L’histoire du chronographe bracelet Breguet « Type 20 » est restée célèbre de par son utilisation dans les forces aériennes de l’armée de l’air ou l’aéronavale française à partir de 1954 et ce, jusqu’en 1970.
A ce jour cependant, nous ne connaissons que très peu d’exemplaires liés au sport automobile tel que cette montre qui commémore la victoire de l’équipe Alexandre, Coltelloni et Desrosiers, unique dans les annales du sport automobile après leur triomphe historique au Rallye de Monte-Carlo en 1959 sur une version prototype de la fameuse Citroën DS, la ID 19.
Une fois encore, le génie français était à l’honneur entre les maisons Citroën et Breguet, deux noms qui ont tant apportés à la France dans les années après-guerre, l’un avec l’horlogerie mais aussi l’aviation dont les fameux avions Breguet, et l’autre au firmament de l’automobile, surtout lorsque l’on se souvient du succès de la fameuse DS qui conserve son aura dans le cœur de nos compatriotes, qui la considèrent comme une icône du patrimoine automobile.
Cette montre en acier dotée d’un boitier de 39 mm a été conservée par les descendants du propriétaire d’origine M. Alexandre, dont les livres des archives mentionnent que cette montre, avec son inscription spéciale, était encore en sa possession en 1973. Elle a conservé tous ses attributs d’origines avec une décoloration naturelle du cadran qui lui donne cet aspect brun ou dit « tropical », aujourd’hui recherché par les collectionneurs.
Ce chrono tricompax (no 3065 / cal. 225) s’annonce comme un « rare témoignage de l’époque » alliant la technique et le style de la maison Breguet pour l’une des montres dites « automobilia » produites à l’époque par cet horloger illustre. Il est donc intéressant de noter que Breguet peut en effet revendiquer des liens étroits avec le monde du sport automobile (ce que l’on sait peu) au travers de la fiabilité de ses fameux chronographes « Type 20 ».
A ce jour, nous ne connaissons que très peu de pièces faites par Breguet pour le sport automobile, la seule autre connue sur le marché modèle « Type 20 » a été vendue le 5 mai 1960 pour commémorer la victoire de Jacky Brabham au championnat du monde de Formule 1 en 1959, portant l’inscription au dos “Esso J.B. Champion du Monde 1959”.
A ce jour cependant, nous ne connaissons que très peu d’exemplaires liés au sport automobile tel que cette montre qui commémore la victoire de l’équipe Alexandre, Coltelloni et Desrosiers, unique dans les annales du sport automobile après leur triomphe historique au Rallye de Monte-Carlo en 1959 sur une version prototype de la fameuse Citroën DS, la ID 19.
Une fois encore, le génie français était à l’honneur entre les maisons Citroën et Breguet, deux noms qui ont tant apportés à la France dans les années après-guerre, l’un avec l’horlogerie mais aussi l’aviation dont les fameux avions Breguet, et l’autre au firmament de l’automobile, surtout lorsque l’on se souvient du succès de la fameuse DS qui conserve son aura dans le cœur de nos compatriotes, qui la considèrent comme une icône du patrimoine automobile.
Cette montre en acier dotée d’un boitier de 39 mm a été conservée par les descendants du propriétaire d’origine M. Alexandre, dont les livres des archives mentionnent que cette montre, avec son inscription spéciale, était encore en sa possession en 1973. Elle a conservé tous ses attributs d’origines avec une décoloration naturelle du cadran qui lui donne cet aspect brun ou dit « tropical », aujourd’hui recherché par les collectionneurs.
Ce chrono tricompax (no 3065 / cal. 225) s’annonce comme un « rare témoignage de l’époque » alliant la technique et le style de la maison Breguet pour l’une des montres dites « automobilia » produites à l’époque par cet horloger illustre. Il est donc intéressant de noter que Breguet peut en effet revendiquer des liens étroits avec le monde du sport automobile (ce que l’on sait peu) au travers de la fiabilité de ses fameux chronographes « Type 20 ».
A ce jour, nous ne connaissons que très peu de pièces faites par Breguet pour le sport automobile, la seule autre connue sur le marché modèle « Type 20 » a été vendue le 5 mai 1960 pour commémorer la victoire de Jacky Brabham au championnat du monde de Formule 1 en 1959, portant l’inscription au dos “Esso J.B. Champion du Monde 1959”.
