Tout commence en 1999, à l’aube du 21ème siècle. A cette époque, Jérôme de Witt, à l’instar de ses illustres ancêtres*, est passionné par la Haute Horlogerie. Il est « émerveillé par cet art de l'infiniment petit qui crée le mouvement… envoûté par ces génies de l'invention qui sans cesse reculent les limites de la technique pour mieux apprivoiser le temps qui s'écoule… fasciné par ce lent et respectueux labeur de l'horloger amoureux de sa pièce qui à force de science et de patience devient son œuvre, son prolongement ».
Jérôme de Witt s’installe donc dans un premier temps à Vandœuvres (Suisse), où il noue un partenariat avec le joaillier Cédric Johner. Il recherche alors les meilleurs artisans de la profession et collabore avec les plus grands noms dans le domaine de la création de mouvements à grandes complications, du design horloger, de l'orfèvrerie cadranière et de l'art joaillier... Peu à peu, il s’oriente vers la création de sa propre manufacture.
C’est ainsi qu’en 2002, M. DeWitt lance la marque… DeWitt. Dès son apparition dans le milieu très fermé de la Haute Horlogerie suisse, la jeune manufacture étonne déjà par son sens de l’innovation.
Au cours de la Foire de Bâle 2003, DeWitt présente en première mondiale la Pressy Grande Complication. Ce garde-temps cumule alors différentes complications : répétition minute, tourbillon, chronographe à rattrapante et isolateur, calendrier perpétuel bi-rétrograde.
Jérôme de Witt s’installe donc dans un premier temps à Vandœuvres (Suisse), où il noue un partenariat avec le joaillier Cédric Johner. Il recherche alors les meilleurs artisans de la profession et collabore avec les plus grands noms dans le domaine de la création de mouvements à grandes complications, du design horloger, de l'orfèvrerie cadranière et de l'art joaillier... Peu à peu, il s’oriente vers la création de sa propre manufacture.
C’est ainsi qu’en 2002, M. DeWitt lance la marque… DeWitt. Dès son apparition dans le milieu très fermé de la Haute Horlogerie suisse, la jeune manufacture étonne déjà par son sens de l’innovation.
Au cours de la Foire de Bâle 2003, DeWitt présente en première mondiale la Pressy Grande Complication. Ce garde-temps cumule alors différentes complications : répétition minute, tourbillon, chronographe à rattrapante et isolateur, calendrier perpétuel bi-rétrograde.
Plus tard, la marque lance le boîtier Academia. Son architecture -sculptée dans les matériaux les plus précieux- tout à la fois massive et harmonieuse, se reconnaît entre toutes grâce aux colonnes impériales stylisées qui ornent sa lunette et rythment sa carrure.
Ces modèles, tous réalisés en série limitée, sont dotés des mouvements les plus compliqués, entièrement revisités par les maîtres horlogers de Vandœuvres.
DeWitt affirme également sa créativité en matière de cadrans ; il imagine « l'absence » de cadran et la mise en scène pour les modèles Tourbillon de ponts et platines guillochés, qui donne à la montre DeWitt une profondeur et un angle de vision permettant d'atteindre le cœur du garde-temps. Il invente enfin la couleur « chocolat » exclusive à la marque et déjà imitée.
Vient ensuite le boîtier Iena. En effet, sur la sollicitation de ses proches, qui souhaitaient un modèle plus sportif, Jérôme de Witt a créé cette gamme ovale et minimaliste. Cette deuxième collection, réalisée en acier, constitue l’ « entrée de gamme » de la marque.
Ces modèles, tous réalisés en série limitée, sont dotés des mouvements les plus compliqués, entièrement revisités par les maîtres horlogers de Vandœuvres.
DeWitt affirme également sa créativité en matière de cadrans ; il imagine « l'absence » de cadran et la mise en scène pour les modèles Tourbillon de ponts et platines guillochés, qui donne à la montre DeWitt une profondeur et un angle de vision permettant d'atteindre le cœur du garde-temps. Il invente enfin la couleur « chocolat » exclusive à la marque et déjà imitée.
