On le sait, en 2025, Breguet célèbre cette année son 250e anniversaire. Alors forcément, tous les amateurs attendaient fébrilement l’arrivée des nouveautés. Pour le moment, c’est une nouveauté. Et quelle nouveauté !
Cette Souscription 2025 est dotée d’une seule aiguille sur son cadran d’émail blanc. Une montre d’une grande pureté et qui reprend le design d’un modèle présenté il y a plus de deux siècles au travers d’un prospectus publicitaire, du jamais vu auparavant.
Cette montre a été dévoilée le 24 avril 2025 à Paris, capitale ayant abrité l’atelier d’Abraham-Louis Breguet et vu naître les grandes inventions du maître horloger. Pour se protéger des accès de violence de la Révolution française, A.-L. Breguet effectue un retour en Suisse en 1793, et séjourne à Neuchâtel puis au Locle.
Cette Souscription 2025 est dotée d’une seule aiguille sur son cadran d’émail blanc. Une montre d’une grande pureté et qui reprend le design d’un modèle présenté il y a plus de deux siècles au travers d’un prospectus publicitaire, du jamais vu auparavant.
Cette montre a été dévoilée le 24 avril 2025 à Paris, capitale ayant abrité l’atelier d’Abraham-Louis Breguet et vu naître les grandes inventions du maître horloger. Pour se protéger des accès de violence de la Révolution française, A.-L. Breguet effectue un retour en Suisse en 1793, et séjourne à Neuchâtel puis au Locle.
Il revient à Paris en 1795. C’est dans cette ville qu’il a installé son atelier, dans l’île de la Cité, en 1775 et qu’il a déjà acquis la célébrité. Dès son retour, il s’attelle au redressement de son entreprise et développe de nombreux projets, notamment celui de la montre dite de Souscription.
Si le terme « Souscription » figure dès 1796 dans les registres de ventes, aujourd’hui précieusement conservés au sein du musée Breguet place Vendôme, cette pièce mono-aiguille est principalement commercialisée dès 1797.
C’est au travers d’un prospectus publicitaire imaginé par le maître que cette création robuste, fiable, d’un grand diamètre d’environ 61 mm, pourvue d’un cadran émaillé de blanc et d’un mouvement à l’architecture simple se fait connaître.
Si le terme « Souscription » figure dès 1796 dans les registres de ventes, aujourd’hui précieusement conservés au sein du musée Breguet place Vendôme, cette pièce mono-aiguille est principalement commercialisée dès 1797.
C’est au travers d’un prospectus publicitaire imaginé par le maître que cette création robuste, fiable, d’un grand diamètre d’environ 61 mm, pourvue d’un cadran émaillé de blanc et d’un mouvement à l’architecture simple se fait connaître.
Si, pour la majorité, A.-L. Breguet est avant tout un horloger d’exception, il n’en demeure pas moins un homme d’affaires tout aussi aguerri et visionnaire, n’hésitant pas à innover jusque dans les méthodes de commercialisation.
Le principe est simple : si le client ou la cliente souhaite acquérir une montre de ce type, il ou elle doit confirmer sa commande en versant un quart du prix. Cette avance permet à l’atelier du Quai de l’Horloge d’acquérir les fournitures nécessaires à la fabrication des montres, signant ainsi les prémices de la production en série. Environ 700 garde-temps sont ainsi conçus sur plus de trente ans.
Un concept de souscription repris ces dernières années par toutes les jeunes marques horlogères (via le financement participatif) se lançant sur le marché mais également par Daniel Roth (LVMH).
Le principe est simple : si le client ou la cliente souhaite acquérir une montre de ce type, il ou elle doit confirmer sa commande en versant un quart du prix. Cette avance permet à l’atelier du Quai de l’Horloge d’acquérir les fournitures nécessaires à la fabrication des montres, signant ainsi les prémices de la production en série. Environ 700 garde-temps sont ainsi conçus sur plus de trente ans.
Un concept de souscription repris ces dernières années par toutes les jeunes marques horlogères (via le financement participatif) se lançant sur le marché mais également par Daniel Roth (LVMH).
A bien des égards, la montre de Souscription est une pierre angulaire dans l’œuvre de Breguet. Comme le souligne Gregory Kissling, nouveau CEO de Breguet, « cette montre est le trait d’union entre ce que nous souhaitons partager de l’histoire de Breguet et notre volonté de perpétuer cette histoire en mouvement ».
