Cet important ensemble de mobilier ancien, d’inspiration déco, présentera des pièces propres à l’univers Cartier et au goût de Louis Cartier (1875-1942) et de Jeanne Toussaint, la Panthère (1887-1976).
« Ce mobilier reflète une facette de l’identité de Cartier. Lignes claires, sens des proportions, harmonie des formes... Louis Cartier comme Jeanne Toussaint ont tous deux puisé dans le XVIIIe siècle français et le classicisme pour asseoir les bases du style de la Maison » indique Pierre Rainero, Directeur Image, Style & Patrimoine de Cartier.
L’attrait de Louis Cartier pour le néo-classicisme, sa simplicité, sa clarté et son équilibre, influença grandement ses créations. On retrouve ce style classique dans l’inspiration des pièces de mobilier des boutiques de la Maison Cartier.
Le style Louis XVI prédomine également à l’aménagement de ces boutiques : en 1899, Cartier déménage du boulevard des Italiens au 13, rue de la Paix (boutique actuellement en plein travaux). Louis est à la manœuvre. Non seulement dans le choix du quartier, nouveau centre névralgique du luxe parisien, mais également dans la décoration des bureaux et salons de vente.
De son côté, Jeanne Toussaint, c’est l’histoire d’un style audacieux et inventif au-delà des conventions, d’une femme qui va révolutionner la joaillerie contemporaine. La première à tout oser et à faire de la Panthère un emblème, la première à diriger la création d’une grande Maison de joaillerie.
Elle en prend la tête entre 1933 et 1970 et impose alors son fameux « goût Toussaint » auprès des femmes les plus élégantes de la planète. Elle apporte à la décoration une touche de féminité, elle qui détonnait par son caractère affirmé et accompagna par ses créations flamboyantes l’émancipation de ses contemporaines.
Esthètes et créateurs incomparables, Louis Cartier et Jeanne Toussaint ont défini, en alliant le classicisme français avec leur propre sens du beau, un « goût » singulier, un style reconnaissable qui prévaut du bijou jusqu’à l’aménagement des boutiques, d’hier jusqu’à nos jours.
Le mobilier Cartier aux enchères
Aujourd’hui, la maison Cartier continue de se transformer partout dans le monde, à travers un programme de rénovation à la fois ambitieux et respectueux de proposer une incarnation contemporaine de l’identité et de l’héritage de la Maison.
Cette vente est l’occasion pour la maison Cartier de se réinventer, avec la vente de son mobilier précédemment acquis pour ses boutiques dans le monde entier.
On découvrira au cœur de la vente un mobilier en parfait état, prêt à l’usage, alliant confort, élégance et style. De nombreux sièges dégarnis et prêts à revêtir les couleurs des futurs acheteurs, ainsi que de nombreux bureaux plats de style Louis XV et Louis XVI.
Une console d’époque Louis XVI en bois sculpté et doré, attribuée à Georges Jacob se démarque (est. 15.000 – 20.000 euros) aux côtés d’une paire de fauteuils d’époque Louis XVI estampillés de Jean-Baptiste Claude Sené, en bois laqué, garni de cuir havane (est. 800 – 1.200 euros).
Un petit canapé d’époque Louis XVI, estampille de Pluvinet, en bois sculpté et doré (est. 5.000 – 8.000 euros) côtoie un grand bureau plat de style Louis XV à décor de vernis européen à motif de chinoiseries (est. 3.000 – 5.000 euros) ou encore un bureau plat de style Régence en bois noirci et ornementation de bronze ciselé et doré (est. 1.500 – 2.000 euros).
La vente du mobilier Cartier présentera également des pièces de Mobilier XXe, tels que des luminaires notamment de la maison Charles ou de créateurs tels que Julien Barrault, des tables basses dans le goût de Bagues ou de Jules Leleu, des lampadaires des années 1940 et 1950.
Précisons que cette vente est organisée au profit de Cartier Philanthropy, la fondation de la Maison Cartier créée en 2012, qui s’engage à améliorer les conditions de vies des plus vulnérables – en particulier les femmes et les enfants – dans les régions les plus démunies du monde.
