A Hong Kong, Lane Crawford est une institution. C’est là que les Hongkongais tendances, mais surtout très fortunés, font leurs courses… Entre produits d’exception, séries limitées, accessoires introuvables ailleurs dans le monde, parfums rares, marques de niche, etc. Bref, Lane Crawford est « the place to shop » dans l’ancienne colonie britannique.
C’est au sein de ce temple de la consommation asiatique que vient de s’installer cette jeune marque horlogère baptisée Myku, créée par le Singapourien Kuan Teo (ex de chez John Hardy) et le designer français François Hurtaud.
« Pour le dire simplement, indique Kuan Teo, je n’aime pas les complications. Pourquoi perdre son temps en fonctions compliquées et superflues que l’on n’utilisera probablement jamais ? La fonction de base d’une montre, c’est de donner l’heure, d’être belle et esthétique à notre poignet ». Dont acte.
C’est au sein de ce temple de la consommation asiatique que vient de s’installer cette jeune marque horlogère baptisée Myku, créée par le Singapourien Kuan Teo (ex de chez John Hardy) et le designer français François Hurtaud.
« Pour le dire simplement, indique Kuan Teo, je n’aime pas les complications. Pourquoi perdre son temps en fonctions compliquées et superflues que l’on n’utilisera probablement jamais ? La fonction de base d’une montre, c’est de donner l’heure, d’être belle et esthétique à notre poignet ». Dont acte.
Dans ce contexte, on comprend que la marque ne propose dans cette première collection baptisée Elemental Classic Series 1, que des modèles très designs et épurés ; dommage tout de même qu’elle ne commercialise que des calibres à quartz… Une montre sans complication ne veut pas forcément dire, une « montre à pile » ! On attend donc un modèle mécanique dans les prochains développements…
Les fondateurs ont tout misé sur le cadran ; le « visage » de la montre, qui est ici réalisé en pierres semi-précieuses comme le marbre ou l’onyx. Des matériaux relativement rares dans l’industrie horlogère. Les deux premiers modèles (acier, 40 mm) embarquent donc, pour l’un un cadran en marbre blanc de Carrare et pour l’autre, un cadran en onyx noir. Protégé dans les deux cas, par un verre saphir. Précisons que chaque pièce est totalement unique puisque chaque cadran est issu d’une pierre qui ne ressemblera à aucune autre.
Le tout est complété par un beau bracelet en cuir de veau italien qui s’accorde parfaitement au design de ces nouveaux garde-temps. Existe également en boitier plaqué or. Compter dans les 720 euros env. pour le cadran marbre et 810 euros pour le cadran onyx. Ces montres sont également vendues online sur www.myku.co
Les fondateurs ont tout misé sur le cadran ; le « visage » de la montre, qui est ici réalisé en pierres semi-précieuses comme le marbre ou l’onyx. Des matériaux relativement rares dans l’industrie horlogère. Les deux premiers modèles (acier, 40 mm) embarquent donc, pour l’un un cadran en marbre blanc de Carrare et pour l’autre, un cadran en onyx noir. Protégé dans les deux cas, par un verre saphir. Précisons que chaque pièce est totalement unique puisque chaque cadran est issu d’une pierre qui ne ressemblera à aucune autre.
Le tout est complété par un beau bracelet en cuir de veau italien qui s’accorde parfaitement au design de ces nouveaux garde-temps. Existe également en boitier plaqué or. Compter dans les 720 euros env. pour le cadran marbre et 810 euros pour le cadran onyx. Ces montres sont également vendues online sur www.myku.co