Quand Tudor fait quelque chose, elle le fait bien. Ainsi, quand la marque décide de commercialiser une montre en bronze, elle l’imagine dans son intégralité. De la boite aux aiguilles en passant par le mouvement et bien sûr, le bracelet. Rien n’est laissé au hasard !
D’ailleurs, depuis que la marque a lancé sa collection Heritage en 2010, chaque nouveau modèle de cette gamme qui rend hommage au passé de Tudor, qu’il s’agisse d’un chronographe ou d’une montre de plongée, a eu droit à un bracelet imaginé en interne et fabriqué spécifiquement pour le garde-temps en question ! Chose rare dans le monde de l’horlogerie qui a tendance à s’équiper chez des fabricants qui proposent des produits standards. Ce qui n’est pas le genre de la maison Tudor qui s’attache aux moindres détails.
Ainsi, chaque chrono ou chaque plongeuse de la collection Heritage a son propre bracelet-montre, non seulement en cuir ou en acier, mais également en tissu. Naturellement, la Tudor Heritage Black Bay Bronze n’a pas échappé à la règle ! Pour ce modèle, la marque s’est inspirée des pratiques de la Marine Nationale française qui se faisait livrer des « plongeuses » sans bracelets et les équipait ensuite de ses propres attaches, plus ou moins artisanales. L’une d’elles, retrouvée sur un modèle des années 70, était constituée… d’élastiques récupérés sur des parachutes ventraux de militaires français !
D’ailleurs, depuis que la marque a lancé sa collection Heritage en 2010, chaque nouveau modèle de cette gamme qui rend hommage au passé de Tudor, qu’il s’agisse d’un chronographe ou d’une montre de plongée, a eu droit à un bracelet imaginé en interne et fabriqué spécifiquement pour le garde-temps en question ! Chose rare dans le monde de l’horlogerie qui a tendance à s’équiper chez des fabricants qui proposent des produits standards. Ce qui n’est pas le genre de la maison Tudor qui s’attache aux moindres détails.
Ainsi, chaque chrono ou chaque plongeuse de la collection Heritage a son propre bracelet-montre, non seulement en cuir ou en acier, mais également en tissu. Naturellement, la Tudor Heritage Black Bay Bronze n’a pas échappé à la règle ! Pour ce modèle, la marque s’est inspirée des pratiques de la Marine Nationale française qui se faisait livrer des « plongeuses » sans bracelets et les équipait ensuite de ses propres attaches, plus ou moins artisanales. L’une d’elles, retrouvée sur un modèle des années 70, était constituée… d’élastiques récupérés sur des parachutes ventraux de militaires français !
C’est de ce strap vintage (qui était littéralement cousu à la main aux pompes de la montre) qu’est né ce bracelet tissé jacquard beige et brun exclusif à la marque et dont les couleurs s’accordent parfaitement aux tonalités mordorées du boitier en bronze. Le brun rappelle la couleur de certains treillis militaires tandis que la fine ligne beige fait écho à la couleur du métal qui va s’oxyder pour atteindre sa patine finale au bout de quelques semaines. L’ensemble est juste parfait.
Attention, si ce bracelet a l’allure d’un Nato, il ne s’agit pas d’un simple Nato ! De fait, les designers de chez Tudor ont totalement repensé l’architecture de ce strap d’origine militaire afin de le rendre réglable en longueur. Pour sa conception, ils se sont inspirés du système de ceinture de sécurité de voitures sportives anciennes ! Ils ont ensuite trouvé une solution pour y ajouter des « tunnels » dans lesquels se logent les barrettes de bracelets de la montre afin de la maintenir fermement en place ; c’est toujours le point faible de ces bracelets en tissu.
Enfin, ils se sont adressés à une entreprise au savoir-faire passementier traditionnel, l’une des dernières de France à maitriser la technique du métier à tisser dit « Jacquard », grâce auquel la marge de manoeuvre d’expérimentation en terme de complexité des motifs est presque sans limite.
Attention, si ce bracelet a l’allure d’un Nato, il ne s’agit pas d’un simple Nato ! De fait, les designers de chez Tudor ont totalement repensé l’architecture de ce strap d’origine militaire afin de le rendre réglable en longueur. Pour sa conception, ils se sont inspirés du système de ceinture de sécurité de voitures sportives anciennes ! Ils ont ensuite trouvé une solution pour y ajouter des « tunnels » dans lesquels se logent les barrettes de bracelets de la montre afin de la maintenir fermement en place ; c’est toujours le point faible de ces bracelets en tissu.
Enfin, ils se sont adressés à une entreprise au savoir-faire passementier traditionnel, l’une des dernières de France à maitriser la technique du métier à tisser dit « Jacquard », grâce auquel la marge de manoeuvre d’expérimentation en terme de complexité des motifs est presque sans limite.
Rappelons que l’art de tisser ne s’est pas fait en un jour ! Ce savoir-faire apparait pour la toute première fois dix mille ans avant JC ! Cela commence par des tendons d’animaux, puis du lin, du chanvre et de la laine... Les premiers métiers à tisser naissent quant à eux au cours de cette même période et permettent à nos ancêtres de fabriquer leurs habits.
Mais c’est à Lyon au 19ème siècle qu’une toute nouvelle invention voit le jour et révolutionne le tissage. Ce nouveau métier à tisser imaginé par Monsieur Jacquard permet à une seule et même personne de tisser des motifs compliqués. Rappelons que le « Jacquard » offre en outre l’avantage d’un tissage à haute teneur en fibre conférant solidité et souplesse aux rubans qu’il produit. Tudor propose aujourd’hui nombre de bracelets en tissu de style et de facture différents, utilisant autant de tissages spécifiques et des fibres de polyéthylène, soie ou coton en fonction de l’effet désiré.
Mais c’est à Lyon au 19ème siècle qu’une toute nouvelle invention voit le jour et révolutionne le tissage. Ce nouveau métier à tisser imaginé par Monsieur Jacquard permet à une seule et même personne de tisser des motifs compliqués. Rappelons que le « Jacquard » offre en outre l’avantage d’un tissage à haute teneur en fibre conférant solidité et souplesse aux rubans qu’il produit. Tudor propose aujourd’hui nombre de bracelets en tissu de style et de facture différents, utilisant autant de tissages spécifiques et des fibres de polyéthylène, soie ou coton en fonction de l’effet désiré.
Au-delà du caractère totalement unique, le recours à une telle fabrication procure une richesse de texture sans égale et garantit confort et longévité. De fait, ce bracelet, malgré sa souplesse s’avère extrêmement solide et contrairement aux Nato de base, son touché est beaucoup plus agréable, de même que le porté. Bref, un strap tout à fait unique dans l’univers de l’horlogerie de luxe.
Au final, cette Tudor Heritage Black Bay Bronze s’avère être d’un excellent rapport qualité/prix (3.750 euros). En effet, peu de marques peuvent se targuer de proposer un produit aussi abouti à un tel tarif. Jugez-vous même : un boitier en bronze aux finitions impeccables, un calibre mécanique automatique « in house » et pour finir, deux bracelets conçus spécifiquement pour ce modèle. Bref, un véritable « must have » pour les amateurs de belle montres.
Au final, cette Tudor Heritage Black Bay Bronze s’avère être d’un excellent rapport qualité/prix (3.750 euros). En effet, peu de marques peuvent se targuer de proposer un produit aussi abouti à un tel tarif. Jugez-vous même : un boitier en bronze aux finitions impeccables, un calibre mécanique automatique « in house » et pour finir, deux bracelets conçus spécifiquement pour ce modèle. Bref, un véritable « must have » pour les amateurs de belle montres.