L’ID : première Citroën à gagner un rallye en 1959
Paul Coltelloni et ses deux copilotes : Claude Desrosiers et Pierre Alexandre s’engagent en 1959 au Rallye Monte-Carlo avec la DS de la femme de Coltelloni et remportent le rallye. Deux copilotes, cela permet de gagner du temps, épargnant la fatigue, même si un homme de plus dans la voiture c’est du poids en plus. Mais la force de cet équipage réside dans sa voiture : la DS. D’ailleurs, une petite erreur réside dans bien des mémoires : ce n’est pas une DS qui a remporté le Monte-Carlo 59 mais bien une ID.
L’ID était une version allégée de la DS. Sur cette version, pas de champignon comme pédale de frein mais une pédale comme une voiture « classique ». Une troisième pédale fait son arrivée : celle de l’embrayage. Le gros de cette différence ID/DS est la boîte mécanique installée en lieu et place de la boîte semi-automatique à assistance hydraulique. Enfin, l’ID n’a pas de direction assistée. On imagine les bras du pilote à la suite de secteurs chronométrés du Rallye Monte-Carlo ou du Tour de Corse. Dernier petit détail : à l’arrière de l’ID, son coffre arbore un double chevron argenté, quand celui de la DS est doré.
A la suite de cette victoire 1959, Citroën crée un Service Compétition. La maison-mère Citroën accorde un budget à l’écurie Paris-Ile de France, qui a à sa tête René Cotton. Leurs DS et ID accumulent les victoires en cette année 1959, si bien que Paul Coltelloni remporte le Championnat d’Europe des Rallyes. 1966, Pauli Toivonen et Ensio Mikander montent sur la première marche du podium à Monaco, en Citroën DS 21. Bien que peu puissante, les DS et ID se révèlent agiles, bien suspendues, endurantes, si bien que de Monte-Carlo au Tour de Corse en passant par le Rallye du Maroc, elles glanent de nombreuses victoires.
L’histoire est en route. S’en suit la création du service Compétition de Citroën, avec à sa tête René Cotton. A sa mort, il sera remplacé par sa femme Marlène. L’équipe se professionnalise, les DS évoluent, de la série aux prototypes. Jusqu’à aujourd’hui, l’histoire de ce service Compétition renommé Citroën Sport puis Citroën Racing, sera l’une des plus denses qu’il soit.
L’ID était une version allégée de la DS. Sur cette version, pas de champignon comme pédale de frein mais une pédale comme une voiture « classique ». Une troisième pédale fait son arrivée : celle de l’embrayage. Le gros de cette différence ID/DS est la boîte mécanique installée en lieu et place de la boîte semi-automatique à assistance hydraulique. Enfin, l’ID n’a pas de direction assistée. On imagine les bras du pilote à la suite de secteurs chronométrés du Rallye Monte-Carlo ou du Tour de Corse. Dernier petit détail : à l’arrière de l’ID, son coffre arbore un double chevron argenté, quand celui de la DS est doré.
A la suite de cette victoire 1959, Citroën crée un Service Compétition. La maison-mère Citroën accorde un budget à l’écurie Paris-Ile de France, qui a à sa tête René Cotton. Leurs DS et ID accumulent les victoires en cette année 1959, si bien que Paul Coltelloni remporte le Championnat d’Europe des Rallyes. 1966, Pauli Toivonen et Ensio Mikander montent sur la première marche du podium à Monaco, en Citroën DS 21. Bien que peu puissante, les DS et ID se révèlent agiles, bien suspendues, endurantes, si bien que de Monte-Carlo au Tour de Corse en passant par le Rallye du Maroc, elles glanent de nombreuses victoires.
L’histoire est en route. S’en suit la création du service Compétition de Citroën, avec à sa tête René Cotton. A sa mort, il sera remplacé par sa femme Marlène. L’équipe se professionnalise, les DS évoluent, de la série aux prototypes. Jusqu’à aujourd’hui, l’histoire de ce service Compétition renommé Citroën Sport puis Citroën Racing, sera l’une des plus denses qu’il soit.
Maison de ventes Pescheteau Badin
16, rue de la Grange-Batelière
75009 Paris
Vente aux enchères - Vendredi 26 mars à 14H
Expositions publiques - samedi 24 mars et dimanche 25 mars de 11h à 21h et lundi 26 mars de 11h à 12h
16, rue de la Grange-Batelière
75009 Paris
Vente aux enchères - Vendredi 26 mars à 14H
Expositions publiques - samedi 24 mars et dimanche 25 mars de 11h à 21h et lundi 26 mars de 11h à 12h