Richard Mille accueille donc cette année au sein de sa famille, la jeune sportive Flore Giraud, championne et étoile montante du saut d’obstacles en France. Dans un sport qui regagne en popularité dans le monde entier, les performances de la jeune française témoignent de son ascension vers les plus hauts sommets.
« J’étais déjà à cheval avant même de naître ! », s’amuse à dire la jeune femme de vingt-quatre ans, qui reconnaît que sa passion pour l’équitation lui a été transmise par sa mère. « Petite, on ne pouvait pas me sortir des écuries. Je montais à cheval, m’occupais des animaux, nettoyais les boxes... J’y aurais même dormi si on m’avait laissé faire ! Après avoir eu mon premier poney, un Shetland, à seulement quatre ans, j’ai commencé la compétition à huit ans ».
Depuis, et après plusieurs succès dans des Grand Prix nationaux et internationaux comme Knokke, Equitalyon, Wellington en Floride ou encore, le Longines Masters Paris 2019, le monde est devenu son arène de prédilection.
Selon Flore, « nourrir une relation avec les chevaux exige une grande sensibilité. Ils donnent tellement que développer avec eux une relation instinctive demande des années de dévouement. Ils perçoivent bien sûr l’importance des grandes compétitions quand elles arrivent, ressentent la foule et surtout l’adrénaline du cavalier. Après tout, nous exigeons d’eux des performances incroyables qui ne s’obtiennent pas sans efforts ».
« J’étais déjà à cheval avant même de naître ! », s’amuse à dire la jeune femme de vingt-quatre ans, qui reconnaît que sa passion pour l’équitation lui a été transmise par sa mère. « Petite, on ne pouvait pas me sortir des écuries. Je montais à cheval, m’occupais des animaux, nettoyais les boxes... J’y aurais même dormi si on m’avait laissé faire ! Après avoir eu mon premier poney, un Shetland, à seulement quatre ans, j’ai commencé la compétition à huit ans ».
Depuis, et après plusieurs succès dans des Grand Prix nationaux et internationaux comme Knokke, Equitalyon, Wellington en Floride ou encore, le Longines Masters Paris 2019, le monde est devenu son arène de prédilection.
Selon Flore, « nourrir une relation avec les chevaux exige une grande sensibilité. Ils donnent tellement que développer avec eux une relation instinctive demande des années de dévouement. Ils perçoivent bien sûr l’importance des grandes compétitions quand elles arrivent, ressentent la foule et surtout l’adrénaline du cavalier. Après tout, nous exigeons d’eux des performances incroyables qui ne s’obtiennent pas sans efforts ».
Flore évolue au Haras familial de Lécaude, situé près de Deauville en Normandie. Les infrastructures, haut de gamme, sont équipées en toute saison d’un manège, d’un spring garden et d’un spa. Les chevaux, « les vrais athlètes », comme aime à le préciser Flore, méritent le meilleur : ils reçoivent notamment des massages pour soulager leurs muscles très sollicités.
« Tout se passe exactement comme en Formule 1, avec les techniciens des stands ravitaillement : Edward Levy et moi sommes les cavaliers du haras, mais l’équipe est constituée de tout le staff qui nous entoure. » Convaincue que le mental représente 90% du sport, Flore est accompagnée par son propre coach et souligne que « tout cela forme rapidement un cercle vertueux de réussite, d’attitude positive et de gestion des phases de découragement ».
Quand Flore a rencontré Amanda Mille, l’entente a été immédiate. Toutes deux partagent la même conception du rôle des femmes dans la compétition internationale. « C’est presque l’unique sport où l’on rivalise à armes égales avec les hommes. Notre performance dure une minute, mais cette minute exige de nombreuses années de préparation. Chaque centième de seconde compte. J’adore la précision infinie que nécessite la perfection ».
C’est le modèle RM 07-01 en carbone TPT et titane qui accompagnera Flore en compétition ; elle en apprécie particulièrement l’extrême légèreté (l’une des grandes caractéristiques des montres Richard Mille) et le confort de ses courbes. « C’est exactement ce que je recherche à l’approche de chaque obstacle », résume la jeune Française qui trépigne évidemment d’impatience à l’idée de relever le défi des JO de Paris 2024.
Et qu’on ne s’y trompe pas : Flore a la ferme intention de franchir tous les obstacles à venir.
« Tout se passe exactement comme en Formule 1, avec les techniciens des stands ravitaillement : Edward Levy et moi sommes les cavaliers du haras, mais l’équipe est constituée de tout le staff qui nous entoure. » Convaincue que le mental représente 90% du sport, Flore est accompagnée par son propre coach et souligne que « tout cela forme rapidement un cercle vertueux de réussite, d’attitude positive et de gestion des phases de découragement ».
Quand Flore a rencontré Amanda Mille, l’entente a été immédiate. Toutes deux partagent la même conception du rôle des femmes dans la compétition internationale. « C’est presque l’unique sport où l’on rivalise à armes égales avec les hommes. Notre performance dure une minute, mais cette minute exige de nombreuses années de préparation. Chaque centième de seconde compte. J’adore la précision infinie que nécessite la perfection ».
C’est le modèle RM 07-01 en carbone TPT et titane qui accompagnera Flore en compétition ; elle en apprécie particulièrement l’extrême légèreté (l’une des grandes caractéristiques des montres Richard Mille) et le confort de ses courbes. « C’est exactement ce que je recherche à l’approche de chaque obstacle », résume la jeune Française qui trépigne évidemment d’impatience à l’idée de relever le défi des JO de Paris 2024.
Et qu’on ne s’y trompe pas : Flore a la ferme intention de franchir tous les obstacles à venir.
