a été une Patek Philippe. Il s’agit d’une Réf. 2497, première série, qui a atteint la somme de 426.000 euros environ. Toutefois, remarque le communiqué d’Antiquorum, « plusieurs autres montres de chez Patek Philippe se sont très bien vendues ». Le lot 398, une Réf. 5016 en or blanc, a réalisé 368.800 euros.
Le lot 366 a également fait un excellent prix ; il s’agissait d’un ensemble de quatre montres-bracelets Calatrava de Patek Philippe, avec cadran en émail cloisonné qui est parti à 174.000 euros.
Cette dernière vente de l’année, selon Antiquorum, a enregistré un nombre record d’enchérisseurs en ligne -441– qui ont rivalisé avec les enchérisseurs au téléphone et les enchères écrites, pour les 402 lots de la vente.
Encore une fois, le lot (402) phare de cette vente (en photo ci-contre) a été une Patek Philippe. Il s’agit d’une Réf. 2497, première série, qui a atteint la somme de 426.000 euros environ. Toutefois, remarque le communiqué d’Antiquorum, « plusieurs autres montres de chez Patek Philippe se sont très bien vendues ». Le lot 398, une Réf. 5016 en or blanc, a réalisé 368.800 euros.
Le lot 366 a également fait un excellent prix ; il s’agissait d’un ensemble de quatre montres-bracelets Calatrava de Patek Philippe, avec cadran en émail cloisonné qui est parti à 174.000 euros.
La Patek Philippe Réf 5350, lot 363, a quant à elle atteint les 56.000 euros. Le lot 343, une montre « squelette » de Patek Philippe, Réf. 3883, a atteint la somme de 22.500 euros. Remarquons enfin, une belle bataille d’enchères autour du lot 391, une montre de poche en argent de grande taille, à remontage par le pendant, a conduit au résultat fabuleux de 32.200 euros, soit huit fois le prix d’estimation.
Les montres de la marque Gerald Genta ont également suscité de l’enthousiasme : le lot 390, une « Grande Complication », a réalisé la somme de 239.000 euros. Par ailleurs, une Breguet (en photo ci-contre) a obtenu le prix remarquable de 304.000 euros pour le lot 386, une « 250th Anniversary » Réf. 3857PT. D’autre part, une création de FP Journe, sa « Tourbillon Souverain a Remontoir d’Egalité avec Seconde Morte », lot 388, s’est vendue 56.000 euros.
Les marques Omega et Audemars Piguet aussi ont réalisé des prix tout à fait remarquables. Le lot 154, un « Chronograph » Omega, s’est vendu 26.600 euros (plus de trois fois son prix d’estimation), et le lot 293, une montre-bracelet squelette en or blanc d’Audemars Piguet, s’est négocié 15.700 euros (six fois son prix d’estimation).
« Les résultats d’aujourd’hui témoignent, encore une fois, de la bonne santé du marché des collectionneurs américains et démontrent les énormes progrès que celui-ci a faits ces dernières années » a remarqué Evan Zimmermann, directeur d’Antiquorum USA.
Les montres de la marque Gerald Genta ont également suscité de l’enthousiasme : le lot 390, une « Grande Complication », a réalisé la somme de 239.000 euros. Par ailleurs, une Breguet (en photo ci-contre) a obtenu le prix remarquable de 304.000 euros pour le lot 386, une « 250th Anniversary » Réf. 3857PT. D’autre part, une création de FP Journe, sa « Tourbillon Souverain a Remontoir d’Egalité avec Seconde Morte », lot 388, s’est vendue 56.000 euros.
Les marques Omega et Audemars Piguet aussi ont réalisé des prix tout à fait remarquables. Le lot 154, un « Chronograph » Omega, s’est vendu 26.600 euros (plus de trois fois son prix d’estimation), et le lot 293, une montre-bracelet squelette en or blanc d’Audemars Piguet, s’est négocié 15.700 euros (six fois son prix d’estimation).
« Les résultats d’aujourd’hui témoignent, encore une fois, de la bonne santé du marché des collectionneurs américains et démontrent les énormes progrès que celui-ci a faits ces dernières années » a remarqué Evan Zimmermann, directeur d’Antiquorum USA.