Mon premier Baselworld date de 1989 ; une époque où je travaillais pour la maison Renoma. Une maison de prêt-à-porter qui avait des licences avec son distributeur japonais.
Celui-ci voulait une montre Renoma et j’avais fait ce voyage en Suisse afin de rencontrer des fabricants. J’y ai rencontré Richard Mille qui à l’époque travaillait chez Yema et m’avait offert une montre siglée « Jean Louis Etienne ».
Une montre à quartz que je possède toujours. Ce monde horloger était pour moi radicalement différent de celui du prêt à porter...
Et curieusement, je viens d’être en contact avec Jean Louis Etienne qui a un projet à me proposer.
Propos recueillis par Joël Chassaing-Cuvillier.
Celui-ci voulait une montre Renoma et j’avais fait ce voyage en Suisse afin de rencontrer des fabricants. J’y ai rencontré Richard Mille qui à l’époque travaillait chez Yema et m’avait offert une montre siglée « Jean Louis Etienne ».
Une montre à quartz que je possède toujours. Ce monde horloger était pour moi radicalement différent de celui du prêt à porter...
Et curieusement, je viens d’être en contact avec Jean Louis Etienne qui a un projet à me proposer.
Propos recueillis par Joël Chassaing-Cuvillier.