Le cadran de cette Souscription 2025 se pare d’un émail gand feu blanc éclatant qui retranscrit le plus fidèlement l’esprit des pièces jadis façonnées Quai de l’Horloge, telles les montres n° 246, n° 324 ou encore n°383. Quant au dos, il s’inspire directement de l’architecture des premières montres de Souscription signées A.-L. Breguet
Basée sur la simplicité et les contrastes, le cadran facilite la lecture des informations. Il accueille en son centre une aiguille unique Breguet à pomme évidée en acier, bleuie à la flamme et courbée. Toutes ces étapes sont entièrement réalisées à la main.
Le cadran de cette Souscription 2025 se pare d’un émail gand feu blanc éclatant qui retranscrit le plus fidèlement l’esprit des pièces jadis façonnées Quai de l’Horloge, telles les montres n° 246, n° 324 ou encore n°383. Quant au dos, il s’inspire directement de l’architecture des premières montres de Souscription signées A.-L. Breguet
Basée sur la simplicité et les contrastes, le cadran facilite la lecture des informations. Il accueille en son centre une aiguille unique Breguet à pomme évidée en acier, bleuie à la flamme et courbée. Toutes ces étapes sont entièrement réalisées à la main.
Son extrémité effilée survole les célèbres chiffres arabes Breguet, légèrement inclinés, ainsi que le « chemin de fer » circulaire dont la sectorisation au graphisme spécifique indique les heures et le marquage des 5, 10, 15 et 30 minutes.
L’ensemble est en émail petit feu noir, la même teinte sombre que la griffe Breguet qui culmine à 12h. Selon la lumière, les inscriptions « Souscription », le numéro de série unique et la signature secrète, pparaissent discrètement entre le centre du cadran et 6h.
Généralisée sur la montre de Souscription, cette signature visait à authentifier le travail des ateliers Breguet et lutter contre la contrefaçon. Déjà… Elle est réalisée à l’aide d’un outil précis équipé de bras articulés pour reproduire un motif : le pantographe à pointe diamantée qui permet de graver délicatement dans l’émail cette garantie d’identification.
L’ensemble est en émail petit feu noir, la même teinte sombre que la griffe Breguet qui culmine à 12h. Selon la lumière, les inscriptions « Souscription », le numéro de série unique et la signature secrète, pparaissent discrètement entre le centre du cadran et 6h.
Généralisée sur la montre de Souscription, cette signature visait à authentifier le travail des ateliers Breguet et lutter contre la contrefaçon. Déjà… Elle est réalisée à l’aide d’un outil précis équipé de bras articulés pour reproduire un motif : le pantographe à pointe diamantée qui permet de graver délicatement dans l’émail cette garantie d’identification.
Ce visage aux traits classiques est protégé par une glace en saphir, au profil dit chevé. Une innovation que l’on doit également à A.-L. Breguet. Ce format, plus fin et moins bombé que ceux alors en vogue, présente une surface relativement plate qui s’incurve doucement vers les bords afin de s’intégrer dans le boîtier.
Inédit à l’époque, cette forme s’intègre, à l’instar des chiffres et aiguilles Breguet, au vocabulaire de l’horlogerie contemporaine
Avec la Classique Souscription 2025, Breguet introduit son propre alliage aurifère : l’or Breguet, un métal précieux à la robe blonde qui marie or, argent, cuivre et palladium. Il façonne la boîte de 40 mm de diamètre et 10.8 mm de hauteur dont la silhouette a été redessinée, l’ergonomie repensée.
Les habituelles cannelures cèdent leur place à une carrure délicatement satinée pour respecter la stylique des pièces d’origine tandis que les attaches galbées, plus fluides que les barrettes, ont été courbées et cintrées pour mieux épouser le poignet.
Inédit à l’époque, cette forme s’intègre, à l’instar des chiffres et aiguilles Breguet, au vocabulaire de l’horlogerie contemporaine
Avec la Classique Souscription 2025, Breguet introduit son propre alliage aurifère : l’or Breguet, un métal précieux à la robe blonde qui marie or, argent, cuivre et palladium. Il façonne la boîte de 40 mm de diamètre et 10.8 mm de hauteur dont la silhouette a été redessinée, l’ergonomie repensée.
Les habituelles cannelures cèdent leur place à une carrure délicatement satinée pour respecter la stylique des pièces d’origine tandis que les attaches galbées, plus fluides que les barrettes, ont été courbées et cintrées pour mieux épouser le poignet.
