Cela fait déjà une dizaine d’années que la RM 33 existe au sein du catalogue Richard Mille puisque la toute première version, la RM 33-01 (montre ronde) fut présentée fin 2014 suivi par une RM 33-02 en 2020 (140 exemplaires) qui allait prendre cette forme un peu plus tonneau avec notamment ces angles situés tout autour du boitier au niveau des vis.
Aujourd’hui donc, Richard Mille conserve cette forme caractéristique pour cette nouvelle référence, cette RM 33-03 qui arrive en deux versions, l’une entièrement en titane grade 5 et l’autre, en Carbone TPT et or rouge 5N !
La conception et la réalisation de ce boîtier se fondent sur une approche holistique englobant le mouvement, le boîtier et le cadran. L’ensemble a été fabriqué en suivant des spécifications extrêmement rigoureuses.
Aujourd’hui donc, Richard Mille conserve cette forme caractéristique pour cette nouvelle référence, cette RM 33-03 qui arrive en deux versions, l’une entièrement en titane grade 5 et l’autre, en Carbone TPT et or rouge 5N !
La conception et la réalisation de ce boîtier se fondent sur une approche holistique englobant le mouvement, le boîtier et le cadran. L’ensemble a été fabriqué en suivant des spécifications extrêmement rigoureuses.
Ainsi, le cercle d’emboîtage est supprimé et le mouvement repose sur des supports en caoutchouc (ISO SW) fixés à l’aide de 4 vis en titane grade 5. Ce boîtier tripartite est assemblé à l’aide de 14 vis spline en titane grade 5 et de rondelles en acier 316L, résistantes à l’abrasion.
L’ensemble est complété par l’intégration des cornes dans le système d’assemblage du boîtier. Le boîtier tripartite est étanche à 30 mètres, grâce à deux joints toriques en Nitrile.
Au cœur de la RM 33-03 Automatique bat le nouveau calibre RMXP3 (3Hz) automatique squeletté (le précédent était le RMXP1), dont le micro-rotor monobloc décentré façonné en platine massif (pour sa force d’inertie lors du remontage) a permis un profil de seulement 3,28 mm. Sa réserve de marche, standard, est de 42h.
L’ensemble est complété par l’intégration des cornes dans le système d’assemblage du boîtier. Le boîtier tripartite est étanche à 30 mètres, grâce à deux joints toriques en Nitrile.
Au cœur de la RM 33-03 Automatique bat le nouveau calibre RMXP3 (3Hz) automatique squeletté (le précédent était le RMXP1), dont le micro-rotor monobloc décentré façonné en platine massif (pour sa force d’inertie lors du remontage) a permis un profil de seulement 3,28 mm. Sa réserve de marche, standard, est de 42h.
Monté sur des roulements à billes en céramique et à remontage bidirectionnel, ce rotor délivre une énergie optimale tout en préservant la compacité de l’ensemble du mouvement. Ce dernier repose sur une platine en titane traitée Titalyt, un procédé d’oxydation par électro-plasma qui renforce la dureté et la résistance du matériau.
Réalisés dans le même titane, les ponts sont intégralement revêtus de PVD noir. L’alliance de ce matériau et de traitements de surface confère à l’ensemble une rigidité idéale et assure une planéité parfaite, conditions essentielles au bon fonctionnement du train de rouage et à la précision de la mesure du temps.
« Une telle ingénierie de précision requiert un savoir-faire parfaitement maîtrisé, les composants fins étant naturellement sujets à la flexion et aux vibrations sous les contraintes mécaniques de l’usinage et les variations thermiques rencontrées lors des étapes de fabrication et de finition » rappelle la marque dans son communiqué.
Réalisés dans le même titane, les ponts sont intégralement revêtus de PVD noir. L’alliance de ce matériau et de traitements de surface confère à l’ensemble une rigidité idéale et assure une planéité parfaite, conditions essentielles au bon fonctionnement du train de rouage et à la précision de la mesure du temps.
« Une telle ingénierie de précision requiert un savoir-faire parfaitement maîtrisé, les composants fins étant naturellement sujets à la flexion et aux vibrations sous les contraintes mécaniques de l’usinage et les variations thermiques rencontrées lors des étapes de fabrication et de finition » rappelle la marque dans son communiqué.
Autour du calibre prend place un disque de date en titane traité PVD noir. Semi-instantanée, la date apparaît au-dessus du guichet de couleur blanche situé à 5 heures. Fait rare chez Richard Mille, l’affichage de la petite seconde prend place à 6 heures -une complication traditionnelle qui, au-delà de son aspect esthétique, anime le cadran.
Soulignant l’architecture tridimensionnelle du calibre, les 3 chiffres en or rouge 5N 18 carats (12, 3 et 9 vs 12 chiffres dans la RM 33-02) sont montés sur des rails en titane positionnés entre le rehaut et le mouvement donnent l’illusion de flotter au-dessus du calibre.
Pour la petite histoire rappelons que ces chiffres à la forme caractéristique furent créés par Richard « lui-même ».
Soulignant l’architecture tridimensionnelle du calibre, les 3 chiffres en or rouge 5N 18 carats (12, 3 et 9 vs 12 chiffres dans la RM 33-02) sont montés sur des rails en titane positionnés entre le rehaut et le mouvement donnent l’illusion de flotter au-dessus du calibre.
Pour la petite histoire rappelons que ces chiffres à la forme caractéristique furent créés par Richard « lui-même ».
« L’idée est de mettre en valeur les volumes du calibre, précise Cécile Guenat. Par ailleurs, les pleins et les vides créés par l’importante squelettisation du mouvement participent à un jeu d’ombre et de lumière. »
Les deux versions affichent un diamètre de 41,7 mm pour une épaisseur de seulement 9,7 mm, des dimensions qui garantissent leur adaptation à la plupart des poignets (le boitier étant ergonomique) tandis que leur extrême légèreté les fait presque oublier au porter.
Les deux versions affichent un diamètre de 41,7 mm pour une épaisseur de seulement 9,7 mm, des dimensions qui garantissent leur adaptation à la plupart des poignets (le boitier étant ergonomique) tandis que leur extrême légèreté les fait presque oublier au porter.
