La montre de forme coussin est un grand classique de l’horlogerie qui renvoie aux années d’avant-guerre, à l’époque rétro, à des modèles d’antan que possédèrent nos grands-parents voire, nos arrières grands-parents.
On retrouve à l’époque cette forme coussin sur les boitiers de la première Rolex en 1926 puis, dix ans plus tard sur celui de la première Panerai, la Radiomir qui était alors équipée d’un calibre Rolex !
On retrouve à l’époque cette forme coussin sur les boitiers de la première Rolex en 1926 puis, dix ans plus tard sur celui de la première Panerai, la Radiomir qui était alors équipée d’un calibre Rolex !
D’aucuns évoquent même le fait que les boitiers furent également produits par la marque à la couronne. Mais ceci est une autre histoire.
C’est donc cette forme emblématique de l’horlogerie d’antan (que l’on retrouve aujourd’hui chez Alpina, Moser, King Seiko, Tissot, Longines, etc.) que la marque horlogère française Boanton a décidé de reprendre au sein de ses collections et notamment pour cette gamme baptisée Emblème.
C’est donc cette forme emblématique de l’horlogerie d’antan (que l’on retrouve aujourd’hui chez Alpina, Moser, King Seiko, Tissot, Longines, etc.) que la marque horlogère française Boanton a décidé de reprendre au sein de ses collections et notamment pour cette gamme baptisée Emblème.
Emblème, c’est trois montres en acier de 40 mm avec boitiers de forme coussin, étanches à 50 mètres.
Pour rester dans l’esprit rétro, un diamètre plus contenu aurait peut-être été plus intéressant mais bon… Il est doté d’une couronne de remontoir cannelée pour une manipulation douce et agréable.
Le cadran offre une surface laquée qui « capte la lumière comme un vitrail, révélant des reflets mouvants » assure la marque dans son communiqué. Il se décline en trois couleurs : vert émeraude, ivoire et bleu profond.
Pour rester dans l’esprit rétro, un diamètre plus contenu aurait peut-être été plus intéressant mais bon… Il est doté d’une couronne de remontoir cannelée pour une manipulation douce et agréable.
Le cadran offre une surface laquée qui « capte la lumière comme un vitrail, révélant des reflets mouvants » assure la marque dans son communiqué. Il se décline en trois couleurs : vert émeraude, ivoire et bleu profond.
En son centre, le cadran arbore une signature gravée qui reprend l’emblème de la maison qui s’inspire des sceaux d’antan.
Inspirées de la forme classique des aiguilles dites de type « feuille », celles de la collection Emblème ont été entièrement réinterprétées par la maison pour offrir une silhouette plus contemporaine.
La trotteuse a elle aussi été redessinée dans cet esprit. L’ensemble étant est protégé, comme il se doit, par un verre saphir, ici à double dôme.
Inspirées de la forme classique des aiguilles dites de type « feuille », celles de la collection Emblème ont été entièrement réinterprétées par la maison pour offrir une silhouette plus contemporaine.
La trotteuse a elle aussi été redessinée dans cet esprit. L’ensemble étant est protégé, comme il se doit, par un verre saphir, ici à double dôme.
La collection Emblème abrite le mouvement de manufacture La Joux-Perret G100, intégralement conçu, assemblé et contrôlé à La Chaux-de-Fonds, en Suisse.
Ce dernier est sublimé par d’élégantes finitions, avec un biseau diamanté et des vis rhodiées, polies puis bleuies à chaud, selon les standards de l’horlogerie suisse.
La masse oscillante en tungstène massif est décorée de Côtes de Genève et gravée, en laque, du nom et du logo de la maison Boanton. Elle assure près de 70h de réserve de marche. Largement week-end proof donc.
« Last but not least », ces montres se portent avec des bracelets en cuir de type saffiano avec boucle d’ardillon.
Ce dernier est sublimé par d’élégantes finitions, avec un biseau diamanté et des vis rhodiées, polies puis bleuies à chaud, selon les standards de l’horlogerie suisse.
La masse oscillante en tungstène massif est décorée de Côtes de Genève et gravée, en laque, du nom et du logo de la maison Boanton. Elle assure près de 70h de réserve de marche. Largement week-end proof donc.
« Last but not least », ces montres se portent avec des bracelets en cuir de type saffiano avec boucle d’ardillon.