Rolf, Oris existe désormais depuis plus de 120 ans. Vous parlez souvent de l’esprit de l’entreprise. A-t-il beaucoup changé aujourd’hui ?
R.S. : Je veux dire que non, mais honnêtement, comme je n’étais pas ici en 1904, je ne peux pas en être certain. Ce que je sais, c’est qu’au début du 20e siècle, lorsque nos fondateurs sont arrivés, la communauté locale vivait d’une manière très traditionnelle.
Puis est arrivée une entreprise qui fabriquait un produit distribué dans le monde entier. Cela a ouvert la région et apporté une perspective internationale, offrant aux habitants un sentiment de liberté, de possibilité et d’ambition. Aujourd’hui, en tant qu’entreprise indépendante, nous avons toujours cela.
Hölstein reste un village traditionnel, et au milieu, il y a Oris, symbole mondial de l’horlogerie mécanique de qualité. Cela crée une grande fierté, ressentie à la fois dans notre usine et autour du village. C’est pourquoi notre nouveau branding commence par : « Bienvenue à Hölstein ».
R.S. : Je veux dire que non, mais honnêtement, comme je n’étais pas ici en 1904, je ne peux pas en être certain. Ce que je sais, c’est qu’au début du 20e siècle, lorsque nos fondateurs sont arrivés, la communauté locale vivait d’une manière très traditionnelle.
Puis est arrivée une entreprise qui fabriquait un produit distribué dans le monde entier. Cela a ouvert la région et apporté une perspective internationale, offrant aux habitants un sentiment de liberté, de possibilité et d’ambition. Aujourd’hui, en tant qu’entreprise indépendante, nous avons toujours cela.
Hölstein reste un village traditionnel, et au milieu, il y a Oris, symbole mondial de l’horlogerie mécanique de qualité. Cela crée une grande fierté, ressentie à la fois dans notre usine et autour du village. C’est pourquoi notre nouveau branding commence par : « Bienvenue à Hölstein ».
En même temps, la raison de fabriquer et de posséder une montre mécanique a évolué : nous avons aujourd’hui de nombreuses alternatives pour lire l’heure.
R.S. : Bien sûr, et bien que notre obligation de base soit de fabriquer de belles montres fiables, nous devons le faire d’une manière qui les rende toujours pertinentes.
Nous fabriquons un produit que vous pourriez vouloir, mais dont vous n’avez pas besoin. C’est un luxe. Alors, qu’offrons-nous ? De la joie. Nous sommes là pour mettre des sourires sur les visages.
Comment cette idée se reflète-t-elle dans la Hölstein Edition 2025 ?
R.S. : Cette série de montres est sans doute l’exemple ultime de notre approche. Certes, ces montres sont mécaniques et donnent l’heure, mais l’idée derrière elles est de faire quelque chose de spécial, une montre pour ceux qui aiment Oris et qui seront amusés par elle.
Nous voulons que cela arrive avec chaque montre Oris, mais l’idée est distillée dans les Hölstein Editions, définies par des idées créatives qui ne sont pas limitées par des contraintes commerciales.
R.S. : Bien sûr, et bien que notre obligation de base soit de fabriquer de belles montres fiables, nous devons le faire d’une manière qui les rende toujours pertinentes.
Nous fabriquons un produit que vous pourriez vouloir, mais dont vous n’avez pas besoin. C’est un luxe. Alors, qu’offrons-nous ? De la joie. Nous sommes là pour mettre des sourires sur les visages.
Comment cette idée se reflète-t-elle dans la Hölstein Edition 2025 ?
R.S. : Cette série de montres est sans doute l’exemple ultime de notre approche. Certes, ces montres sont mécaniques et donnent l’heure, mais l’idée derrière elles est de faire quelque chose de spécial, une montre pour ceux qui aiment Oris et qui seront amusés par elle.
Nous voulons que cela arrive avec chaque montre Oris, mais l’idée est distillée dans les Hölstein Editions, définies par des idées créatives qui ne sont pas limitées par des contraintes commerciales.
Vous avez dit que les Hölstein Editions étaient un cadeau d’Oris pour ses fans…
R.S. : Absolument. C’est notre cadeau, un symbole de notre reconnaissance envers la communauté Oris.
Chaque édition est un peu décalée et plus extraordinaire que nos éditions standard, et nous n’en fabriquons que 250. Honnêtement, le temps que nous passons sur ces montres en interne n’est pas en adéquation avec l’aspect commercial. Mais c’est ok.