Vient ensuite le boîtier Iena. En effet, sur la sollicitation de ses proches, qui souhaitaient un modèle plus sportif, Jérôme de Witt a créé cette gamme ovale et minimaliste. Cette deuxième collection, réalisée en acier, constitue l’ « entrée de gamme » de la marque.
Lors de la Foire de Bâle 2004, pour sa première présence dans la halle principale, DeWitt présente une nouvelle Pressy grande complication (boîtier modifié) ; une collection Academia de sept modèles à complications, grandes complications et de pièces de Haute Joaillerie ; et enfin, une collection Iena construite autour de trois modèles.
En 2005, toujours dans l’esprit de fédérer les meilleurs talents en Haute Horlogerie de notre époque, il réunit sous sa marque une équipe d'horlogers qui travaille dans les locaux de Vandœuvres.
Un atelier "Grandes Complications" est alors ouvert à La Chaux-de-Fonds et il prend des participations dans une entreprise cadranière genevoise de prestige.
Ce nouveau venu dans le monde de l’horlogerie a su passionner à « la cause » DeWitt des concepteurs de mouvements, des designers, des fabricants de boîtes, des artisans guillocheurs et tant d'autres métiers qui font de la Haute Horlogerie un Art à part entière. Tous ne sont pas réunis sous le même toit, mais tous travaillent, animés d'une passion commune, pour la marque.
Tout ceci sera concrétisé à la Foire de Bâle 2005, par le lancement de deux nouveaux concepts : dans la collection Academia, une innovation technologique, le Tourbillon Différentiel, produit en série limitée dans les ateliers de la manufacture de Vandœuvres. Et le lancement de la première collection pour dames signée DeWitt, la collection Alma, avec en star, la montre Utopia, une complication du quantième au bénéfice d'un brevet Jérôme de Witt. Cette collection réalisée en or blanc ou en or rouge 4N se décline en modèles joaillerie sertis de diamants blancs ou de pièces de couleur.
En 2005, toujours dans l’esprit de fédérer les meilleurs talents en Haute Horlogerie de notre époque, il réunit sous sa marque une équipe d'horlogers qui travaille dans les locaux de Vandœuvres.
Un atelier "Grandes Complications" est alors ouvert à La Chaux-de-Fonds et il prend des participations dans une entreprise cadranière genevoise de prestige.
Ce nouveau venu dans le monde de l’horlogerie a su passionner à « la cause » DeWitt des concepteurs de mouvements, des designers, des fabricants de boîtes, des artisans guillocheurs et tant d'autres métiers qui font de la Haute Horlogerie un Art à part entière. Tous ne sont pas réunis sous le même toit, mais tous travaillent, animés d'une passion commune, pour la marque.
Tout ceci sera concrétisé à la Foire de Bâle 2005, par le lancement de deux nouveaux concepts : dans la collection Academia, une innovation technologique, le Tourbillon Différentiel, produit en série limitée dans les ateliers de la manufacture de Vandœuvres. Et le lancement de la première collection pour dames signée DeWitt, la collection Alma, avec en star, la montre Utopia, une complication du quantième au bénéfice d'un brevet Jérôme de Witt. Cette collection réalisée en or blanc ou en or rouge 4N se décline en modèles joaillerie sertis de diamants blancs ou de pièces de couleur.
L’année suivante sanctionne une nouvelle percée innovatrice en forme de première mondiale. Le Tourbillon Academia Force Constante présenté par les Montres DeWitt lors du Salon Mondial de l’Horlogerie de Bâle 2006 concrétise un développement majeur qui fera date dans l’histoire des développements horlogers.
Elle fait l’objet d’un brevet portant sur la création d’un « mouvement et d’une pièce d’horlogerie dans lesquels les fonctions de force constante et de régulation sont clairement séparées de façon à pouvoir être visualisées sur la face de la pièce d’horlogerie » (voir article : DeWitt récompensé à Dubaï pour le prix de l'innovation lors du Watch of the Year Awards.
Aujourd’hui, soumise à une forte expansion, la manufacture déménage de Vandoeuvres pour s’installer à Vernier. De fait, DeWitt a pris possession de ses nouveaux locaux tout récemment, en janvier 2007. Ils se situent près de l’aéroport de Genève.
