Avant d’entrer dans le détail de cette nouveauté LIP, rappelons brièvement que le modèle Himalaya est né en 1954 d'une discussion entre Fred Lip, passionné de montagne et fondateur de la marque et son ami, Lionel Terray, guide de haute montagne.
A l’époque, Maurice Herzog, un autre ami de Fred Lip, a fortement contribué au succès de l'Himalaya. Il fut en effet le premier alpiniste à gravir l'Annapurna (un sommet de l'Himalaya de plus de 8.000 mètres) accompagné par sa montre Himalaya au poignet. Comme quoi, il n’y a pas que des Rolex sur les sommets…
Avec cette nouvelle référence 671575, Lip rebondit sur cette époque-phare pour renouer avec les valeurs fondamentales qui firent son succès. De quoi combler les nostalgiques des fifties et les amateurs de vintage dans un format toutefois plus contemporain avec ce boitier de 40 mm en acier 316L (étanche 50 mètres) et un cadran bleu moyen laissant le calibre partiellement visible au travers de deux ouvertures en forme de « sablier ».
On retrouve des chiffres arabes et index bâtons, des aiguilles heures et minutes argentées de type Dauphine, une trotteuse argentée. L’ensemble est protégé par un verre saphir bombé (le fait que ceci soit mentionné sur le cadran est d'ailleurs totalement superflu).
Le calibre « trois aiguilles » mécanique automatique (Miyota 8N24) est visible à travers le fond transparent de sa boite. Cette Himalaya se porte sur un bracelet en cuir marron qui renforce son aspect vintage.
Associée à de nombreuses expéditions et évènements sportifs, cette montre a notamment accompagné le Tour de France en 1954, 1955 et 1956 – dont LIP était le chronométreur officiel - où elle récompensait le meilleur sportif de la journée.
Dans les 70's, les montres Lip étaient à l'image de leur société : contemporaine. Elles servaient de terrain d'expression, reflétaient leur temps, utilisaient des matériaux détournés de l'industrie moderne, aspiraient au progrès technique et insufflaient l'optimisme.
A l’époque, Maurice Herzog, un autre ami de Fred Lip, a fortement contribué au succès de l'Himalaya. Il fut en effet le premier alpiniste à gravir l'Annapurna (un sommet de l'Himalaya de plus de 8.000 mètres) accompagné par sa montre Himalaya au poignet. Comme quoi, il n’y a pas que des Rolex sur les sommets…
Avec cette nouvelle référence 671575, Lip rebondit sur cette époque-phare pour renouer avec les valeurs fondamentales qui firent son succès. De quoi combler les nostalgiques des fifties et les amateurs de vintage dans un format toutefois plus contemporain avec ce boitier de 40 mm en acier 316L (étanche 50 mètres) et un cadran bleu moyen laissant le calibre partiellement visible au travers de deux ouvertures en forme de « sablier ».
On retrouve des chiffres arabes et index bâtons, des aiguilles heures et minutes argentées de type Dauphine, une trotteuse argentée. L’ensemble est protégé par un verre saphir bombé (le fait que ceci soit mentionné sur le cadran est d'ailleurs totalement superflu).
Le calibre « trois aiguilles » mécanique automatique (Miyota 8N24) est visible à travers le fond transparent de sa boite. Cette Himalaya se porte sur un bracelet en cuir marron qui renforce son aspect vintage.
Associée à de nombreuses expéditions et évènements sportifs, cette montre a notamment accompagné le Tour de France en 1954, 1955 et 1956 – dont LIP était le chronométreur officiel - où elle récompensait le meilleur sportif de la journée.
Dans les 70's, les montres Lip étaient à l'image de leur société : contemporaine. Elles servaient de terrain d'expression, reflétaient leur temps, utilisaient des matériaux détournés de l'industrie moderne, aspiraient au progrès technique et insufflaient l'optimisme.