« Ce mobilier reflète une facette de l’identité de Cartier. Lignes claires, sens des proportions, harmonie des formes... Louis Cartier comme Jeanne Toussaint ont tous deux puisé dans le XVIIIe siècle français et le classicisme pour asseoir les bases du style de la Maison » indique Pierre Rainero, Directeur Image, Style & Patrimoine de Cartier.
L’attrait de Louis Cartier pour le néo-classicisme, sa simplicité, sa clarté et son équilibre, influença grandement ses créations. On retrouve ce style classique dans l’inspiration des pièces de mobilier des boutiques de la Maison Cartier.
Le style Louis XVI prédomine également à l’aménagement de ces boutiques : en 1899, Cartier déménage du boulevard des Italiens au 13, rue de la Paix (boutique actuellement en plein travaux). Louis est à la manœuvre. Non seulement dans le choix du quartier, nouveau centre névralgique du luxe parisien, mais également dans la décoration des bureaux et salons de vente.
De son côté, Jeanne Toussaint, c’est l’histoire d’un style audacieux et inventif au-delà des conventions, d’une femme qui va révolutionner la joaillerie contemporaine. La première à tout oser et à faire de la Panthère un emblème, la première à diriger la création d’une grande Maison de joaillerie.
Elle en prend la tête entre 1933 et 1970 et impose alors son fameux « goût Toussaint » auprès des femmes les plus élégantes de la planète. Elle apporte à la décoration une touche de féminité, elle qui détonnait par son caractère affirmé et accompagna par ses créations flamboyantes l’émancipation de ses contemporaines.
Esthètes et créateurs incomparables, Louis Cartier et Jeanne Toussaint ont défini, en alliant le classicisme français avec leur propre sens du beau, un « goût » singulier, un style reconnaissable qui prévaut du bijou jusqu’à l’aménagement des boutiques, d’hier jusqu’à nos jours.
Le mobilier Cartier aux enchères
Aujourd’hui, la maison Cartier continue de se transformer partout dans le monde, à travers un programme de rénovation à la fois ambitieux et respectueux de proposer une incarnation contemporaine de l’identité et de l’héritage de la Maison.
Cette vente est l’occasion pour la maison Cartier de se réinventer, avec la vente de son mobilier précédemment acquis pour ses boutiques dans le monde entier.
On découvrira au cœur de la vente un mobilier en parfait état, prêt à l’usage, alliant confort, élégance et style. De nombreux sièges dégarnis et prêts à revêtir les couleurs des futurs acheteurs, ainsi que de nombreux bureaux plats de style Louis XV et Louis XVI.
Une console d’époque Louis XVI en bois sculpté et doré, attribuée à Georges Jacob se démarque (est. 15.000 – 20.000 euros) aux côtés d’une paire de fauteuils d’époque Louis XVI estampillés de Jean-Baptiste Claude Sené, en bois laqué, garni de cuir havane (est. 800 – 1.200 euros).
Un petit canapé d’époque Louis XVI, estampille de Pluvinet, en bois sculpté et doré (est. 5.000 – 8.000 euros) côtoie un grand bureau plat de style Louis XV à décor de vernis européen à motif de chinoiseries (est. 3.000 – 5.000 euros) ou encore un bureau plat de style Régence en bois noirci et ornementation de bronze ciselé et doré (est. 1.500 – 2.000 euros).
La vente du mobilier Cartier présentera également des pièces de Mobilier XXe, tels que des luminaires notamment de la maison Charles ou de créateurs tels que Julien Barrault, des tables basses dans le goût de Bagues ou de Jules Leleu, des lampadaires des années 1940 et 1950.
Précisons que cette vente est organisée au profit de Cartier Philanthropy, la fondation de la Maison Cartier créée en 2012, qui s’engage à améliorer les conditions de vies des plus vulnérables – en particulier les femmes et les enfants – dans les régions les plus démunies du monde.