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IWC : quand horlogerie de luxe et développement durable font bon ménage


L’horloger IWC a récemment publié la seconde édition de son rapport bisannuel sur le développement durable, en adéquation avec les normes édictées par la Global Reporting Initiative (GRI) tout en rappelant qu’en 2018, la marque se revendiquait comme la « première marque horlogère de luxe suisse à se référer à ces normes internationales ».



En adoptant une approche du développement durable fondée sur la transparence et la collaboration, IWC souhaite se placer en première ligne de l’industrie horlogère de luxe. Rappelons que la tendance green-écolo est de plus en plus récurrente dans cette industrie, on la retrouve chez Breitling, Blancpain, Chopard, Oris et bien d’autres.
 
Depuis la définition de ses premiers objectifs de développement durable en 2017, IWC revendique aujourd’hui les résultats suivants :
• Respect des objectifs environnementaux grâce à une réduction de 10% des émissions de gaz à effet de serre et une diminution de 30% du volume et poids moyens des emballages
• Respect des objectifs de parité dans le domaine de la formation, doublement du nombre d’heures annuelles de volontariat d’entreprise et réduction du taux d’absentéisme de 10% via la promotion de la santé et du bien-être
• Renouvellement de la certification selon le Code des pratiques du Responsible Jewellery Council (RJC)
 
IWC rappelle d’ailleurs qu’elle est la première marque horlogère de luxe à satisfaire les critères fixés par les normes du Code des pratiques du Responsible Jewellery Council (RJC) révisées en 2019, fixant des exigences très strictes en matière de pratiques commerciales responsables et de gestion de la chaîne d’approvisionnement.
 
A ce sujet, le RJC a souligné que le cahier des charges mis en place par IWC allait au-delà des réglementations en matière d’approvisionnement, de responsabilité d’employeur et d’investissement dans les communautés locales…
 
IWC s’efforce également à maîtriser son impact environnemental à l’échelle mondiale et locale. Tant
dans la conception de mécanismes horlogers à vocation durable qu’à l’acquisition d’électricité 100% d’origine renouvelable dans le monde entier, IWC a atteint des objectifs ambitieux ces deux dernières années.
 
La société investit par ailleurs dans la communauté locale en tant qu’employeur : elle est la première marque horlogère de luxe à avoir reçu une certification «  Great Place to Work » en Suisse, 90% des collaborateurs ayant déclaré être fiers de faire partie de la famille IWC.
 
L’amélioration de la transparence représente un engagement à long terme car IWC entend appliquer
les principes de l’économie circulaire au-delà de ceux déjà mis en œuvre -cela comprend la réutilisation de la chaleur générée par les processus de production, le recyclage de l’or et le développement de nouveaux matériaux durables.
 
Pour l’horizon 2022, IWC se fixe des objectifs clairs, axés sur la durabilité environnementale et la diversité. Il s’agira notamment de décrocher une certification Equal Pay, de doubler la proportion de femmes à des postes de management par rapport à 2017, de développer et d’appliquer une stratégie Green IT et de définir un plan d’action pour organiser des événements durables.
 
*La Global Reporting Initiative (GRI) constitue le cadre de travail le plus utilisé dans le monde pour la préparation de rapports sur le développement durable. Elle propose un format structuré pour partager de façon uniforme et exhaustive les informations relatives aux questions fondamentales, aux indicateurs de performance et à la gestion des problématiques liées au développement durable.

Montres-de-luxe.com | Publié le 18 Août 2020 | Lu 10781 fois






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