Voici une Rolex totalement méconnue, voire même, inconnue des amateurs de montres. Et pourtant, fabriquée dans les années 40, elle illustre l’une des toutes premières montres de poignet sportive. Cette Zerographe est l’une des références fondatrice de la marque genevoise, même si elle fut probablement produite en très peu d’exemplaires.
Dans la pratique, il s’agit d’un garde-temps de 32 mm doté d’un boitier en acier (fond et couronne vissés) qui n’est pas sans préfigurer les fameux boitiers Oyster chers à la marque et que l’on retrouvera plus tard sur les Professionnel.
On remarque également la présence d’une lunette en acier tournante incurvée et gravée sur 60 minutes. Elle servait à mesurer des temps inférieurs à une heure en plaçant les deux traits rouges à midi devant l’aiguille des minutes (on peut d’ailleurs se servir d’une lunette unidirectionnelle de plongée de la même manière).
Cette version arbore sur son cadran blanc, douze chiffres arabes luminescents (radium). A noter qu’il a existé des cadrans noirs et des versions avec cadrans « californiens » (avec chiffres romains et chiffres arabes).
Côté calibre, cette montre embarque un mouvement à remontage manuel de type « flyback ». Le temps est mesuré grâce à l’aiguille centrale des secondes rouge (cette montre était également appelée « Centregraph ») qui tournait sans discontinuer. Une pression sur le poussoir placé à 2h permettait de remettre la trotteuse à zéro afin de démarrer une nouvelle mesure.
Le fond de boite laisse apparaitre les mentions stainless steel R.W.C. et le numéro de série ». Seule une petite dizaine de Zerographe ont été proposés dans des ventes aux enchères depuis les années 90.
Dans la pratique, il s’agit d’un garde-temps de 32 mm doté d’un boitier en acier (fond et couronne vissés) qui n’est pas sans préfigurer les fameux boitiers Oyster chers à la marque et que l’on retrouvera plus tard sur les Professionnel.
On remarque également la présence d’une lunette en acier tournante incurvée et gravée sur 60 minutes. Elle servait à mesurer des temps inférieurs à une heure en plaçant les deux traits rouges à midi devant l’aiguille des minutes (on peut d’ailleurs se servir d’une lunette unidirectionnelle de plongée de la même manière).
Cette version arbore sur son cadran blanc, douze chiffres arabes luminescents (radium). A noter qu’il a existé des cadrans noirs et des versions avec cadrans « californiens » (avec chiffres romains et chiffres arabes).
Côté calibre, cette montre embarque un mouvement à remontage manuel de type « flyback ». Le temps est mesuré grâce à l’aiguille centrale des secondes rouge (cette montre était également appelée « Centregraph ») qui tournait sans discontinuer. Une pression sur le poussoir placé à 2h permettait de remettre la trotteuse à zéro afin de démarrer une nouvelle mesure.
Le fond de boite laisse apparaitre les mentions stainless steel R.W.C. et le numéro de série ». Seule une petite dizaine de Zerographe ont été proposés dans des ventes aux enchères depuis les années 90.