La Station spatiale internationale (ISS) fait figure d’un grand puzzle de 400 tonnes, où viennent s’accrocher des modules-laboratoires développés par les différents pays participant au programme.
Lorsque la structure sera achevée, dans le courant de l’année prochaine, la station s’étendra sur 110 mètres de longueur et comptera une quinzaine de modules pressurisés.
Ce mammouth spatial se déplace à la vitesse prodigieuse de 27.700 km/h, il fait une révolution autour de notre planète en environ 1 heure et demie. La station héberge une équipe internationale de six personnes qui demeurent environ six mois à bord.
L’Agence spatiale européenne (ESA) représente pour l’Europe une porte d’accès à l’espace. Elle compte 18 États membres dont la Suisse. À la mi-décembre, l’ESA a envoyé l’un de ses astronautes pour une mission de six mois à bord de l’ISS.
Cet ingénieur doit notamment assurer la réception du deuxième véhicule de ravitaillement européen, l’ATV Johannes Kepler. Il exécute également un programme intensif d’expériences scientifiques allant du suivi des irradiations à l’étude du sommeil dans l’espace dans le cadre des recherches sur le traitement de l’insomnie sur Terre.
La Station spatiale internationale représente un laboratoire scientifique remarquable. Dans l’espace se réalisent des expériences touchant à toutes les disciplines scientifiques. C’est le plus grand projet de coopération pacifique jamais entrepris par l’homme, un trait d’union entre les nations et les mentalités.
Lorsque la structure sera achevée, dans le courant de l’année prochaine, la station s’étendra sur 110 mètres de longueur et comptera une quinzaine de modules pressurisés.
Ce mammouth spatial se déplace à la vitesse prodigieuse de 27.700 km/h, il fait une révolution autour de notre planète en environ 1 heure et demie. La station héberge une équipe internationale de six personnes qui demeurent environ six mois à bord.
L’Agence spatiale européenne (ESA) représente pour l’Europe une porte d’accès à l’espace. Elle compte 18 États membres dont la Suisse. À la mi-décembre, l’ESA a envoyé l’un de ses astronautes pour une mission de six mois à bord de l’ISS.
Cet ingénieur doit notamment assurer la réception du deuxième véhicule de ravitaillement européen, l’ATV Johannes Kepler. Il exécute également un programme intensif d’expériences scientifiques allant du suivi des irradiations à l’étude du sommeil dans l’espace dans le cadre des recherches sur le traitement de l’insomnie sur Terre.
La Station spatiale internationale représente un laboratoire scientifique remarquable. Dans l’espace se réalisent des expériences touchant à toutes les disciplines scientifiques. C’est le plus grand projet de coopération pacifique jamais entrepris par l’homme, un trait d’union entre les nations et les mentalités.
L’objectif initial était de promouvoir la paix et l’utilisation pacifique de l’espace. À bord de l’ISS, on entend profiter des deux caractéristiques uniques de l’espace : l’absence quasi totale de la gravité et le vide presque absolu à l’extérieur.
Ces deux propriétés permettent de recourir à des processus de chimie et de physique inexistants sur Terre. 196 personnes provenant de huit pays différents ont déjà séjourné à bord. Seize pays ont uni leurs forces et leurs capacités dans ce projet ambitieux et précurseur, estimé à 100 milliards de dollars.
Depuis ses origines, la manufacture horlogère suisse Zenith fait preuve d’un esprit visionnaire, d’un esprit de pionnier. Elle a toujours accompagné les découvreurs et les explorateurs, en guidant par exemple les marins dans leurs expéditions –les chronographes de marine de la marque servaient à calculer la position des navires en mer– puis en assistant les pilotes ou les découvreurs des pôles. Il était donc naturel pour Zenith de s’associer à cette nouvelle grande aventure humaine : la conquête de l’espace (à noter que des marques comme Omega ou Fortis s’y investissent également).
Le chronographe Zenith El Primero Striking 10th, a donc pris place à bord de la fusée Soyouz qui l’a emmené rejoindre la Station spatiale. Rappelons que le calibre El Primero a été le premier au monde à battre à 10 alternances par seconde. « C’est le moteur mécanique de série le plus sophistiqué et celui qui affiche la plus haute précision » assure la marque dans son communiqué. Lancé en 2010, ce modèle « réalise une avancée horlogère de première importance : il rend visible le 1/10e de seconde, soit chacune des pulsations de ce moteur d’exception »…
Ces deux propriétés permettent de recourir à des processus de chimie et de physique inexistants sur Terre. 196 personnes provenant de huit pays différents ont déjà séjourné à bord. Seize pays ont uni leurs forces et leurs capacités dans ce projet ambitieux et précurseur, estimé à 100 milliards de dollars.
Depuis ses origines, la manufacture horlogère suisse Zenith fait preuve d’un esprit visionnaire, d’un esprit de pionnier. Elle a toujours accompagné les découvreurs et les explorateurs, en guidant par exemple les marins dans leurs expéditions –les chronographes de marine de la marque servaient à calculer la position des navires en mer– puis en assistant les pilotes ou les découvreurs des pôles. Il était donc naturel pour Zenith de s’associer à cette nouvelle grande aventure humaine : la conquête de l’espace (à noter que des marques comme Omega ou Fortis s’y investissent également).
Le chronographe Zenith El Primero Striking 10th, a donc pris place à bord de la fusée Soyouz qui l’a emmené rejoindre la Station spatiale. Rappelons que le calibre El Primero a été le premier au monde à battre à 10 alternances par seconde. « C’est le moteur mécanique de série le plus sophistiqué et celui qui affiche la plus haute précision » assure la marque dans son communiqué. Lancé en 2010, ce modèle « réalise une avancée horlogère de première importance : il rend visible le 1/10e de seconde, soit chacune des pulsations de ce moteur d’exception »…