Au dos de la boîte, le fond orné d’un verre saphir légèrement bombé révèle la construction mécanique du nouveau calibre VS00 en laiton doré de la même teinte que l’or Breguet. Il est décoré d’un tout nouveau type de guillochage (spécialité Breguet rappelons-le) dévoilé cette année, baptisé Quai de l’Horloge.
Ce nouveau dessin s’inspire des courbes singulières de l’île de la Cité et de l’île Saint-Louis pour composer un rythme modulable à l’infini. La typologie structurelle du mouvement se niche au verso à l’image des premières montres de Souscription produites par A.-L. Breguet
Ce mouvement battant à la fréquence de 3Hz (21’600 alternances par heure) délivre, au moyen d’un seul barillet, une réserve de marche de quatre jours. Il intègre un spiral Nivachron en alliage amagnétique essentiellement composé de titane, bleui et terminé d’une courbe Breguet.
Ce petit ressort enroulé rend le mouvement plus résistant aux écarts de températures, aux champs magnétiques et aux chocs. La platine et les ponts sont finement grenaillés, une nouvelle décoration qui s’inspire directement des mouvements d’A.-L. Breguet. Ces deux éléments sont ponctués de vis en acier bleui et de rubis d’horlogerie.
Ils encadrent l’imposante roue dentée du rochet, laquelle accueille une inscription gravée. Les mots du fondateur, expliquant la conception du mouvement de la Souscription et tirés du son prospectus publicitaire, y sont reproduits fidèlement dans son écriture cursive caractéristique.
Quant au coffret, il s’inspire des étuis rouges en cuir marocain utilisés autrefois par A.-L. Breguet pour protéger ses créations précieuses, cet écrin en cuir de veau légèrement grené arbore un gaufrage à chaud doré portant l’inscription “Breguet 250 YEARS“. Il est accompagné de la numérotation individuelle de la pièce qu’il renferme.
Sa silhouette galet, pensée avec un souci d’esthétisme et “philosophique” façonné avec le temps, marque une véritable différence par rapport aux écrins traditionnels. Son ouverture, fidèle aux procédés de l’époque, repose sur un bouton poussoir simple et élégant, tandis que sa charnière est plaquée en or Breguet.
L’intérieur est habillé de tissus bleus raffinés qui accueille la montre en position verticale, optimisant ainsi l’espace et évoquant l’esprit des montres de poche. Un clin d’œil au premier “logo” Breguet en forme d’écusson vient orner le dessous de l’écrin.
Ce nouveau dessin s’inspire des courbes singulières de l’île de la Cité et de l’île Saint-Louis pour composer un rythme modulable à l’infini. La typologie structurelle du mouvement se niche au verso à l’image des premières montres de Souscription produites par A.-L. Breguet
Ce mouvement battant à la fréquence de 3Hz (21’600 alternances par heure) délivre, au moyen d’un seul barillet, une réserve de marche de quatre jours. Il intègre un spiral Nivachron en alliage amagnétique essentiellement composé de titane, bleui et terminé d’une courbe Breguet.
Ce petit ressort enroulé rend le mouvement plus résistant aux écarts de températures, aux champs magnétiques et aux chocs. La platine et les ponts sont finement grenaillés, une nouvelle décoration qui s’inspire directement des mouvements d’A.-L. Breguet. Ces deux éléments sont ponctués de vis en acier bleui et de rubis d’horlogerie.
Ils encadrent l’imposante roue dentée du rochet, laquelle accueille une inscription gravée. Les mots du fondateur, expliquant la conception du mouvement de la Souscription et tirés du son prospectus publicitaire, y sont reproduits fidèlement dans son écriture cursive caractéristique.
Quant au coffret, il s’inspire des étuis rouges en cuir marocain utilisés autrefois par A.-L. Breguet pour protéger ses créations précieuses, cet écrin en cuir de veau légèrement grené arbore un gaufrage à chaud doré portant l’inscription “Breguet 250 YEARS“. Il est accompagné de la numérotation individuelle de la pièce qu’il renferme.
Sa silhouette galet, pensée avec un souci d’esthétisme et “philosophique” façonné avec le temps, marque une véritable différence par rapport aux écrins traditionnels. Son ouverture, fidèle aux procédés de l’époque, repose sur un bouton poussoir simple et élégant, tandis que sa charnière est plaquée en or Breguet.
L’intérieur est habillé de tissus bleus raffinés qui accueille la montre en position verticale, optimisant ainsi l’espace et évoquant l’esprit des montres de poche. Un clin d’œil au premier “logo” Breguet en forme d’écusson vient orner le dessous de l’écrin.