Désormais DeWitt est donc en mesure de répondre à la croissance soutenue à laquelle elle est confrontée. Les surfaces disponibles permettent notamment d’intégrer une partie importante des opérations d’ensemble liées à la production des composants du mouvement mécanique. Cette évolution va se traduire, en 2007, par une augmentation significative des effectifs horlogers.
En choisissant de s’installer à Vernier, DeWitt quintuple les surfaces utiles de travail et dispose désormais de 1.500 mètres/carré, répartis sur deux niveaux. Très fonctionnels, les nouveaux locaux permettent d’accueillir dans un espace lumineux, une quarantaine d’horlogers, tous hautement qualifiés et rompus à travailler sans exception sur les mécanismes les plus sophistiqués.
Outre les opérations horlogères usuelles – fabrication, polissage, remontage, finition et terminaison des composants, réglage, contrôles d’étanchéité et de qualité, le département est désormais renforcé par un département de R&D permettant à DeWitt de concevoir, développer et manufacturer ses propres mouvements.
Ce processus est soutenu par l’installation d’un parc de machines ultra-moderne, permettant d’assurer l’usinage d’une partie importante des composants du mouvement mécanique. Cette évolution en forme de verticalisation au plan de la production s’accompagnera progressivement en aval par la mise en place de plateformes de contrôle sur les différents continents.
Au final, il aura suffi de quatre années à Jérôme De Witt pour imposer sa créativité dans le cercle très fermé des Maisons de Haute Horlogerie d’avant-garde.
*Toute son illustre famille collectionnait les montres… l'empereur Napoléon Premier lui-même, ses frères, mais aussi ses sœurs, et parmi elles, Caroline Murat qui fut l'une des plus incroyables collectionneuses et mécènes de son temps puisqu'elle fut la première femme à commanditer la création d'une montre bracelet !
Elle fait l’objet d’un brevet portant sur la création d’un « mouvement et d’une pièce d’horlogerie dans lesquels les fonctions de force constante et de régulation sont clairement séparées de façon à pouvoir être visualisées sur la face de la pièce d’horlogerie » (voir article : DeWitt récompensé à Dubaï pour le prix de l'innovation lors du Watch of the Year Awards.
Aujourd’hui, soumise à une forte expansion, la manufacture déménage de Vandoeuvres pour s’installer à Vernier. De fait, DeWitt a pris possession de ses nouveaux locaux tout récemment, en janvier 2007. Ils se situent près de l’aéroport de Genève.
Désormais DeWitt est donc en mesure de répondre à la croissance soutenue à laquelle elle est confrontée. Les surfaces disponibles permettent notamment d’intégrer une partie importante des opérations d’ensemble liées à la production des composants du mouvement mécanique. Cette évolution va se traduire, en 2007, par une augmentation significative des effectifs horlogers.
En choisissant de s’installer à Vernier, DeWitt quintuple les surfaces utiles de travail et dispose désormais de 1.500 mètres/carré, répartis sur deux niveaux. Très fonctionnels, les nouveaux locaux permettent d’accueillir dans un espace lumineux, une quarantaine d’horlogers, tous hautement qualifiés et rompus à travailler sans exception sur les mécanismes les plus sophistiqués.
Outre les opérations horlogères usuelles – fabrication, polissage, remontage, finition et terminaison des composants, réglage, contrôles d’étanchéité et de qualité, le département est désormais renforcé par un département de R&D permettant à DeWitt de concevoir, développer et manufacturer ses propres mouvements.
Ce processus est soutenu par l’installation d’un parc de machines ultra-moderne, permettant d’assurer l’usinage d’une partie importante des composants du mouvement mécanique. Cette évolution en forme de verticalisation au plan de la production s’accompagnera progressivement en aval par la mise en place de plateformes de contrôle sur les différents continents.
Au final, il aura suffi de quatre années à Jérôme De Witt pour imposer sa créativité dans le cercle très fermé des Maisons de Haute Horlogerie d’avant-garde.
*Toute son illustre famille collectionnait les montres… l'empereur Napoléon Premier lui-même, ses frères, mais aussi ses sœurs, et parmi elles, Caroline Murat qui fut l'une des plus incroyables collectionneuses et mécènes de son temps puisqu'elle fut la première femme à commanditer la création d'une montre bracelet !