Le marché de l’occasion -pre-owned ou second hand- en anglais a le vent en poupe depuis quelques années. Ce qui ne plait pas toujours aux grandes marques qui ne comprennent pas -ou plutôt, ne veulent pas comprendre- que parfois, pour acheter une montre neuve, il faut se séparer d’une ancienne. Surtout vu les prix pratiqués par ces mêmes grandes marques de nos jours !
Bref, le marché du « pre-owned » est désormais intimement lié au marché du neuf. L’un ne va pas sans l’autre. Et l’un n’ira pas sans l’autre, qu’on se le dise. Certaines marques, très peu, l’ont bien compris. Par exemple, dans le très haut de gamme, seuls Vacheron Constantin, François-Paul Journe et depuis l’été dernier, MB&F assument pleinement cette position.
VC revend en effet au sein de certaines de ses boutiques exclusives, quelques pièces vintage entièrement restaurées. Et FP Journe rachète parfois certaines de ses montres, des modèles rares devenus introuvables, à ses clients pour les restaurer et les revendre de « seconde main » mais en parfait état de fonctionnement et avec la garantie de la "maison".
Depuis l’été 2018, MB&F propose également sur son site Internet, une section « pre-owned ». Ce fut tout simplement le premier indépendant à offrir ce type de service à ses clients. Aujourd’hui, c’est au tour d’Urwerk de s’y mettre.
Le service est en ligne depuis le début de l’année et propose des montres d’occasion qui ne sont plus en production. Toutes ces pièces ont bien évidemment été révisées, la plupart du temps, par les horlogers qui les assemblèrent la première fois. Gage de qualité.
Elles sont livrées avec un nouveau bracelet et bénéficient d’une garantie de deux ans. Vous pouvez régler votre achat avec votre carte de crédit bien sûr, mais également avec Paypal ou même en Bitcoin ! Bref, tout est fait pour faciliter l’achat et rassurer les clients. Actuellement, quatre montres en stock et deux ont déjà été vendues.
Il convient de féliciter ces marques qui assument et respectent pleinement leur histoire horlogère et leurs montres et qui ne considèrent pas le marché du « pre-owned » comme un marché de « sous clients » qui ne méritent pas qu’on s’y intéresse. Et puis, ces horlogers ont raison de faciliter l’accès à ce marché, car souvent, la véritable valeur d’une montre, c’est son prix sur le marché de l’occasion et surtout, le fait qu’elle soit revendable. Ou pas. On ne citera pas de noms…
Jean-Philippe Tarot
Bref, le marché du « pre-owned » est désormais intimement lié au marché du neuf. L’un ne va pas sans l’autre. Et l’un n’ira pas sans l’autre, qu’on se le dise. Certaines marques, très peu, l’ont bien compris. Par exemple, dans le très haut de gamme, seuls Vacheron Constantin, François-Paul Journe et depuis l’été dernier, MB&F assument pleinement cette position.
VC revend en effet au sein de certaines de ses boutiques exclusives, quelques pièces vintage entièrement restaurées. Et FP Journe rachète parfois certaines de ses montres, des modèles rares devenus introuvables, à ses clients pour les restaurer et les revendre de « seconde main » mais en parfait état de fonctionnement et avec la garantie de la "maison".
Depuis l’été 2018, MB&F propose également sur son site Internet, une section « pre-owned ». Ce fut tout simplement le premier indépendant à offrir ce type de service à ses clients. Aujourd’hui, c’est au tour d’Urwerk de s’y mettre.
Le service est en ligne depuis le début de l’année et propose des montres d’occasion qui ne sont plus en production. Toutes ces pièces ont bien évidemment été révisées, la plupart du temps, par les horlogers qui les assemblèrent la première fois. Gage de qualité.
Elles sont livrées avec un nouveau bracelet et bénéficient d’une garantie de deux ans. Vous pouvez régler votre achat avec votre carte de crédit bien sûr, mais également avec Paypal ou même en Bitcoin ! Bref, tout est fait pour faciliter l’achat et rassurer les clients. Actuellement, quatre montres en stock et deux ont déjà été vendues.
Il convient de féliciter ces marques qui assument et respectent pleinement leur histoire horlogère et leurs montres et qui ne considèrent pas le marché du « pre-owned » comme un marché de « sous clients » qui ne méritent pas qu’on s’y intéresse. Et puis, ces horlogers ont raison de faciliter l’accès à ce marché, car souvent, la véritable valeur d’une montre, c’est son prix sur le marché de l’occasion et surtout, le fait qu’elle soit revendable. Ou pas. On ne citera pas de noms…
Jean-Philippe Tarot
