Il arrive souvent que de vieilles tocantes ne soient plus réparables… Soit parce qu’elles sont trop abimées, soit parce qu’elles n’en valent pas la peine. Mais que faire de tous ces composants, de tous ces rouages, ces vis, ces ressorts, ces platines, etc. Les jeter ? C’est dommage ! Une artiste américaine, Sue Beatrice, a trouvé une solution… Elle les transforme en de petites sculptures pleines de poésie !
Sue Beatrice est une sculptrice animalière qui vit à New York. Depuis des années déjà, elle s’est spécialisée dans la reproduction du monde animal sous différentes formes, des plus petites bêtes aux gros animaux. Dans son escarcelle de talents, elles multiplient les matières premières ; l’une d’elle est étonnante et particulièrement intéressante pour les amateurs de garde-temps…
Cette artiste talentueuse fait partie de ces gens qui se sentent directement concernés par le gaspillage et la pollution de notre planète. Elle a donc décidé d’utiliser des composants horlogers (souvent issus de montres de poche) comme « matière première » et de les détourner pour en faire de petites sculptures d’animaux.
Le résultat est souvent bluffant. Lapin, cheval, lion, chat, souris mais aussi petite fée ou instruments de musique naissent de ce réassemblage de rouages dans un esprit très steampunk, parfois onirique mais toujours poétique. A partir d’une centaine d’euros.
Sue Beatrice est une sculptrice animalière qui vit à New York. Depuis des années déjà, elle s’est spécialisée dans la reproduction du monde animal sous différentes formes, des plus petites bêtes aux gros animaux. Dans son escarcelle de talents, elles multiplient les matières premières ; l’une d’elle est étonnante et particulièrement intéressante pour les amateurs de garde-temps…
Cette artiste talentueuse fait partie de ces gens qui se sentent directement concernés par le gaspillage et la pollution de notre planète. Elle a donc décidé d’utiliser des composants horlogers (souvent issus de montres de poche) comme « matière première » et de les détourner pour en faire de petites sculptures d’animaux.
Le résultat est souvent bluffant. Lapin, cheval, lion, chat, souris mais aussi petite fée ou instruments de musique naissent de ce réassemblage de rouages dans un esprit très steampunk, parfois onirique mais toujours poétique. A partir d’une centaine d’euros.