Chaque Hölstein Edition est un peu fun, joyeuse, mais aussi une preuve de la manière dont nous prenons l’horlogerie au sérieux et valorisons nos clients.
L’apparition de l’Oris Bear, en particulier cette année, est une expression pure de ce sentiment, n’est-ce pas ?
R.S. : Je pense que oui. Initialement, n’importe qui peut apprécier un ourson. Mais pour comprendre l’Oris Bear, il faut avoir été autour de la marque et passé du temps avec nos produits pour en saisir l’essence. Il est la figure chaleureuse, décontractée, qui raconte notre histoire à un niveau émotionnel profond.
Cette année, nous l’avons mis sur le cadran pour la première fois, mais visible uniquement quand les lumière s’éteignent et que la luminescence autour de lui révèle sa silhouette. C’est ludique, mais comme l’a dit Platon, nous devons voir la lumière pour comprendre. Je suis sûr que les fans d’Oris apprécieront cela.
Encore une fois, la Hölstein Edition de cette année est animée par le Calibre 400. Ce mouvement est-il devenu l’emblème d’Oris ?
R.S. : En partie, oui. Chaque Hölstein Edition porte le Calibre 400 depuis son lancement. C’est un mouvement que nous avons créé pour incarner notre vision de ce qu’un mouvement mécanique automatique contemporain devrait être. Il offre une réserve de marche de cinq jours, une résistance au magnétisme, et 10 ans de garantie avec des intervalles d’entretien de 10 ans.
C’est un mouvement fantastique. Mais nous proposons aussi des montres plus accessibles avec des mouvements Sellita. Ce choix fait partie de ce qui nous définit.
Et enfin, comment avez-vous célébré l’anniversaire d’Oris le 1er juin ?
R.S. : À la manière d’Oris. Nous nous sommes réunis avec notre équipe ici à Hölstein autour de quelques bières et d’un barbecue, entourés par la vallée de Waldenburg. C’est magique ici en été.
R.S. : Absolument. C’est notre cadeau, un symbole de notre reconnaissance envers la communauté Oris.
Chaque édition est un peu décalée et plus extraordinaire que nos éditions standard, et nous n’en fabriquons que 250. Honnêtement, le temps que nous passons sur ces montres en interne n’est pas en adéquation avec l’aspect commercial. Mais c’est ok.
Chaque Hölstein Edition est un peu fun, joyeuse, mais aussi une preuve de la manière dont nous prenons l’horlogerie au sérieux et valorisons nos clients.
L’apparition de l’Oris Bear, en particulier cette année, est une expression pure de ce sentiment, n’est-ce pas ?
R.S. : Je pense que oui. Initialement, n’importe qui peut apprécier un ourson. Mais pour comprendre l’Oris Bear, il faut avoir été autour de la marque et passé du temps avec nos produits pour en saisir l’essence. Il est la figure chaleureuse, décontractée, qui raconte notre histoire à un niveau émotionnel profond.
Cette année, nous l’avons mis sur le cadran pour la première fois, mais visible uniquement quand les lumière s’éteignent et que la luminescence autour de lui révèle sa silhouette. C’est ludique, mais comme l’a dit Platon, nous devons voir la lumière pour comprendre. Je suis sûr que les fans d’Oris apprécieront cela.
Encore une fois, la Hölstein Edition de cette année est animée par le Calibre 400. Ce mouvement est-il devenu l’emblème d’Oris ?
R.S. : En partie, oui. Chaque Hölstein Edition porte le Calibre 400 depuis son lancement. C’est un mouvement que nous avons créé pour incarner notre vision de ce qu’un mouvement mécanique automatique contemporain devrait être. Il offre une réserve de marche de cinq jours, une résistance au magnétisme, et 10 ans de garantie avec des intervalles d’entretien de 10 ans.
C’est un mouvement fantastique. Mais nous proposons aussi des montres plus accessibles avec des mouvements Sellita. Ce choix fait partie de ce qui nous définit.
Et enfin, comment avez-vous célébré l’anniversaire d’Oris le 1er juin ?
R.S. : À la manière d’Oris. Nous nous sommes réunis avec notre équipe ici à Hölstein autour de quelques bières et d’un barbecue, entourés par la vallée de Waldenburg. C’est magique ici en été.
