« Cette seconde où un agent a posé les yeux sur la publicité Chanel N°5 pour laquelle je posais. Elle était affichée dans un drugstore. Il m’a demandé si je voulais faire du cinéma. Je n’avais aucune formation pour cela. La suite, vous la connaissez » indique Ali Mac Graw dans le cadre de cette nouvelle campagne de communication.
C’est une légende du cinéma américain et plus précisément de l’un des âges d’or d’Hollywood, celui des années 60 et 70 « dominées par une liberté et un optimisme tels que rien ne paraissait impossible » comme elle le décrit si bien.
Des années idéales pour aller au bout de son rêve pour cette fille de père américain d’origine écossaise et de mère d’origine hongroise. Diplômée du prestigieux Wellesley Collège, elle commence sa carrière à 22 ans au Harper’s Bazaar dirigé à l’époque par Diana Vreeland, ce qui lui vaut de croiser un jour la route de Gabrielle Chanel. Elle assiste ensuite le photographe Melvin Sokolsky au Vogue US.
Très vite, sa beauté naturelle et sa grâce lui valent de passer de l’autre côté de l’objectif. Elle devient alors un mannequin très demandé dont le look « less is more » avec peu de maquillage crée une véritable tendance chez les femmes désirant avoir une apparence naturelle.
En 1965, une publicité va changer son destin. En effet, elle pose alors pour le N°5 de Chanel, dont elle sera l’égérie jusqu’en 1971. Elle sera repérée, grâce à cette campagne, par un agent qui viendra l’aborder pour savoir si elle a envie de faire du cinéma.
Elle y fait ses premiers pas en 1968 dans Un détective à la dynamite aux côtés de Kirk Douglas et Elli Wallach. L’année suivante, elle interprète son premier rôle important dans Goodbye, Colombus, adapté d’un recueil de nouvelles de Philip Roth, sélectionné à la Mostra de Venise pour lequel elle remporta le Golden Globe Award de la révélation féminine la plus prometteuse.
En 1970 son rôle dans le bouleversant mélodrame d’Arthur Hiller, Love Story lui vaut le Golden Globe de la meilleure actrice et une nomination à l’Oscar. Le film connaît un triomphe dans le monde entier et le couple qu’elle forme à l’écran avec Ryan O’Neal devient mythique.
Ali MacGraw enchaîne alors avec un autre film culte, Guet-Apens,le polar nerveux de Sam Peckinpah où elle rencontre Steve McQueen qu’elle épouse en 1973. Elle se fait dès lors plus discrète sur grand écran où elle retrouve cependant Peckinpah pour Le Convoi en 78 et travaille sous la direction de Sydney Lumet dans Just Tell Me What You Want en 1980.
Les années suivantes la conduisent vers le petit écran avec la série Dynastie, à Broadway où elle fait ses grands débuts à 67 ans en 2006 avec la pièce Festen, et en 2016 Love Letters en compagnie de Ryan O’Neal. Auteur d’une autobiographie Moving Pictures, qui a bouleversé le monde entier, cette femme libre, très engagée
pour les droits des animaux, vit depuis des années à Santa Fe au Nouveau Mexique, loin de l’agitation d’Hollywood.
Tout est depuis toujours une histoire de secondes pour une marque créée par une femme qui a su écouter son instinct. L’instinct du moment où tout se joue. Qu’il s’agisse de la seconde la plus longue d’une vie le jour d’une décision importante ou de la préparation d’un oeuf à la coque dans les règles de l’art, d’un avion à prendre ou d’un taxi manqué, l’existence est une succession de rendez-vous qui ne sont pas des hasards.
La nouvelle J12 s’annonce comme « la montre de ces rendez-vous » et l’alliée de chaque seconde. Neuf femmes iconiques livrent, le temps d’une campagne pour la plus iconique des montres Chanel, leur expérience très personnelle d’une seconde qui a changé leur vie.
