La montre manchette est un grand classique de l’horlogerie suisse. On en trouve dès la fin de la Seconde guerre mondiale qui marque l’avènement de l’or comme métal de prédilection dans la fabrication des montres.
Bracelets et boîtiers sont alors faits de cette même matière si précieuse, alors que les années de guerre n’avaient été que privations et restrictions.
Faisant écho à la mode du « New Look » dans la Haute Couture, les montres féminines vont se décliner en modèles larges, opulents, voire massifs, de types manchettes, parfois avec un capot couvrant le cadran.
Bracelets et boîtiers sont alors faits de cette même matière si précieuse, alors que les années de guerre n’avaient été que privations et restrictions.
Faisant écho à la mode du « New Look » dans la Haute Couture, les montres féminines vont se décliner en modèles larges, opulents, voire massifs, de types manchettes, parfois avec un capot couvrant le cadran.
Comme toutes les modes, elles passent et reviennent… C’est véritablement dans les années 80 que la montre manchette fait son grand retour en devenant plus accessible.
Certes on en trouve toujours auprès des grandes marques, de Vacheron Constantin à Piaget en passant par Cartier bien évidemment, mais aussi et surtout, ces montres se font aussi plus accessibles avec des versions plaqué or comme chez Raymond Weil par exemple ou des modèles tout en acier chez Herbelin.
Quant à Frédérique Constant, elle proposa sa montre Manchette en 2002. La Manchette FC est aujourd’hui de retour sous le nom de Classics Manchette.
Certes on en trouve toujours auprès des grandes marques, de Vacheron Constantin à Piaget en passant par Cartier bien évidemment, mais aussi et surtout, ces montres se font aussi plus accessibles avec des versions plaqué or comme chez Raymond Weil par exemple ou des modèles tout en acier chez Herbelin.
Quant à Frédérique Constant, elle proposa sa montre Manchette en 2002. La Manchette FC est aujourd’hui de retour sous le nom de Classics Manchette.
« Elle est avant tout un précieux bracelet qui donne l’heure. Souple et délié, il se compose de sept maillons. Fermement arrimé au poignet tout en restant délicat, il s’offre une boucle déployante intégrée, donc invisible » précise la marque dans son communiqué.
Le motif « Clou de Paris » habille toute la montre (25,7 x 20 mm, étanche à 30 mètres) d’une myriade de carrés scintillants et polis, avec finition brossée au sommet de chaque maillon. En leur centre se niche un discret cadran survolé des seules aiguilles des heures et minutes.
Sensible à l’air du temps, Frédérique Constant répond présent au grand retour des cadrans minéraux (concomitamment au grand retour de Piaget), en leur dédiant la moitié de ses nouvelles Classics Manchette.
Le motif « Clou de Paris » habille toute la montre (25,7 x 20 mm, étanche à 30 mètres) d’une myriade de carrés scintillants et polis, avec finition brossée au sommet de chaque maillon. En leur centre se niche un discret cadran survolé des seules aiguilles des heures et minutes.
Sensible à l’air du temps, Frédérique Constant répond présent au grand retour des cadrans minéraux (concomitamment au grand retour de Piaget), en leur dédiant la moitié de ses nouvelles Classics Manchette.
La première se pare du vert marmoréen de la malachite, traversé d’ondes plus ou moins contrastées. La seconde lui préfère le noir absolu de l’onyx, qui absorbera la quasi-totalité de la lumière pour ne laisser s’échapper que le poli miroir, à la main, des deux délicates aiguilles bâton.
Les deux autres versions jouent une partition opposée ! Pour habiller une manchette en acier poli, elles choisissent d’une part le vif éclat de 158 diamants sertis ou, d’autre part, la finesse ton sur ton d’un cadran blanc mat orné de chiffres romains, dans une perspective plus horlogère.
Chaque pièce est animée par le même calibre FC-200 à quartz, garant de 60 mois d’autonomie, soit 5 années complètes. Une montre totalement polyvalente aussi à l’aise en jean qu’en robe du soir !
Les deux autres versions jouent une partition opposée ! Pour habiller une manchette en acier poli, elles choisissent d’une part le vif éclat de 158 diamants sertis ou, d’autre part, la finesse ton sur ton d’un cadran blanc mat orné de chiffres romains, dans une perspective plus horlogère.
Chaque pièce est animée par le même calibre FC-200 à quartz, garant de 60 mois d’autonomie, soit 5 années complètes. Une montre totalement polyvalente aussi à l’aise en jean qu’en robe du soir !
