La Laureato fait partie de ces montres iconiques des années 70. De ces sportives en acier qui ont révolutionné le marché il y a quarante ans.
Certes, ce modèle n’est pas aussi célèbre que la Nautilus de chez Patek Philippe, ni que la Royal Oak de chez Audemars Piguet, ni même que l’Ingenieur de chez IWC, mais ce garde-temps s’inscrit dans la même lignée et fait un beau retour cette année sur le devant de la scène avec cette édition 50ème anniversaire produite à 200 exemplaires.
Pour la petite histoire, rappelons que le nom de la montre fut suggéré par le distributeur italien de Girard-Perregaux : il s’inspire du film culte de Mike Nichols, « Le Lauréat » (1967), interprété par Dustin Hoffman, Anne Bancroft et Katharine Ross.
Certes, ce modèle n’est pas aussi célèbre que la Nautilus de chez Patek Philippe, ni que la Royal Oak de chez Audemars Piguet, ni même que l’Ingenieur de chez IWC, mais ce garde-temps s’inscrit dans la même lignée et fait un beau retour cette année sur le devant de la scène avec cette édition 50ème anniversaire produite à 200 exemplaires.
Pour la petite histoire, rappelons que le nom de la montre fut suggéré par le distributeur italien de Girard-Perregaux : il s’inspire du film culte de Mike Nichols, « Le Lauréat » (1967), interprété par Dustin Hoffman, Anne Bancroft et Katharine Ross.
Ce nom de baptême était osé, en effet, à l’époque, le film fit scandale, puisqu’il mettait en scène une histoire d’amour entre un jeune étudiant et une femme mature…
La Laureato arrive sur le marché en 1975 (donc après la Royal Oak mais avant la Nautilus). Dès sa naissance, elle était dotée d’une particularité : celle de pouvoir se conjuguer en or, voire même en version bicolore (comme cette nouveauté), option relativement rare dans ces années-là.
Dès 1984, et après sa période quartz, la Laureato accueille des complications qui font évoluer son allure. Si la lunette reste octogonale et polie, le bracelet intégré s’enrichit d’entre-maillons bombés dont la surface polie entre en dialogue avec le brillant de la lunette.
La Laureato arrive sur le marché en 1975 (donc après la Royal Oak mais avant la Nautilus). Dès sa naissance, elle était dotée d’une particularité : celle de pouvoir se conjuguer en or, voire même en version bicolore (comme cette nouveauté), option relativement rare dans ces années-là.
Dès 1984, et après sa période quartz, la Laureato accueille des complications qui font évoluer son allure. Si la lunette reste octogonale et polie, le bracelet intégré s’enrichit d’entre-maillons bombés dont la surface polie entre en dialogue avec le brillant de la lunette.
En 1995, son boitier s’élargit pour accueillir le calibre mécanique extra-plat GP 3100 à remontage automatique. La lunette et la carrure gagnent en espace tandis que l’esthétique des maillons de son bracelet s’achemine vers la forme d’un « h ».
En 1996, la version chronographe engendre la collection Olimpico tandis qu’en 1998, cette évolution esthétique se prête à l’emboîtage du célèbre calibre tourbillon sous trois-ponts d’or, signature G-P par excellence !
A partir de 2003, le design de la Laureato entre dans le troisième millénaire tandis que sa taille dépasse les 40 mm. La lunette octogonale, pour la première fois satinée, prend ses aises à l’intérieur du cercle tandis que le remontoir et les poussoirs vissés soulignent la sportivité de la collection. Le modèle connaitra ensuite de très nombreuses versions…
En 1996, la version chronographe engendre la collection Olimpico tandis qu’en 1998, cette évolution esthétique se prête à l’emboîtage du célèbre calibre tourbillon sous trois-ponts d’or, signature G-P par excellence !
A partir de 2003, le design de la Laureato entre dans le troisième millénaire tandis que sa taille dépasse les 40 mm. La lunette octogonale, pour la première fois satinée, prend ses aises à l’intérieur du cercle tandis que le remontoir et les poussoirs vissés soulignent la sportivité de la collection. Le modèle connaitra ensuite de très nombreuses versions…
Aujourd’hui, à l’occasion de ces cinq décennies de bons et loyaux services, la Laureato revient dans cette version Fifty de 39 mm (taille idéale pour ce type de montre) en or 3N (lunette, couronne et maillons centraux) et acier pour moins de 10 mm d’épaisseur.
Le cadran gris soleillé arbore un motif Clous de Paris (un classique pour ce modèle) et des index en plaqué or avec matière luminescente tout comme les aiguilles d’ailleurs. La date (chiffres blancs sur fond noir) apparait à 3h de manière classique.
Le cadran gris soleillé arbore un motif Clous de Paris (un classique pour ce modèle) et des index en plaqué or avec matière luminescente tout comme les aiguilles d’ailleurs. La date (chiffres blancs sur fond noir) apparait à 3h de manière classique.
Le bracelet intégré (signature de ce type de montre) a été retravaillé ; il présente une très belle « chute » jusqu’à la boucle qui intègre désormais un ajustement de précision de 4 mm. Une « option » indispensable de nos jours sur une montre haut de gamme.
Le fond de boitier laisse admirer le calibre automatique « manufacture » de la marque, le GP4800 (4Hz, avec échappement en silicium, fonction stop seconde et balancier à inertie variable réglé par quatre vis en or gris) d’une belle réserve de marche de 55h. Un moteur à l’esthétique contemporaine avec rotor et gravures en or.
Le fond de boitier laisse admirer le calibre automatique « manufacture » de la marque, le GP4800 (4Hz, avec échappement en silicium, fonction stop seconde et balancier à inertie variable réglé par quatre vis en or gris) d’une belle réserve de marche de 55h. Un moteur à l’esthétique contemporaine avec rotor et gravures en or.