Tout est une histoire de secondes pour une femme qui sait être à l’écoute de sa vie et de ce chronomètre intime qui fait bifurquer un destin en quelques secondes.
C’est une légende du cinéma américain et plus précisément de l’un des âges d’or d’Hollywood, celui des années 60 et 70 « dominées par une liberté et un optimisme tels que rien ne paraissait impossible » comme elle le décrit si bien.
Des années idéales pour aller au bout de son rêve pour cette fille de père américain d’origine écossaise et de mère d’origine hongroise. Diplômée du prestigieux Wellesley Collège, elle commence sa carrière à 22 ans au Harper’s Bazaar dirigé à l’époque par Diana Vreeland, ce qui lui vaut de croiser un jour la route de Gabrielle Chanel. Elle assiste ensuite le photographe Melvin Sokolsky au Vogue US.
Très vite, sa beauté naturelle et sa grâce lui valent de passer de l’autre côté de l’objectif. Elle devient alors un mannequin très demandé dont le look « less is more » avec peu de maquillage crée une véritable tendance chez les femmes désirant avoir une apparence naturelle.
En 1965, une publicité va changer son destin. En effet, elle pose alors pour le N°5 de Chanel, dont elle sera l’égérie jusqu’en 1971. Elle sera repérée, grâce à cette campagne, par un agent qui viendra l’aborder pour savoir si elle a envie de faire du cinéma.
Elle y fait ses premiers pas en 1968 dans Un détective à la dynamite aux côtés de Kirk Douglas et Elli Wallach. L’année suivante, elle interprète son premier rôle important dans Goodbye, Colombus, adapté d’un recueil de nouvelles de Philip Roth, sélectionné à la Mostra de Venise pour lequel elle remporta le Golden Globe Award de la révélation féminine la plus prometteuse.
En 1970 son rôle dans le bouleversant mélodrame d’Arthur Hiller, Love Story lui vaut le Golden Globe de la meilleure actrice et une nomination à l’Oscar. Le film connaît un triomphe dans le monde entier et le couple qu’elle forme à l’écran avec Ryan O’Neal devient mythique.
Ali MacGraw enchaîne alors avec un autre film culte, Guet-Apens,le polar nerveux de Sam Peckinpah où elle rencontre Steve McQueen qu’elle épouse en 1973. Elle se fait dès lors plus discrète sur grand écran où elle retrouve cependant Peckinpah pour Le Convoi en 78 et travaille sous la direction de Sydney Lumet dans Just Tell Me What You Want en 1980.
Les années suivantes la conduisent vers le petit écran avec la série Dynastie, à Broadway où elle fait ses grands débuts à 67 ans en 2006 avec la pièce Festen, et en 2016 Love Letters en compagnie de Ryan O’Neal. Auteur d’une autobiographie Moving Pictures, qui a bouleversé le monde entier, cette femme libre, très engagée
pour les droits des animaux, vit depuis des années à Santa Fe au Nouveau Mexique, loin de l’agitation d’Hollywood.
Tout est depuis toujours une histoire de secondes pour une marque créée par une femme qui a su écouter son instinct. L’instinct du moment où tout se joue. Qu’il s’agisse de la seconde la plus longue d’une vie le jour d’une décision importante ou de la préparation d’un oeuf à la coque dans les règles de l’art, d’un avion à prendre ou d’un taxi manqué, l’existence est une succession de rendez-vous qui ne sont pas des hasards.
La nouvelle J12 s’annonce comme « la montre de ces rendez-vous » et l’alliée de chaque seconde. Neuf femmes iconiques livrent, le temps d’une campagne pour la plus iconique des montres Chanel, leur expérience très personnelle d’une seconde qui a changé leur vie.
Tout est une histoire de secondes pour une femme qui sait être à l’écoute de sa vie et de ce chronomètre intime qui fait bifurquer un destin en quelques secondes.