Si certains achètent une montre après mûre réflexion et plusieurs essayages, d’autres fonctionnent au coup de cœur ! Un soir, au lieu d’être « scotché » sur Netflix, on surfe sur les sites de montres, on s’informe et puis on craque. On s’offre le modèle de ses rêves en quelques clics.
Toutefois, l’Europe et surtout la France possèdent encore un gros retard en la matière. D’autres pays sont beaucoup plus en avance que nous (l’Asie et les USA notamment). A chacun son rythme.
Certes de gros sites horlogers-marchands existent déjà, comme Ochrono, Emile Leon ou Forges qui réalisent une grosse part de leur chiffre d’affaires en ligne -voire quasiment la totalité des ventes pour Ochrono- mais peu de détaillants se sont lancés dans cette aventure dont l’un des pionniers fut, ne l’oublions pas, Bell & Ross il y a une dizaine d’années.
Lire aussi : Patek Philippe autorise la vente en ligne de ses montres pour les revendeurs officiels
Aujourd’hui, c’est au tour d’Omega de lancer son site de vente en ligne sur l’Europe… « Au cours des dernières années, l'introduction du commerce en ligne Omega s'est avérée être un énorme succès aux États-Unis et au Royaume-Uni, les deux premiers marchés à fournir la plate-forme » assure la marque dans son communiqué.
Comme le souligne Raynald Aeschlimann, le président et directeur de l’horloger biennois : « cette évolution du e-commerce Omega concerne principalement le client. Nous voulons leur donner un accès direct à nos montres et accessoires dans le confort de leur maison et de n'importe quel coin de leur pays ».
Outre les ventes en ligne, la marque continuera de développer son réseau mondial de boutiques géolocalisées, qui sont toujours considérées comme un élément important de l'expérience d'achat.
L’e-commerce en Europe concerne les pays suivants : Autriche, Belgique, Danemark, Finlande, France, Irlande, Italie, Allemagne, Liechtenstein, Luxembourg, Pays Bas, Norvège, Suède et… Suisse.
Toutefois, l’Europe et surtout la France possèdent encore un gros retard en la matière. D’autres pays sont beaucoup plus en avance que nous (l’Asie et les USA notamment). A chacun son rythme.
Certes de gros sites horlogers-marchands existent déjà, comme Ochrono, Emile Leon ou Forges qui réalisent une grosse part de leur chiffre d’affaires en ligne -voire quasiment la totalité des ventes pour Ochrono- mais peu de détaillants se sont lancés dans cette aventure dont l’un des pionniers fut, ne l’oublions pas, Bell & Ross il y a une dizaine d’années.
Lire aussi : Patek Philippe autorise la vente en ligne de ses montres pour les revendeurs officiels
Aujourd’hui, c’est au tour d’Omega de lancer son site de vente en ligne sur l’Europe… « Au cours des dernières années, l'introduction du commerce en ligne Omega s'est avérée être un énorme succès aux États-Unis et au Royaume-Uni, les deux premiers marchés à fournir la plate-forme » assure la marque dans son communiqué.
Comme le souligne Raynald Aeschlimann, le président et directeur de l’horloger biennois : « cette évolution du e-commerce Omega concerne principalement le client. Nous voulons leur donner un accès direct à nos montres et accessoires dans le confort de leur maison et de n'importe quel coin de leur pays ».
Outre les ventes en ligne, la marque continuera de développer son réseau mondial de boutiques géolocalisées, qui sont toujours considérées comme un élément important de l'expérience d'achat.
L’e-commerce en Europe concerne les pays suivants : Autriche, Belgique, Danemark, Finlande, France, Irlande, Italie, Allemagne, Liechtenstein, Luxembourg, Pays Bas, Norvège, Suède et… Suisse.
