Début 2012, la manufacture horlogère Girard-Perregaux a annoncé l’arrivée de l’horloger Dominique Loiseau au sein de ses équipes, et son ambition d'apporter sa vision aux développements horlogers de la marque.
Dominique Loiseau, souvent décrit comme l’un des plus grands maîtres de l’art horloger, a travaillé au sommet de l’horlogerie à complications pendant plus de trente ans. Il est le créateur de garde-temps d’exception tels que les six Montres de Sables, la Rose des Temps, les montres de poche Renaissance ou Capriccio, la célèbre montre-bracelet 1735 de Blancpain et, plus récemment, la montre 1f4…
Restaurateur de pièces de collection, il a enseigné au Musée International d’Horlogerie de La Chaux-de-Fonds, ville où se trouve également la manufacture Girard-Perregaux. Les passionnés d’horlogerie désireux de savoir quelles nouvelles pages de l’histoire de Girard-Perregaux vont être écrites par Dominique Loiseau, surveillent de près le maître-horloger réputé pour les nombreux chefs-d’œuvre qu’il a imaginés au fil des années.
Depuis sa création en 1791, Girard-Perregaux compte parmi les manufactures horlogères suisses les plus en vue et a tissé des liens étroits avec le Japon. Les montres « G.P. » ont été importées au Japon avant même que le Traité de l’Amitié et du Commerce ne soit conclu entre la Suisse et le Japon en 1864 ! En d’autres termes, « cette manufacture est très vraisemblablement la première maison horlogère à être pénétré au Japon » souligne le communiqué.
L’évènement commémoratif organisé à cette occasion s’est tenu au TEIEN, une demeure traditionnelle japonaise réaménagée en un lieu dédié aux réceptions et aux évènements -et rappelant la fin de l’ère samouraï il y a 150 ans-, lorsque François Perregaux, membre de la famille fondatrice de la marque, a commencé à importer les montres Girard-Perregaux au Japon.
Des pièces de collection exclusives de la marque, dont les trois montres de la collection musicale « OPERA » ou l’emblématique Tourbillon sous trois Ponts d’or, étaient exposées lors de l’évènement. Iwao Furusawa, violoniste connu comme « le révolutionnaire de la musique classique », a joué pour les quelques 200 invités lors de la réception.
Le 16 juin, Dominique Loiseau a participé à un talk-show intitulé « An Evening Discussing the Future of Manufactures » en partenariat avec The Hour Glass (détaillant asiatique incontournable) et animé par le journaliste Norio Takagi, dans le quartier de Ginza. Cette discussion a permis de dresser un panorama complet des mécanismes sophistiqués, du savoir-faire et des designs d'exception de la marque Girard-Perregaux. Environ 50 invités sélectionnés par tirage au sort ont eu la rare opportunité de découvrir les coulisses de l’art de l’horlogerie « manufacture » au travers des commentaires pointus de Dominique Loiseau.
« C’est un honneur et une grande joie pour moi d’être à Tokyo », a déclaré à cette occasion Dominique Loiseau. « Depuis deux siècles, Girard-Perregaux ne cesse de marquer l’histoire de l’horlogerie. La tradition est avant tout un savoir-faire, le respect fondamental des lois immuables de la mécanique, sans compromis. Mais sans créativité, la tradition n’est qu’une mauvaise habitude. Nous devons vivre avec notre temps. L’essentiel est d'essayer de créer des montres capables de toucher nos contemporains ainsi que les générations futures ».
Dominique Loiseau, souvent décrit comme l’un des plus grands maîtres de l’art horloger, a travaillé au sommet de l’horlogerie à complications pendant plus de trente ans. Il est le créateur de garde-temps d’exception tels que les six Montres de Sables, la Rose des Temps, les montres de poche Renaissance ou Capriccio, la célèbre montre-bracelet 1735 de Blancpain et, plus récemment, la montre 1f4…
Restaurateur de pièces de collection, il a enseigné au Musée International d’Horlogerie de La Chaux-de-Fonds, ville où se trouve également la manufacture Girard-Perregaux. Les passionnés d’horlogerie désireux de savoir quelles nouvelles pages de l’histoire de Girard-Perregaux vont être écrites par Dominique Loiseau, surveillent de près le maître-horloger réputé pour les nombreux chefs-d’œuvre qu’il a imaginés au fil des années.
Depuis sa création en 1791, Girard-Perregaux compte parmi les manufactures horlogères suisses les plus en vue et a tissé des liens étroits avec le Japon. Les montres « G.P. » ont été importées au Japon avant même que le Traité de l’Amitié et du Commerce ne soit conclu entre la Suisse et le Japon en 1864 ! En d’autres termes, « cette manufacture est très vraisemblablement la première maison horlogère à être pénétré au Japon » souligne le communiqué.
L’évènement commémoratif organisé à cette occasion s’est tenu au TEIEN, une demeure traditionnelle japonaise réaménagée en un lieu dédié aux réceptions et aux évènements -et rappelant la fin de l’ère samouraï il y a 150 ans-, lorsque François Perregaux, membre de la famille fondatrice de la marque, a commencé à importer les montres Girard-Perregaux au Japon.
Des pièces de collection exclusives de la marque, dont les trois montres de la collection musicale « OPERA » ou l’emblématique Tourbillon sous trois Ponts d’or, étaient exposées lors de l’évènement. Iwao Furusawa, violoniste connu comme « le révolutionnaire de la musique classique », a joué pour les quelques 200 invités lors de la réception.
Le 16 juin, Dominique Loiseau a participé à un talk-show intitulé « An Evening Discussing the Future of Manufactures » en partenariat avec The Hour Glass (détaillant asiatique incontournable) et animé par le journaliste Norio Takagi, dans le quartier de Ginza. Cette discussion a permis de dresser un panorama complet des mécanismes sophistiqués, du savoir-faire et des designs d'exception de la marque Girard-Perregaux. Environ 50 invités sélectionnés par tirage au sort ont eu la rare opportunité de découvrir les coulisses de l’art de l’horlogerie « manufacture » au travers des commentaires pointus de Dominique Loiseau.
« C’est un honneur et une grande joie pour moi d’être à Tokyo », a déclaré à cette occasion Dominique Loiseau. « Depuis deux siècles, Girard-Perregaux ne cesse de marquer l’histoire de l’horlogerie. La tradition est avant tout un savoir-faire, le respect fondamental des lois immuables de la mécanique, sans compromis. Mais sans créativité, la tradition n’est qu’une mauvaise habitude. Nous devons vivre avec notre temps. L’essentiel est d'essayer de créer des montres capables de toucher nos contemporains ainsi que les générations futures ».
